Étiquette : méthode de copywriting Page 1 of 2
La méthode de copywriting la plus simple pour trouver des slogans qui cartonnent
Slogans, accroches, titres… Cette méthode fonctionne pour n’importe lequel des 3.
J’ai été le témoin d’un exemple encore hier :
Je me baladais dans un hypermarché, quand je tombe sur une sorte de calicot au beau milieu du rayon animaux.
Dessus, un chat. Le chat “Félix”, vous connaissez ?
Et en travers un slogan. Qui m’en rappelle fortement un autre :
“Yes we cat !”
Tenez… J’ai pris une photo du minet en question :
Et là je me suis dis : Pas mal.
Notez le clin d’œil à la phrase “leitmotiv” de Barack Obama lors de son élection à la présidence des USA.
C’est dans l’air du temps en plus !
Ca me fait penser à une bonne vieille technique de copywriting pour attirer l’attention : Prendre quelque chose qui marche – ou qui a marqué les esprits – et le revisiter.
Idéal quand on cherche des slogans ou des accroches.
Dans le cas précis de ce calicot, il est clairement là pour attirer l’attention. On ne peut s’empêcher de sourire. De le montrer.
Objectif atteint.
Vous pouvez reprendre cette technique à votre propre compte. Voici comment procéder :
Partez sur de l’existant, déformez et adaptez
En fait, quand on regarde bien, rares sont les slogans qui n’ont pas été copiés à partir d’autres formules.
Même les grandes marques s’y collent. Pourquoi pas vous ?
Pour cela, vous n’avez qu’à vous servir dans la liste infinie de ce qui existe déjà.
Utilisez par exemple des expressions ou des slogans qui ont marqué votre jeunesse.
Ou encore :
- Des sujets de mails qui vous donnent envie d’ouvrir le mail.
- Des dictons, proverbes ou citations qui vous font réfléchir.
- Des accroches ou des titres rencontrés ici ou là, au détour d’un surf sur Internet, et qui vous interpellent.
- Certains slogans vus sur des panneaux dans la rue
- Des pubs sympas vues dans des magazines ou des journaux
- Les phrases qui apparaissent à la fin des vidéos promotionnelles ou inspirantes
Un exemple ?
Rappelez-vous de la vidéo que je vous avais mise pour Noël dernier sur ce blog.
A la fin, 3 mots. Les aviez-vous notés ?
“You can shine”
Littéralement, ça veut dire “Vous pouvez briller”.
C’est une phrase qui peut être reprise de multiples façons :
- Vous pouvez enchanter…
- Vous pouvez gagner…
- You can win…
- Vous pouvez écrire…
- Vous pouvez fasciner…
- Vous pouvez le faire…
C’est illimité. A vous de trouver l’expression qui s’adaptera le mieux à votre activité, à votre site web ou à votre produit.
Il vous suffira simplement de modifier un ou plusieurs mots, ou bien d’échanger certains mots entre eux. Ou même seulement des lettres.
Comme dans l’exemple de “Yes we cat ! ”.
Même si cela ne veut rien dire à proprement parler, on peut noter la subtilité. Et quand on regarde bien, il n’y a qu’une seule lettre de changée par rapport à l’original.
Et pour vous aider, voici l’astuce suprême :
Ayez un stock énorme et permanent de slogans en réserve
La réalisation d’un slogan ou d’une accroche qui “en jette” passe par de multiples étapes créatives.
Ca peut surgir d’un coup. Une idée qui apparait après la lecture d’une phrase. Ou de quelques mots.
Et donc, afin d’être parfaitement efficace, il est INDISPENSABLE que vous vous constituiez au fil du temps un stock abondant de phrases ou d’accroches qui vous serviront de base de travail.
Faites-le en permanence.
Utilisez un carnet, un classeur, un fichier informatique. Ou les 3 ensemble.
Et notez les phrases qui vous interpellent. Prenez une photo si vous ne pouvez pas écrire (comme je l’ai fait avec le calicot que j’ai vu hier et qui sert à illustrer cet article).
Plus vous aurez de phrases en stock, et plus facile il sera pour vous de créer des slogans originaux à partir d’anciens.
Personnellement, j’en ai des milliers. Et j’en rajoute des dizaines par semaine.
Ce qui fait que lorsque je cherche un slogan ou une accroche, je vais faire mon marché parmi mon stock de phrases, qui me servent de “démarreur”.
C’est très très rapide. Et très efficace. Tellement mieux que de tout inventer à l’emporte-pièce.
A vous de jouer
La constitution d’une bibliothèque de phrases ou de slogans devrait être la priorité de toute personne qui vend un produit sur Internet ou qui possède un site web.
Parce qu’on a besoin de titres, d’accroches et de slogans très fréquemment. Qu’il s’agisse de titrer un article, une page de vente ou même un produit dans une boutique.
Et pour vous faciliter la vie, vous pouvez également “préparer” certaines de vos phrases pour n’en garder que le squelette.
C’est ce que j’ai fait par exemple avec le générateur d’accroches présent sur ce site.
J’ai repris des phrases, et j’ai éliminé certains mots qui peuvent être adaptés en fonction de l’activité.
Vous pouvez faire pareil avec toutes les phrases que vous avez.
Vous n’imaginez pas le temps infini que ça vous fera gagner quand arrivera le moment de chercher un titre, une accroche ou un slogan.
18 mars 2021
10 manières originales de booster vos lettres de ventes avec un peu d’huile de coude
Pour commencer, merci à toutes celles et tous ceux qui y sont allés de leurs idées pour améliorer la présentation et le traitement de mon petit défi d’adapter les 64 principes du succès de Jack Canfield au copywriting.
J’expérimenterai quelques unes d’entre elles.
Ensuite, cette semaine, je vais garder le format de la semaine dernière, et je vous présente donc les 10 prochains principes du succès :
Principe n°32 : 100 fois sur votre lettre remettez votre ouvrage.
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°32 : Transformez votre critique intérieur en accompagnateur personnel
Quand on fait du copywriting, on doit être critique par rapport à ce que l’on fait. Car bien souvent, il s’avère que ce que l’on produit n’est pas aussi bien que ce que l’on pense, surtout quand on a le “nez dans le guidon” de l’écriture.
Voilà pourquoi il est bon de répartir l’écriture de sa page de vente sur plusieurs semaines afin d’avoir un regard quasi neuf sur ce qui a déjà été fait.
Et par extension, chaque jour, relisez bien ce que vous avez fait la veille : Comme pour un puzzle sur lequel on est bien plus performant quand on s’arrête un moment et qu’on y revient ensuite, la page de vente est un plat qui se déguste froid.
Principe n°33 : Elargissez votre horizon
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°33 : Abattez ces fausses conceptions qui vous emprisonnent
Quand on écrit une lettre de vente avec ses seules connaissances et ses seules aptitudes, alors bien souvent, le résultat sera médiocre.
Car pour aussi cultivé que vous soyez, la réalisation d’une lettre de vente demande des informations précises sur ce que vous vendez afin d’englober un maximum de clients.
Voilà pourquoi vous devez faire autant de recherches pour savoir quoi choisir parmi tout ce que vous connaissez du produit vendu.
Rester “cloisonné” dans son propre esprit ne peut produire qu’une ébauche de lettre de vente. Une structure avec des infos générales, le plus souvent abstraites.
Elargir son horizon, se renseigner vraiment à fond sur ce qu’on vend et sur le thème de ce qu’on vend, c’est bien plus productif et générateur de bien meilleurs résultats.
Principe n°34 : Développez vos compétences dans au moins 4 disciplines par an
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°34 : Cultivez quatre nouvelles habitudes de succès chaque année
Les disciplines que l’on doit maitriser pour faire de bonnes lettres de vente sont nombreuses :
- Orthographe,
- Créativité,
- Persévérance,
- Organisation,
- Communication,
- Psychologie,
- Manière de parler,
- Charisme,
- HTML, PHP et CSS,
- Design,
- etc…
Choisissez 4 de ces disciplines (une par trimestre) et décidez de vous y améliorer pendant 3 mois d’affilée à raison d’au moins 10 heures par mois.
Trouvez des méthodes, des techniques. Expérimentez. Testez.
Et constatez vos progrès.
Principe n°35 : Sachez vous arrêter !
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°35 : 99%, c’est l’enfer ; 100%, c’est l’extase !
Saviez-vous que le plus dur, dans une lettre de vente, c’est de la terminer ?
Hé oui ! Si comme je le disais dans le principe 32, il faut revenir 100 fois sur sa lettre de vente, à un moment, il faut aussi décider de s’arrêter.
Et c’est dur. Parce qu’une fois qu’on est lancés, on est toujours tenté d’en rajouter.
Donc, fixez-vous toujours un délai pour vos lettres de vente (surtout si c’est pour votre produit).
Et arrêtez impérativement d’écrire une fois que vous l’avez atteint.
Principe n°36 : Formez-vous au copywriting
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°36 : Apprenez et prospérez
Si vous avez vos propres produits à vendre sur Internet, alors vous allez être amené à faire du copywriting pour votre compte personnel.
C’est plus facile de pratiquer cette discipline avec ses propres produits que pour d’autres produits inconnus.
Par conséquent, si faire du copywriting vous plait et si vous comptez aller plus loin que du travail personnel, alors envisagez sérieusement de vous former au copywriting.
Je détaillerai bientôt plusieurs formations au copywriting que je vous recommanderai de suivre.
En attendant, vous pouvez déjà commencer à suivre la méthode de copywriting gratuite qui se trouve sur ce blog.
Elle n’est pas encore terminée, mais vous avez déjà pas mal de pain sur la planche avec les 16 premières étapes.
Principe n°37 : Prenez l’avantage incommensurable des swipe files
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°37 : Trouvez la motivation auprès des maîtres
Vous savez ce que c’est qu’une “swipe files” ? Il s’agit de la totalité des lettres de ventes, des catalogues, des courriers ou des pubs réalisés par un copywriter tout au long de sa carrière.
En quelques sortes, il s’agit du travail de toute une vie.
Si vous comptez faire des lettres de vente souvent, alors vous devez absolument envisager d’acquérir une ou plusieurs swipe files. C’est comme ça que vous pourrez réaliser facilement vos lettres de vente en modélisant ce qui s’est déjà fait avant.
Il s’en vend beaucoup aux US. Très peu en France. La seule que je connaisse est la bible de Xtian Godefroy, qui reprend environ un millier de pages. Je rechercherai le lien.
Personnellement, j’ai une dizaine de swipe files. Plus un classeur personnel où je classe religieusement toutes les pubs excellentes et les courriers excellents que je rencontre tout au long de ma vie. Et ce depuis pas loin de 30 ans (j’ai commencé à 15 ans).
Commencez à le faire tout de suite. Vous verrez, ça vous donne des idées incroyables, et que vous ayez des mails ou une lettre de vente à faire en urgence, rien ne vaut les lettres exemples qui existent déjà.
Principe n°38 : Soyez enthousiaste, ça se voit !
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°38 : Alimentez votre succès par la passion et l’enthousiasme
OUI ! Un copywriter enthousiaste produit des lettres de vente qui donnent envie de cliquer ! C’est comme ça.
Voilà pourquoi vous devez cultivez votre enthousiasme. Et le développer. Et l’entretenir.
Pour ça, plusieurs méthodes :
- Faites un film de vos succès
- Lisez des autobiographies inspirantes
- Regardez des vidéos inspirantes,
- Lisez des livres qui donnent la pêche
- Riez, courrez, sautez dans tous les sens
- Dansez,
- Prenez un bol d’air pur
- Allez lire cet article
Bref, quand vous écrivez, soyez enthousiaste ! Vos clients vous remercieront !
Principe n°39 : C’est VOTRE propre style qui plait. Pas celui du voisin
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°39 : Concentrez-vous sur le génie qui vous est propre
Parlez avec votre propre style. Mettez de la vie dans vos mots. De l’âme. Ce n’est pas du journalisme. Une lettre de vente devrait être plus proche du langage parlé que du langage écrit.
En d’autres termes, une lettre de vente devrait faire”comme si” vous étiez en chair et en os face à votre interlocuteur.
Et quelle meilleure manière de le faire que d’employer un langage simple, imagé et personnel ?
Si vos lecteurs ont envie de devenir votre ami juste en vous lisant, vous avez déjà fait la moitié du chemin !
Principe n°40 : Organisez-vous comme un vrai businessman
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°40 : Redéfinissez le temps
Quand on écrit une lettre de vente, il est toujours mieux de le faire d’une traite dans une journée.
Entendez par là qu’il vaut mieux bosser dessus pendant 5 heures d’affilée plutôt que de bosser 1 heure, de se reposer une heure, d’y rebosser encore 2 heures, etc…
En fait, un peu comme une voiture lancée à vive allure dans une descente, plus on avance et plus on va vite. Le cerveau est comme ça : Quand vous l’avez lancé, les connexions se font plus rapidement entre vos neurones.
Et donc vous réfléchissez mieux.
Donc, prévoyez de longues plages de travail d’affilée sur votre page de vente.
Principe n°41 : Trouvez des personnes qui comblent vos lacunes
Basé sur le principe de Jack CANFIELD n°41 : Entourez-vous d’une équipe efficace et ensuite déléguez
Une lettre de vente, ce n’est pas QUE du texte.
Il y a aussi le packaging du produit, et le design de la page de vente. Et les témoignages. Et le processus de paiement. Et le fichier de prospects.
Si vous ne maitrisez pas tout, si vous n’avez pas tous les outils à disposition, alors trouvez les personnes qui ont les bons outils et qui les maitrisent. Et associez-vous avec elles. Ou tout du moins passez des partenariats avec elles.
Partagez les tâches et le bénéfice. C’est bien souvent comme ça qu’on avance.
La semaine prochaine
La semaine prochaine, le 42ème principe sera traité à part entière mardi, car j’ai déjà eu l’occasion d’en faire un article sympa (vous jugerez vous même) que je me propose d’adapter.
Ce sera l’occasion de tester un nouveau format pour ces principes.
29 juillet 2013
Une expérience étonnante que vous pourrez adapter à vos articles de blog
Je viens de rentrer de quelques jours de vacances, que j’ai passés avec ma douce dans un hôtel fantastique, pas loin d’Anduze (petite bourgade au cœur du Gard).
Et ce que j’ai vu là bas dans la salle de bain de la chambre que nous occupions m’a fait penser à une expérience américaine que j’avais trouvée fascinante, et qui semble avoir été reprise en France.
La voici :
L’objectif de cette expérience était, pour un hôtel, de réduire le nombre de serviettes à laver chaque jour.
Ils ont donc pour ça décidé de mesurer le nombre de personnes qui décidaient de ne pas donner leur serviette au lavage au moins pendant une journée lors de leur séjour, grâce à une petite affiche collée bien en évidence dans la salle de bain de leur chambre.
Si vous allez à l’hôtel de temps en temps, vous connaissez ce type d’affiche, sur laquelle on peut trouver un truc du genre "Merci de respecter l’environnement, et de ne changer votre serviette que si c’est strictement nécessaire".
Pour l’expérience, ils ont modifié cette affiche en indiquant : "La majorité des clients de l’hôtel réutilisent leur serviette au moins une fois au cours de leur séjour pour respecter l’environnement".
Résultat : 26 % de personnes en plus avaient accédé à la requête dans le deuxième cas.
Ce qu’on peut en déduire en copywriting
Alors ?! Qu’est-ce que cette expérience peut bien apporter à notre copywriting ?
Voici :
Lorsque l’on rajoute le concept des "autres" dans une accroche de lettre de vente, ou dans un titre d’article de blog, l’impact est plus fort du fait du sentiment d’appartenance à un groupe pour qui ça a DEJA fonctionné.
C’est pour ça que les accroches qui respectent ce principe battent en général des records quand on les teste.
Vous connaissez ce principe.
Voici 3 exemples :
- "Qui d’autre veut multiplier ses ventes par 2 ou plus grâce à 10 phrases magiques ?"
- "Ce livre a déjà aidé 1162 personnes à mieux dormir. Pourquoi pas vous ?"
- "Vous aussi vous pouvez faire venir des centaines de visiteurs par jour sur votre blog"
Les expressions "Qui d’autres", "X personnes" ou "Vous aussi" supposent forcément qu’il y a déjà eu beaucoup d’autres personnes concernées avant vous par ce que vous êtes en train de lire.
Il me semble donc important d’utiliser ce sentiment d’appartenance aussi souvent que nécessaire soit dans votre accroche, soit carrément tout au long de votre texte.
C’est d’ailleurs pour cela que les témoignages qui émaillent une page de vente ont toujours plus de poids s’ils sont en rapport avec le texte qui se trouve juste avant, et surtout si ce texte met en scène plusieurs autres personnes.
Je vous en parle dans un prochain article, avec quelques exemples pratiques.
A vous de jouer
Revoyez vos accroches et vos textes, et vérifiez bien qu’ils utilisent aussi souvent que possible l’exemple des autres.
Si vous n’avez pas mis au moins UNE accroche qui respecte ce principe en concurrence avec votre accroche actuelle, alors faites-le dès que possible.
Je vous mets un peu plus bas 10 débuts d’accroches qui utilisent l’exemple des autres. Utilisez-les pour faire vos tests.
Par exemple, je viens d’aller faire un tour sur le web, pour récupérer une accroche au hasard :
"Arrêtez de compter les calories, commencez à bien manger… et commencez à vivre !"
On pourrait la tester avec celle-ci :
"Vous aussi, arrêtez de compter les calories, commencez à bien manger… et commencez à vivre !"
ou encore celle-ci :
"La plupart des femmes qui ont suivi cette méthode ont arrêté de compter les calories, et ont enfin commencé à vivre et à bien manger"
Voici 10 mots ou phrases à rajouter qui reprennent l’exemple des autres (liste non exhaustive) :
- Qui d’autres…
- Vous aussi…
- Comme (Tartempion), …
- X (femmes) ont déjà…
- … a déjà aidé X (webmaster) à… A qui le tour ?
- La plupart des…
- Un nombre important de (blogueurs) utilisent…
- X (experts en graphisme) qui connaissent … peuvent vous dire que …
- Rejoignez les X (femmes) qui…
- Faites partie des X (chanceux) qui…
Quand vous testez vos accroches, faites-en une avec chacun de ces mots ou phrases. Ce sont des valeurs sûres.
Par exemple, pour vendre une formation visant à former les gens en copywriting :
- Qui d’autre veut apprendre comment écrire des lettres de vente qui cartonnent ?
- Vous aussi, écrivez des lettres de vente qui vendent mieux que celles de vos concurrents
- Comme Christian Godefroy, devenez un copywriter à succès…
- 241 blogueurs ont déjà multiplié leurs inscriptions par 3 en appliquant cette méthode. Pourquoi pas vous ?
- Cette méthode de copywriting a déjà aidé 128 personnes à devenir indépendants financièrement. A qui le tour ?
- La plupart des blogueurs qui réussissent utilise l’astuce de la page 37
- Un nombre important de blogueurs influents utilisent cette méthode pour augmenter leurs inscriptions
- 25 blogueurs à succès qui connaissent cette astuce peuvent vous dire que rien ne fonctionne mieux
- Rejoignez les 269 blogueurs qui ont vu leur nombre d’abonnements quadrupler cette année grâce au copywriting
- Faites partie des 25 chanceux qui pourront voir leur blog parmi les meilleurs grâce au copywriting
Notez que l’exemple des autres peut également être utilisé avec succès dans les puces promesses !
Si vous avez besoin d’aide pour changer un titre d’article, une puce promesse ou une accroche en ce sens, utilisez les commentaires ci-dessous pour ça. Je vous y aiderai autant que possible.
23 juillet 2013
Pour le 3ème évènement de ce blog : Un mois de plus pour proposer votre article
Bon, soyons lucide : C’est les vacances !
Pour beaucoup en tout cas.
Certaines personnes partent, d’autres se reposent, certains bossent, mais toujours est-il que la vie avance un peu au ralenti pendant les mois de juillet & août.
Donc forcément, moi avec mon 3ème évènement inter-blogueurs, vous demander de me fournir un gros article de 2000 mots avant le 16 juillet, ce n’est pas bien malin.
Certaines personnes que je voulais vraiment voir participer n’auront pas le temps (ni l’envie) de le faire dans un délai aussi court, et d’autres ne seront carrément pas là à temps.
Et comme je trouve ça dommage, j’ai décidé de reporter la date limite de réception des articles participants à ce 3ème évènement au lundi 13 août à 12:00.
Ce qui laisse à tout le monde un mois de plus pour préparer et peaufiner l’article demandé.
Cela permettra également à celles et ceux qui sont en vacances de pouvoir participer néanmoins à leur retour.
Je vais donc modifier le règlement de ce pas pour reculer les dates.
Je vous rappelle le lien pour y accéder : 3ème évènement inter-blogueurs sur Copywriting Pratique : Rapports Humains
Et puisque je suis là, j’en profite pour répondre à quelques questions posées ici ou là pour cet évènement.
Quelques précisions
A propos de la vente de l’ouvrage complet
Le prix de vente sera de 7 euros.
La page de vente sera sur une page privée de ce blog, avec un lien Paypal pour le règlement.
Chaque participant à cet évènement pourra donc diriger les personnes qu’il voudra (ses membres, ses clients, ses amis), à l’aide d’une URL unique dans laquelle figurera son adresse Paypal.
Ainsi, l’intégralité du montant de la vente sera crédité sur SON compte Paypal.
Je réexpliquerai tout ça en détail le moment venu, à l’aide d’une vidéo.
Concernant la coupure de l’article
Dans le cas où vous rencontrez des problèmes pour couper votre article en deux, envoyez-moi le simplement en entier. Je le couperai moi-même, et vous mettrai un titre pour la deuxième partie.
Pas besoin de stresser avec ça
Concernant la présentation de l’article
Merci de mettre des intertitres dans votre article.
Ca aère le tout, et surtout, ça permet au lecteur de fractionner sa lecture.
Bref, un article sans titres intermédiaires n’est pas vraiment facile à lire, et par conséquent, je vous demanderai d’en rajouter.
Donc merci d’y penser.
Pour finir
J’espère que ce délai supplémentaire vous aura donné l’envie de participer à cet évènement qui devrait être assez bénéfique pour toutes et tous.
Le but est d’avoir un maximum d’articles de qualité.
Et bien entendu, si les thèmes des articles sont trop nombreux, alors je ferai plusieurs livres comme pour le premier évènement.
Vous l’aurez compris : Participez !
PS : La leçon de la méthode de copywriting de cette semaine est repoussée à la semaine prochaine.
5 juillet 2012
Ne négligez jamais l’emballage…
Une de mes amies vient de perdre un être cher : Son chien.
Ca arrive, hélas.
Ca vous semble un peu exagéré de parler “d’être cher” pour un chien ? Si vous en avez un, vous me comprenez. Sinon, faites-moi confiance sur ce point.
Bref, après quelques démarches et beaucoup de tristesse, l’aventure s’est terminée au crématorium pour animaux. Elle a dû s’y rendre pour récupérer ses cendres, et là, on lui a donné un sac en plastique, avec son ami à l’intérieur…
Et elle a pleuré. Encore une fois.
Des larmes de colère et de dégout, plus que de tristesse.
Parce qu’après 12 ans passés à côté de son ami, tout ce qu’il reste de lui tient dans ce petit sac en plastique blanc de 30 cm par 20.
Et elle en veut à cet homme qui vient de lui “tendre” son ami, comme on tend un sac Carrefour plein de courses.
Oui, parce que cet homme n’est pas fin psychologue.
Bien sûr, pour lui, c’est un geste qui ne lui provoque aucune émotion, vu qu’il l’exécute des dizaines de fois par jour.
Pour autant, il suffirait de changer un tantinet sa façon de faire pour voir moins de larmes dans les yeux de ses “clients”, et surtout pour ne plus voir de colère.
Car à l’intérieur du sac en plastique, il y a un petit carton.
Et dans ce carton, il y a une très jolie urne qui contient les cendres.
L’idée de l’employé est simple : Je mets l’urne dans le carton, je mets le carton dans le sac, et je donne le sac à la cliente. Elle gagne du temps, on risque pas de faire tomber l’urne et de la casser, et tout le monde est content.
Oui mais bon…
Pourquoi ne pas donner directement l’urne à la cliente ?
Parce que même sans avoir fait d’études de psychologie, il n’est pas difficile de voir qu’un “vulgaire” sac en plastique n’a franchement pas le même impact visuel et émotionnel sur une personne triste, qu’une urne dont la fonction première est justement de présenter les cendres de la manière la moins choquante qui soit.
Sinon, on les mettrait dans une vieille boite de Quality Street ou dans un pot de confiture, et ça irait très bien.
Bref… Cette histoire un peu insolite pour vous dire qu’il ne faut jamais négliger l’emballage d’un produit, d’un concept ou même d’un service.
Parce que ce que ressent le client quand il vient vous voir est largement plus lié à ce qu’on lui présente visuellement, qu’au produit en lui-même.
Par exemple, dans l’histoire ci-dessus, l’emballage qu’on s’attend à trouver, c’est une urne.
Et pas un “pauvre” sac en plastique qui, par son aspect “commun” et mal choisi, semble manquer de respect à la mémoire du défunt ami, et par contrecoup, à la cliente.
On peut bien entendu faire un parallèle avec l’une des règles à suivre les plus importantes quand on vend un produit ou un service via Internet…
Pensez au produit ou au service que vous vendez
Un produit, même s’il est virtuel, même s’il ne se touche pas, ne se sent pas, ou ne se goûte pas, doit malgré tout provoquer un afflux de sensations chez votre client ou chez votre visiteur.
Bien entendu, quand vous vendez un produit sur Internet, surtout si c’est un livre, ou un audio, ou même une formation vidéo, alors ce produit doit pouvoir être visualisé “comme si” il était vraiment là.
C’est pour cela, que “l’emballage” est très important.
Qu’est-ce que c’est que l’emballage ?
C’est tout ce qui “enveloppe” le produit et qui le présente au monde sous son meilleur jour.
Pour les produits réels que vous trouvez au supermarché – ou ailleurs, il ne peut pas vous avoir échappé que les marques passent un temps fou à créer des emballages qui donnent envie.
Avec vos produits virtuels, vous devriez y passer aussi le temps qu’il faut pour que ce soit parfait, en proposant par exemple :
- Une couverture en couleur d’un livre ou d’un CD ou d’un DVD
- Une série de boitiers de DVD pour une formation
- Un visuel en 3D du livre / CD / DVD
Que vous vendiez quoi que ce soit de “virtuel”, il FAUT qu’un visuel de qualité de votre produit ou service soit présent sur votre page de vente ou sur votre site Internet.
C’est en effet ce qui donnera envie à vos clients de vous contacter ou carrément d’acheter votre produit.
Par exemple voici le visuel d’un “pack” qui représente une série de 10 CD virtuels que je vends :
Chaque élément de ce pack est ensuite décliné sur la page de vente du produit en essayant d’être aussi réel que possible.
Le but est d’avoir une représentation si possible en taille réelle du produit pour que les clients puissent avoir l’impression de pouvoir prendre le produit en main.
Comment créer des visuels de qualité pour vos produits d’édition
Il vous faut maitriser 2 outils.
Le premier c’est un logiciel de dessin / photo du style de Photoshop ou de The Gimp.
C’est avec ça que vous allez créer la “couverture” de votre produit “à plat”.
Par exemple pour mon livre sur le trafic web :
Une fois que votre couverture est créée, alors ensuite vous allez devoir utiliser un logiciel qui va représenter votre produit en 3D.
Voici le livre final à partir de la couverture à plat ci-dessus :
J’utilise Box Shot 3D pour réaliser mes visuels. Mais il en existe plein d’autres à utiliser.
Je vous parlerai en détails de la manière de créer un visuel de votre produit d’un point de vue technique dans la leçon n°16 de la méthode de copywriting de ce blog.
Les vieux dictons ne disent pas toujours la vérité
En résumé, même si un vieux dicton vous dit le contraire, l’habit fait le moine.
Toujours.
C’est vrai pour les hommes et les femmes dans la vraie vie, mais ça l’est encore plus avec un produit ou un site web sur Internet.
Parce que vous pouvez toujours dire que votre produit est le meilleur du monde, qu’il fait les choses les plus extraordinaires, et le plus rapidement possible.
Vous pouvez employer le meilleur copywriter de la planète qui vous sortira un texte bouleversant d’attirance avec des accroches hypnotiques magnifiques.
Mais si visuellement, la représentation de votre produit a l’air minable, pauvre et semblant sortir tout droit du siècle dernier, alors vous en vendrez 10 fois moins que ce que vous devriez. Quand ce ne sera pas ZERO !
Parce qu’une mauvaise image du produit prendra TOUJOURS le dessus sur le meilleur des textes.
Donc en résumé, faites bien gaffe à l’emballage.
C’est un travail de copywriting largement aussi important que le texte qui va autour.
En êtes-vous bien conscient et surtout appliquez vous ces conseils pour votre propre produit ?
26 juin 2012
Voilà, c’est fini…
Mes très chères amies et très chers amis…
A vous qui me suivez depuis le début de ce blog, ou alors à vous qui êtes arrivé un peu plus tard, c’est non sans une certaine émotion que je voudrais vous annoncer une nouvelle à laquelle vous ne vous attendiez certainement pas, à propos de ce blog.
Elle a été le résultat d’une longue réflexion et après quelques jours d’incertitude, ça y est, ma décision est prise :
C’est fini !
A compter d’aujourd’hui, je cesse définitivement d’écrire un article par jour sur ce blog.
Je vous explique pourquoi ci-dessous, et je vous donne également la nouvelle cadence de publication qui prend effet AUJOURD’HUI :
4 objectifs visés, 4 objectifs atteints
Quand j’ai ouvert ce blog, le 7 avril 2011, j’avais 4 objectifs précis :
- Le premier était d’arriver à 3000 abonnés.
- Le 2ème était d’avoir au moins 500 abonnés au flux RSS
- Le 3ème était d’avoir 800 visiteurs par jour
- Et le 4ème était d’arriver à 1000 abonnés Twitter (objectif plus récent)
Aujourd’hui, après 440 jours de blogging, j’ai atteint ces 4 objectifs :
Le nombre d’abonnés
Les 3000 abonnés ont été atteints le 18 juin 2012 :
Cela représente en moyenne 6,8 abonnés par jour. Sans pop-up, sans proposer un cadeau directement dans la barre latérale, ni même un formulaire.
Le but était de diriger les gens vers la page d’inscription (ce que j’expliquais samedi).
Comme vous pouvez le voir, ça fonctionne.
Vous pouvez donc faire pareil.
Le nombre de visites journalières
Sur le dernier mois, la moyenne journalière de visites sur ce blog est de 844 visites :
L’objectif était de 800 visites par jour en moyenne.
Le nombre d’abonnés Twitter
La barre des 1000 abonnés a été dépassée le 15 juin :
J’avais ouvert ce compte il y a un peu moins d’un an (le 24 juin 2011), en en parlant dans cet article.
Soit une moyenne de 1048 / 358 = environ 3 nouveaux abonnés par jour.
Ce qui m’a apporté environ 6800 visites (3224 + 2780 + 798) sur le blog :
Le nombre d’abonnés au flux RSS
Les 500 abonnés ont été atteints le 20 mai dernier :
C’est ainsi que chaque jour, 500 personnes reçoivent mon article du jour sur leur lecteur de RSS.
Un nouveau rythme de publication
Rassurez-vous, je ne vais pas arrêter d’écrire.
Par contre, j’écrirai moins.
Quand un blog comme le mien a 445 articles dans sa base, alors il n’est plus vraiment nécessaire d’écrire chaque jour (à moins d’avoir des trucs à dire chaque jour).
Quand le blog débute, par contre, ça me semble nécessaire voire carrément indispensable…
Mais ensuite, après un an passé, on peut se calmer un peu en réduisant le rythme.
D’autant que je suis bien certain qu’il y a des centaines d’articles que vous n’avez pas encore lus. Ca sera l’occasion de rattraper votre retard.
Je vais donc, à partir d’aujourd’hui, publier 3 fois par semaine :
- 1 article le lundi (Copywriting ou marketing)
- 1 article le jeudi (Méthode de copywriting)
- 1 article le dimanche (La vidéo du dimanche ou autre)
Et bien entendu, je publierai aussi d’autres jours si j’ai des trucs à dire.
Et également de temps en temps des articles qui récapituleront certains anciens articles qui colleraient à l’actualité.
Bref tout ceci va pouvoir me dégager du temps pour vous proposer à terme un certain nombre de produits qui se préparent doucement…
D’ici là, vous pouvez réagir à cette annonce dans les commentaires ci-dessous.
Il me serait bien agréable d’avoir votre avis sur cette question.
Un peu de copywriting pour finir
Parce qu’il le faut bien !
Vous avez eu peur en voyant le titre de cet article ?
Normal. C’était voulu.
Ce genre de petit teaser ne sert pas à grand chose, si ce n’est à attirer votre attention au-delà de toute espérance.
Il faut l’employer avec parcimonie, mais dites-vous bien que si vous avez des suiveurs ou des membres qui vous apprécient, ce genre d’email a un taux d’ouverture qui frise les 80%. Très rare dans d’autres circonstances.
Donc si vous avez un très gros message à faire passer UNE FOIS, utilisez ce ressort là (une fin, un arrêt, un stop, etc.).
Ouverture massive de votre mail garantie.
Attention par contre de ne pas décevoir vos lecteurs en proposant alors un contenu d’email déplorable ou inadapté.
Vos membres accepteront volontiers de se faire prendre à cette annonce, mais si derrière ce que vous leur proposez les déçoit, attendez vous à des désinscriptions massives !
Bref, réfléchissez bien avant d’employer ce système. Mais n’hésitez pas à le faire au moins une fois.
Et rendez-vous jeudi pour une nouvelle leçon de la méthode de copywriting prévue.
19 juin 2012
Méthode de copywriting – Etape 5/33 : Recenser et classer les autres sources
La semaine dernière, on a vu le gros travail que c’était de recenser les pages de ventes concurrentes.
Aujourd’hui, nous allons nous attaquer à un morceau largement aussi gros et aussi important.
Car il existe en effet plusieurs endroits où vous pouvez aller chercher des infos précieuses pour vous aider à réaliser une page de vente riche et intéressante.
1. Les forums
C’est bien entendu par là que vous devriez commencer.
En effet, les forums sont des endroits qui, par définition, regroupent des gens qui sont intéressés par un même sujet, plus ou moins vaste.
Par conséquent, si vous trainez dans les forums qui correspondent au thème de votre produit, vous pourrez récupérer des centaines d’informations qui vous seront très utiles pour votre page de vente :
[protected]
Des témoignages
Des témoignages pour commencer. Les forums sont de vrais repaires de témoins en tous genre. Vous pouvez même contacter la personne en Message Privé pour lui demander d’autres infos. Je l’ai déjà fait.
Et en profiter pour lui demander si vous pouvez la citer dans votre lettre, quitte à lui offrir un exemplaire de votre produit pour la remercier. Vous seriez surpris du nombre de personnes qui acceptent.
Des chiffres
On n’y pense pas, mais les forums regorgent de chiffres. Ceux qui sont bruts, et qui sont inscrits directement (les gens en parlent), et ceux qu’on calcule (Sur 15 personnes qui en parlent ici, 14 sont d’accord…).
Des questions
Les forums regorgent de questions. Et la plupart du temps, ce sont vos futurs clients qui les posent.
Vous avez donc la possibilité de trouver un tas de questions pertinentes, auxquelles vous pourrez commencer de répondre dans votre page de vente.
Vous vous ferez une bonne grosse liste de questions que vous pourrez rapprocher du produit que vous vendez.
Où trouver des forums ?
Si votre produit traite de près ou de loin de la santé et du bien être, alors bien sûr, allez écumer les pages du forum de Doctissimo, le plus fourni qui existe.
Vous avez aussi le forum AuFeminin.com excessivement bien fourni si votre thème s’y prête.
Si votre produit touche à la voiture, c’est sur le forum Auto que vous devez vous rendre.
Pour le reste, utilisez Google, ou pour aller plus vite, rendez-vous là.
Comment s’organiser pour les infos ?
Les forums étant ce qu’ils sont, il vous sera très difficile de retrouver une information une fois que vous aurez quitté l’endroit.
Par conséquent, je vous conseille d’ouvrir un fichier spécial (c’est ce que je fais) et de recopier carrément les posts entiers.
Vous pouvez aussi enregistrer la page comme je vous l’expliquais la semaine dernière.
Classez tout ça dans le sous-dossier “Forums” du dossier “3 – Recherche”
Pour le livre exemple que je cherche à vendre avec cette méthode de copywriting, le forum AuFéminin me donne plus d’infos que je ne peux en récupérer.
2. Les blogs
Dans la même lignée que les forums, mais beaucoup moins fréquentés, vous aurez les blogs.
Là, vous y chercherez plus de l’info pertinente que des commentaires au même titre que les forums.
La manière de rechercher une information sur un blog a été abordée de long en large dans mon article de vendredi dernier (la première partie), que je vous conseille donc d’utiliser pour trouver ce que vous cherchez en rapport avec votre produit.
3. Les documents PDF ou des thèses étudiantes
Bien souvent, si vous recherchez sur Google, dans la section “Google Scholar”, vous trouverez de véritables mines d’or.
Des thèses étudiantes qui vous donneront des informations que vous ne trouverez jamais ailleurs (parfois l’étudiant en question a passé une année complète à faire des recherches à votre place, et vous vous n’avez qu’à vous servir de l’info).
Voici l’astuce pour en trouver :
Utilisez un ou deux termes avec l’attribut “filetype:pdf”.
Pour notre sujet, ça donne : réussite+succès filetype:pdf
Un jour, j’ai trouvé une étude complète sur l’effet du café sur votre organisme quand vous essayez de maigrir. Chiffres, exemples, schéma, photos, tout y était.
Il s’agissait d’une thèse d’un étudiant en médecine qui avait fait une étude colossale qui m’aurait demandé des mois de recherches. J’en ai tiré 3 mails de relance très détaillés.
Ceci dit en passant, si vous cherchez des idées d’articles utilisez Google Scholar. Il y a de quoi faire.
Ici, bien sûr, enregistrez vos fichiers PDF dans un dossier spécial (documents, thèses, appelez-le comme vous voulez).
4. Les sites d’infos et d’actualité
Les journaux
Ensuite, si vous n’avez pas assez d’infos, ce qui serait bien étonnant, vous pouvez également aller consulter des sites d’infos et d’actualités, surtout les sites officiels des journaux nationaux.
On y trouve des articles assez sympa, et en fonction du thème de votre produit, vous pouvez ainsi citer les sources et donner ainsi un peu plus de valeur à vos arguments.
Bien entendu, la somme des recherches est colossale.
L’avantage, c’est que les grands journaux nationaux ont un système de recherche assez développé. Par exemple sur le site du journal “Le Monde” pour le mot clef “développement personnel”.
Il vous suffit donc d’indiquer les mots clefs désirés dans les champs de recherche pour avoir accès à des articles sur tous les sujets voulus.
Voici une liste non exhaustive des quotidiens français :
- Le Monde
- Le Figaro
- L’Humanité
- La Tribune
- Le Parisien
- Libération
- DNA
- La Charente Libre
- La Dépêche du Midi
- La Provence
- La Voix du Nord
- L’Alsace
- Le Courrier Picard
- Le Progrès de Lyon
- Le Républicain Lorrain
- L’Est Républicain
- Nice Matin
- Ouest-France
- Sud-Ouest
- Télégramme de Brest
Si vous cherchez des chiffres et des articles de fond, vous avez de quoi faire avec tous ces sites.
Classez bien entendu les infos et articles trouvés dans un dossier spécial.
Les alertes actus
L’idéal, quand on cherche une info sur un sujet, c’est de recevoir une “alerte” qui vous dit qu’un article vient de paraître.
Pour cela, vous pouvez utiliser Google Alertes.
Il vous suffit d’indiquer les mots clefs que vous voulez surveiller, et dès que Google indexe une page web qui comporte ces mots-clefs, alors vous recevez un mail qui vous donne l’adresse de la page en question.
C’est excellent pour rester en permanence informé d’un sujet. Personnellement, j’utilise les articles et les pages qu’on m’envoie pour faire des mails de suivi après la vente, ou carrément à inclure dans ma séquence de mails de sensibilisation :
“Tenez, je viens de trouver le site suivant qui raconte que…”. Succès garanti !
Pour l’heure, ce genre d’alertes vous permet d’avoir d’autres informations plus fraiches sur le sujet que vous traitez.
Ce qui peut aussi vous permettre de modifier après coup votre page de vente.
5. Les sondages
Ca, c’est le nec plus ultra d’une page de vente : Indiquer des sondages et des chiffres précis pour étayer vos dires.
Et si les sondages en question émanent d’un organisme connu et respecté, alors c’est encore mieux.
Je vous conseille donc d’enregistrer cette liste d’instituts de sondages qui vous donneront matière à récupérer tous les chiffres que vous voulez sur pratiquement tous les sujets.
Il existe un système de recherche sur chacun de ces sites, et avec un bon choix de mots clefs, vous devriez trouver ce que vous cherchez assez rapidement.
Prévoyez néanmoins 3 bonnes heures pour faire les choses comme il faut. Commencez par Mingle.
C’est là que je prends mes meilleurs chiffres.
Voici la liste :
- Respondi Mingle (mon préféré)
- TNS Sofres
- Ipsos
- Research International
- CSA
- Ifop
- BVA
- Louis Harris (LH2)
- Opinion Way
- Mediamétrie
- Kheolia
- Viavoice
- Léger Marketing
Enregistrez chaque site ci-dessus dans vos favoris. Créez un dossier spécial “Sondages”. Vous y reviendrez souvent.
6. Amazon
Et pour finir, je dois bien évidemment vous parler d’Amazon, que j’utilise également pour rechercher des livres en rapport avec celui que je cherche à vendre.
Ils me donnent des infos vraiment intéressantes, comme par exemple :
- Des exemples de titres
- Des modèles de couvertures
- Des résumés avec des puces promesses parfois excellentes
- Un nombre de ventes
- Des extraits de livres que je peux utiliser comme l’original (pour des idées)
- Des liens pour une bibliographie
Je passe toujours une bonne journée sur Amazon.
Et comme je maitrise aussi bien l’espagnol que l’anglais et le français, je passe en revue les livres qui existent dans les 3 langues, ce qui me donne une bonne base de livres annexes.
J’en achète parfois une bonne dizaine pour avoir plus d’infos.
J’enregistre chaque page de chaque livre en mht (je vous l’expliquais la semaine dernière) et je classe tout ça dans les dossiers correspondants.
En résumé, Amazon est une belle source d’infos.
Je le fais toujours à la fin de ma recherche, car c’est ce que je préfère.
A vous de jouer !
Voilà !
Comme je vous avais prévenu, gros travail aujourd’hui. Cette phase est très importante et complète parfaitement la recherche des pages de ventes de la semaine dernière.
A l’issue de cette semaine, vous aurez appris des centaines de choses sur le sujet du livre que vous vendez.
Ca vous permettra d’accroître votre influence et votre savoir dans votre domaine.
La phase de recherche et de recensement des idées de la semaine prochaine sera une formalité si vous avez bien passé le temps qu’il faut cette semaine.
Je vous conseille de consacrer un jour par source. Pas forcément toute la journée.
Il faut laisser votre cerveau emmagasiner toutes les infos.
Par contre, vous le verrez, si vous le faites sérieusement, alors vous ressentirez une espèce d’euphorie qui vous permettra de réaliser la phase suivante en deux temps trois mouvements.
Donc prenez bien le temps de passer en revue tout ce qu’on a vu aujourd’hui.
C’est la clef pour le reste de la réalisation de votre page de vente. Dites-vous que vous aurez fait les 3/4 du chemin à l’issue de cette 5ème étape.
Rendez-vous la semaine prochaine pour la mise en place des idées.
D’ici là, n’hésitez pas à poser vos questions.
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18 avril 2012
La technique de l’écriture triphasée ou comment écrire facilement un article sur n’importe quoi en 40 mn chrono
Hier, je vous parlais de lecture active dans le cadre de la 2ème étape de ma méthode de copywriting.
Aujourd’hui, je vais vous parler d’une technique d’écriture “scientifique” qui permet de produire un contenu de qualité pour votre blog en 40 minutes chrono sur n’importe quel sujet en se basant sur un principe similaire.
Le principe est si logique et si bien organisé, qu’après quelques essais, vous pourrez écrire sur n’importe quoi aussi facilement et aussi rapidement que le meilleur des blogueurs.
Vous êtes prêt ? C’est parti :
L’écriture triphasée
Cette technique se déroule en 3 phases :
- Phase n°1 : La lecture ou l’écoute active (10 minutes)
- Phase n°2 : La production créative (15 minutes)
- Phase n°3 : La correction logique (15 minutes)
Cette technique est particulièrement performante car elle permet de dissocier les activités cérébrales :
- Quand vous lisez, ou que vous écoutez, vous sollicitez la partie gauche de votre cerveau.
- Quand vous créez et que vous écrivez, vous sollicitez sa partie droite.
- Et quand vous corrigez, vous revenez sur la gauche.
Si vous bloquez pour écrire, c’est que vous voulez tout faire en même temps.
Le fait de dissocier les phases permet d’être plus productif, et plus efficace dans chacune des phases.
On pourrait faire un parallèle entre les différentes étapes de la réalisation d’un quatre-quart (le gâteau).
Si vous mettez tous les ingrédients en même temps dans un grand saladier, et que vous mélangez tout avant d’enfourner, votre gâteau sera mal cuit, mal gonflé, et quasiment immangeable.
Pour que ça fonctionne, vous devez d’abord séparer les jaunes des blancs. Puis mélanger les jaunes d’œuf et le sucre, ensuite vous rajoutez le beurre fondu, puis la farine, puis la levure, et pour finir les blancs en neige. Et vous enfournez.
Et là ce sera mangeable (et même carrément bon).
C’est pareil quand vous écrivez un article : Si vous séparez les 3 phases, alors tout est bien plus facile.
Je vous propose donc d’illustrer ce concept avec la réalisation d’un article en live en utilisant cette technique de l’écriture triphasée.
Phase n°1 : L’écoute active
Pour cet exemple, je prendrai une vidéo que vous connaissez peut-être, puisqu’il s’agit de la mini conférence de Philippe GABILLIET sur “Comment avoir de la chance”.
Je vous propose donc cette vidéo de 6 minutes 34 dans quelques instants, mais auparavant, soyons précis : Comment regarder cette vidéo activement ?
Il suffit de prendre une feuille de papier ou un cahier, pour noter les idées qui vous viennent à sa vision.
Ca peut être des mots “forts”, ou des idées “clef”.
Le but est de comprendre et de retenir ce que vous voyez. Dans moins de 7 minutes, vous devrez le raconter à votre conjoint.
Allons-y :
C’est bon ? Vous avez bien regardé jusqu’au bout et vous avez noté quelques trucs ?
OK.
Maintenant, passons à la deuxième phase :
Phase n°2 : La production créative
Dans cette phase, vous allez écrire votre article comme si vous le racontiez à votre conjoint, ou mieux, à votre enfant.
Quand on raconte, qu’est-ce qu’il se passe ? On a lu, vu ou entendu un truc (un film, une histoire, un livre, un article de blog), et on retransmet ce qu’on a compris. Tel quel.
Cette phase étant essentiellement créative, vous allez solliciter uniquement le cerveau droit et donc votre imagination et votre mémoire.
Vous devez donc IMPERATIVEMENT écrire d’une seule traite, sans revenir en arrière, ni corriger les fautes d’orthographe.
Ca, vous le ferez avec votre cerveau gauche, dans la 3ème phase.
C’est compliqué à faire ?
Voici un truc infaillible pour vous y aider :
Couvrez votre écran avec un vêtement, ou en mettant un cahier à cheval dessus. Vous ne devez voir que votre clavier et plus votre écran.
Vous avez maximum 15 minutes pour retranscrire ce que vous avez vu, lu ou entendu. Avec vos mots à vous, avec vos souvenirs, et avec vos expériences.
Je le fais également maintenant pour la vidéo ci-dessus. Je couvre mon écran, et j’écris à l’aveugle en ne regardant que mon clavier :
GO !
…
Et voilà. 15 minutes tout pile, avec un tee-shirt sur l’écran !
Téléchargez le fichier texte de ce que j’ai écrit à l’aveugle en cliquant ici.
Il ne nous reste plus qu’à attaquer la 3ème phase :
Phase n°3 : La correction logique
Dans cette phase, on laisse le cerveau droit au placard. On supprime, on modifie, on corrige, on met en forme.
Bref, c’est le cerveau gauche qui prend le relais.
Voici donc ma retranscription finale du texte que je viens d’écrire :
~°~
1. La chance, ça se travaille !
Dans cette vidéo, Philippe Gabilliet nous explique que pour réussir, s’il faut bien entendu du travail, il faut aussi avoir de la chance.
Et pour aussi étonnant que cela puisse paraitre, il affirme que la chance, c’est une compétence qui se travaille.
En effet, beaucoup pensent qu’il ne s’agit que de hasard ou de bonne étoile.
Mais en réalité, la chance se matérialise si on se crée un environnement favorable pour l’accueillir.
Pour cela, il faut :
- Faire les bonnes rencontres,
- Evoluer sur les bons territoires,
- Et surtout être à l’écoute des demandes.
Si on arrive à se créer ces 3 environnements, alors la chance aura bien plus tendance à se manifester dans notre vie.
2. Comment créer des environnements favorables à la chance ?
Il faut adopter 4 postures.
- La première, c’est la vigilance
C’est le fait d’être curieux.
De sortir de la routine le plus souvent possible, car la chance a horreur de la routine. C’est donc en sortant des sentiers battus que l’on arrive à rencontrer les opportunités qui pourront nous faire évoluer.
- La 2ème posture, c’est se créer un réseau de connaissances
Plus notre réseau de connaissances est important, et plus il est facile d’interagir avec les personnes qui le composent.
En les aidant. Et mettant en relation les gens entre eux, pour profiter des connaissances et des aptitudes de chacun. Pour que les gens pensent à vous au bon moment.
- La 3ème posture à adopter, c’est accepter que la chance ne fonctionne pas toujours
Quelles que soient les réussites, les chemins ont toujours été jalonnés d’échecs et de coups de malchance. Il faut l’accepter.
Ceux qui s’en sont sortis malgré tout sont ceux qui se sont servis de ces échecs pour rebondir et pour sauter encore plus loin.
Pour créer d’autres opportunités.
- La dernière posture c’est l’anticipation
Pour avoir de la chance, il faut toujours prévoir autant que possible ce qu’il PEUT se passer demain.
Il faut donc être “préparé” à accueillir la chance, et pour cela, il faut avoir un maximum de projets potentiellement porteurs. Cela permettra de ‘”sauter” sur toutes les opportunités d’intérêt qui se présenteront.
Voilà en gros ce que dit Philippe Gabilliet dans cette vidéo.
3. En résumé
Pour résumer le tout, je dirais que la chance, c’est surtout un truc qui se prépare.
Les personnes que l’on dit chanceuses sont en fait des gens qui sont excessivement bien préparées à accueillir la chance dans leur vie.
On lie souvent le succès à la loi de l’attraction, mais en réalité, c’est la somme de plein de petites choses qui se mettent en place, et qui permettent aux “chanceux” d’être réceptifs à toutes les opportunités qui se présentent.
4. Ca fonctionne !
Je suis bien entendu d’accord à 100% avec cette vidéo, car je suis l’exemple vivant que cela fonctionne.
Laissez moi vous dire pourquoi :
Le 9 janvier 1998, je me suis retrouvé à devoir choisir ou non de travailler dans un domaine totalement étranger à ma formation initiale :
On me dit qu’un restaurant de Flaine, une station de ski de Haute Savoie, recherche en urgence un cuisinier/pizzaïolo.
Et pourquoi pas ?
Je décide d’appeler, et je dis à la personne : “Vous recherchez un cuisinier ? Je peux sans souci faire le cuisiner le temps d’une saison de ski”.
Il me dit : “Vous avez de l’expérience ?”
Je réponds : “Un peu, mais pas beaucoup. Alors ce que je vous propose, c’est de bosser pour vous pendant 3 jours, et vous ne me payez pas. Et si je vous conviens, alors vous me gardez et vous me payez ou sinon, on se quitte comme ça et vous ne me devrez rien”
L’audace lui a plu.
J’ai donc bossé comme cuistot (pizzaiolo) pendant 3 mois, du 16 janvier au 15 avril 1998.
Cette décision a été le point de départ d’un changement radical dans ma vie :
Il se trouve que la femme de ce restaurateur avait une agence immobilière, et qu’elle avait besoin de cours d’informatiques.
Je lui ai donc donné des cours en dehors de mes heures de cuisine (ce qui m’a permis de multiplier mon salaire de base par 1,5). Et quand la saison s’est terminée, elle m’a pris sous contrat freelance pour la former en continu et pour créer et m’occuper de ses sites Internet. J’ai bossé avec elle pendant 4 ans.
Un coup de Chance ? Peut-être.
Mais ce n’est pas fini.
Dans le magasin à côté du restaurant, se trouvait la femme avec laquelle je suis maintenant depuis 14 ans. Je lui ai réparé son imprimante plusieurs fois, et je lui ai préparé quelques bons petits plats pendant mon temps libre…
Vous voyez : Un simple choix, et plein d’opportunités qui ont bouleversé ma vie.
Moralité :
- Soyez prêt,
- Reconnaissez que la chance existe et se travaille,
- Et faites comme si vous en aviez.
Vous pouvez être certain qu’elle va se manifester très vite !
~°~
A vous de jouer !
Cette dernière phase m’a pris 15 minutes. Parce que j’ai voulu corriger pas mal de trucs.
Vous voyez néanmoins que la réalisation d’un article complet, à partir d’une vidéo, m’a pris en tout et pour tout 40 minutes.
Vous pouvez faire pareil. Essayez.
Les notes que vous prenez pendant la vidéo ne vous serviront pas des masses. Par contre, elles vous permettent de mettre en marche votre cerveau gauche de manière plus efficace car vous associez l’écriture à la lecture ou à la vision.
La prise de notes est donc primordiale. D’autant que vous pourrez compléter par la suite, quitte à faire un deuxième article !
Essayez !
Vraiment, essayez ! Ca fonctionne du tonnerre, et pour n’importe quel sujet.
Faites-le et venez ici nous parler de l’article que vous avez fait comme ça ! Je compte sur vous.
29 mars 2012
Une manière simple de gagner du temps tout en améliorant votre référencement
Une des bonnes manières d’améliorer le référencement de son blog est de faire ce qu’on appelle un bon “maillage interne”.
Vous l’avez sûrement déjà lu quelque part.
De quoi s’agit-il ?
Il s’agit de lier certains mots-clefs ou expressions avec des articles que vous avez déjà écrits.
Les avantages du maillage interne
Par exemple, lorsque je parle de méthode de copywriting, vous pouvez voir que cette expression est liée vers la table des matières de la méthode de ce blog, et si vous cliquez dessus, vous y arrivez directement.
Cela améliore votre référencement, puisqu’ainsi, vous dites à Google que cette expression compte beaucoup pour ce blog, puisque vous vous êtes déjà fendu d’un article dessus.
En plus, cela a un impact positif sur vos lecteurs, qui peuvent ainsi, s’ils le souhaitent, aller voir ce que vous avez à dire sur tel ou tel sujet. Vous les gardez donc encore un peu plus avec vous, et ça, on sait que c’est bon.
Tout ceci est excellent, mais cela comporte un inconvénient majeur :
Ca prend un temps fou de rechercher à chaque fois les adresses des articles et des pages pour lier les mots de votre article en cours.
Je vous propose donc ici de rendre tout ceci bien plus facile, grâce à un outil génial et à une petite astuce qui ne vous demandera pas plus d’une minute à chaque fois, pour autant de liens que vous voulez sur votre blog.
Un plugin pour gagner un temps fou
L’outil en question est un plugin qui s’appelle “Internal Link Building”, et il fait spécifiquement ce dont je viens de parler : Il s’occupe à votre place de votre maillage interne.
Que fait-il exactement ?
Il vous permet de vous constituer une base de mots-clefs sur lesquels vos lecteurs pourront cliquer pour se rendre sur un article en relation avec ce mot-clef.
Pour l’installer sur votre blog, téléchargez-le ici.
Je l’ai partiellement traduit en français. En tout cas la partie dont on se sert pour le configurer.
Voici comment l’utiliser concrètement :
Une fois que vous l’avez installé et activé, un nouveau menu (Keywords) s’est rajouté dans votre rubrique “Articles” :
Cliquez dessus, puis rendez-vous sur la page de configuration :
Dans la case n°1, indiquez le mot clef ou l’expression que vous voulez lier.
Dans la case n°2, indiquez l’adresse de l’article sur lequel vous voulez faire pointer votre lien.
A chaque fois que le mot clef choisi apparaitra dans un article passé ou futur, il y aura un lien vers cet l’article indiqué dans cette case n°2
Dans la case n°3, indiquez le nombre d’affichages MAXIMUM du mot clef dans une même page.
Par exemple, le mot “forums” sur cette page apparait en tout 19 fois. J’ai mis “5” dans la case n°3, aussi le mot “forums” n’est-il lié que 5 fois dans la page.
Cochez la case n°4 si vous voulez que l’expression liée ne concerne qu’une seule sorte de casse.
Par exemple, si vous ne cochez pas la case pour l’expression “maillage interne”, alors “Maillage Interne” (avec une majuscule à chaque mot) sera aussi lié. Par contre, si vous cochez la case, seule l’expression en minuscules sera liée.
Et pour finir cochez la case n°5 si vous ne voulez pas que Google suive le lien. Aucun intérêt pour du maillage interne (le but est que Google suive tous vos liens internes), mais par contre, vu que vous pouvez aussi lier des sites extérieurs (par exemple pour de l’affiliation), pas besoin que Google suive ce genre de lien.
Une fois que vous avez renseigné toutes ces cases, alors il ne vous restera plus qu’à cliquer sur le bouton jaune écrit en rouge pour sauvegarder votre mot clef :
Si vous voulez saisir plusieurs mots clefs en même temps sans avoir à sauver à chaque fois, vous pouvez cliquer sur le lien bleu qui se trouve dessous :
Cela aura pour effet de rajouter des lignes vierges avec des cases vierges.
Je vous conseille néanmoins de sauvegarder vos modifications au fur et à mesure.
Une astuce pour ne plus jamais perdre de temps
Comme je vous le disais en introduction, il est facile de perdre du temps avec cette activité.
Parce que lorsque vous voulez rajouter un mot clef, il va vous falloir faire une recherche de l’article le plus pertinent pour correspondre au mot clef choisi.
Et il faut que vous trouviez son adresse exacte.
Une bonne astuce consiste à le faire JUSTE APRES que vous ayez publié votre article.
En gros, lorsque vous publiez votre article du jour, sélectionnez le mot-clef qui représente le mieux votre article.
Et ajoutez-le à votre base.
Indiquez le lien de votre dernier article (facile à trouver) en case n°2, et comme ça, vous n’avez plus à y revenir ensuite.
Par exemple, moi je vais le faire avec l’expression “maillage interne”, que je vais lier à cet article.
A vous de jouer !
Autant vous prévenir tout de suite : Le but n’est pas que vos articles ressemblent à des arbres de Noël, comme je peux le voir sur certains blogs.
C’est à dire qu’il ne faut pas que vous ayez plus de 6 ou 7 mots-clefs différents ou même de liens sur la même page, sinon, votre page va se transformer en quelque chose d’illisible.
Evitez donc de lier des mots ou des expressions qui reviennent trop souvent dans vos articles. Privilégiez plutôt des termes esseulés et rares, qui leur donneront plus de poids tant pour vos visiteurs que pour Google.
Bloquez systématiquement à 3 maximum le nombre d’affichage par mot clef. Mais n’hésitez pas non plus à ne mettre que “1”. Ca suffit souvent pour que vos lecteurs comprennent qu’un article se cache derrière ce mot-clef.
Le but est qu’ils lisent les articles jusqu’au bout. Pas qu’ils sautent d’un article à l’autre sans vous lire en entier.
Voilà !
J’espère que ce plugin et cette petite astuce toute simple vous permettront d’améliorer votre référencement et de garder vos visiteurs un peu plus longtemps sur votre blog.
22 mars 2012
Utiliser l’exemple des autres pour vendre plus
Je ferai souvent référence au livre dont j’ai déjà parlé "Yes ! Devenez un as de la persuasion en 50 leçons" de Goldstein, Martin et Cialdini, car ce livre contient de véritables bijoux en matière de copywriting scientifique et comportemental.
Alors qu’à l’origine, ce livre était plutôt destiné à la persuasion parlée, il s’avère que les auteurs testent beaucoup de leurs concepts par écrit, à l’aide d’affichettes ou même carrément d’affiches 4 x 3.
Il est donc assez facile pour moi de reprendre la plupart de ces enseignements pour tenter d’améliorer mon copywriting (et le vôtre par la même occasion puisque vous lisez ces mots).
Dans cet article, je vais vous parler de "l’exemple des autres".
Plus d’efficacité grâce à l’exemple des autres…
Cet article a été remasterisé avec la technique de la canne à pêche. Vous pouvez consulter sa nouvelle version ici.
26 avril 2011