Copywriting Pratique

Ecrivez facilement des textes qui font agir

Racontez, pour voir…

A l’ère de l’Intelligence Artificielle, qui est capable de produire un excellent argumentaire (si vous savez poser les bonnes questions) en quelques quarts d’heure, il est malgré tout quelque chose d’immuable :

Si vous décidez de raconter des histoires ou des anecdotes, et de mettre des exemples vécus dans vos infoproduits, vous allez créer un contenu 100% personnel que personne ne pourra copier (puisque ce sont VOS histoires).

Même l’IA ne peut pas savoir ce que vous avez vécu.

Et si vos histoires sont bien tournées, elles peuvent enseigner de manière bien plus efficace que n’importe quelle théorie.

Ce qui fera une réelle différence entre un produit médiocre dont on trouve les infos partout et un ouvrage qui sera un best seller.

Sans parler du fait que de cette manière, votre produit (ebook, formation ou autre) sera bien plus apprécié.

Les témoignages que vous recevrez seront bien meilleurs et donneront plus envie aux autres d’acheter.

C’est de cette manière que l’on peut faire de son produit son premier ambassadeur.

Pensez-y sérieusement : on a tous des histoires incroyables à raconter autour de notre thème.

Pourquoi ne pas en faire un bon produit ou pour le moins, s’en servir pour enrichir un produit existant qui a du mal à se vendre ?

Votre action du jour :

Dans un de mes livres préférés, « Réveillez le millionnaire qui est en vous » de Robert Allen et Mark Victor Hansen, les auteurs ont décidé d’écrire le livre de 2 manières.

Sur les pages de gauche, on a le droit à des techniques et de la pratique, et sur les pages de droite, on découvre une histoire palpitante d’une femme qui doit trouver un million de dollars en 3 mois.

Et si vous preniez un chapitre d’un livre ou d’une formation que vous vendez et que vous faisiez pareil ?

Vous pourriez vous servir de votre expérience personnelle qui doit être riche de plein de manières pour transformer ce chapitre en quelque chose de palpitant.

Commencez par un petit passage, et puis voyez si vous ne pourriez pas, à terme, créer l’exact pendant de votre produit en aventures.

Imaginez combien vos clients seraient ravis !


Aujourd’hui ? Rien !

Quand on bosse sur Internet ou ailleurs, mais surtout quand on bosse pour soi, on a la chance de pouvoir faire un truc qui fait culpabiliser beaucoup de monde.

Ce truc, c’est : ne rien faire.

Et pourtant, il ne faut pas culpabiliser, bien au contraire.

Vous êtes en train de faire une page de vente ? un site Internet ? un livre ? Ou quoi que ce soit d’autre de créatif ?

Laisser le temps à votre cerveau de se reposer et de combler les trous.

Vous reprendrez demain.

De toute façon quand on bosse en se forçant on fait toujours de la bouse.

Dans un bureau, on s’en fout… ça ne se voit pas vraiment…

Mais quand on crée quelque chose qui sera lisible ou audible par des millions de personnes pendant des siècles et des siècles, faire de la bouse, c’est éternel…

Alors aujourd’hui c’est relâche.

Votre action du jour ?

Allez-vous tremper dans l’eau, allez courir, faire du sport, mangez un truc à vous couper le souffle, sortez, allez voir des potes, allez danser, appelez vos parents, vos enfants, discutez, papotez, allez parler aux girafes ou aux éléphants.

Ces activités ne vous plaisent pas ?

Demandez à ChatGPT de vous en donner d’autre. Pour que ça soit sympa, il y a une manière spéciale pour lui demander.

Les abonnés ont eu droit aux 2 questions (prompts), et aux 10 réponses carrément insolites qui vont avec.

Inscrivez-vous, si vous les voulez.


Comment pourrais-je améliorer mes articles ?

C’est une question que je pourrais vous poser, à vous qui passez par ici.

Ce serait toujours une bonne idée.

Parce que lorsqu’on est « le nez dans le guidon », on a du mal à voir ce qui cloche quand on écrit.

Et pourtant…

Vous imaginez écrire pendant 15 ans à des gens, et vous apercevoir à la fin qu’en fait, ce n’est pas ce qu’ils voulaient lire ?

Ca en fait froid dans le dos.

Que ce soit vos articles, vos mails ou vos pages de vente, demander l’avis de celles et de ceux qui les lisent devraient être le prochain rituel hebdomadaire ou mensuel à mettre en place.

Après tout, comment pourriez vous être sûr à 100% que ce que vous proposez à la lecture est apprécié par la majorité de vos abonnés ?

J’en profite donc pour vous demandez, à vous qui me lisez, là, tout de suite :  Si vous avez été faire un petit tour sur différents articles de ce blog (ne serait-ce que ceux qui apparaissent sur la page d’accueil…

Vous avez des suggestions d’amélioration ?

Les commentaires sont là pour ça. Vous pouvez aussi m’écrire par mail. 😉

Merci d’avance.


Avez-vous la bonne pancarte ?

Accéder à la bonne page d’un agenda est rendu très facile par le petit coin bas de chaque feuille que l’on peut – normalement – détacher.

Quand une journée est passée, on déchire le coin, et le lendemain, on peut arriver directement à la page du jour.

Efficacité accrue et gain de temps évident.

J’imagine que cette astuce a été trouvée et mise en place suite à un nombre record de retours à propos des agendas, et surtout de la perte de temps récurrente que l’on expérimente si on doit tourner plusieurs pages dudit agenda pour trouver la bonne.

C’est un bel exemple d’une innovation basée sur l’expérience client.

Pour un site web, une page de vente ou même un article de blog, ça devrait être pareil.

Car la perte de temps qu’implique une mauvaise accessibilité au contenu désiré se paye en espère sonnante et trébuchante.

Si une personne arrive sur une page de vente et n’arrive pas à comprendre très vite qu’elle va trouver ce qu’elle est venue chercher, elle repartira pour le trouver ailleurs.

Si c’est le cas, votre accroche est en cause dans 97,5% des cas.

Si une personne arrive sur l’un de vos articles de blog et qu’elle ne peut pas scanner vite fait quelque chose pour savoir de quoi vous allez parler et si cela l’intéresse, elle ira chercher ses infos ailleurs.

Le titre de votre article et sa table des matières servent à faire ce job.

Si une personne arrive sur votre site web, et qu’elle ne repère pas très vite sur quoi elle doit cliquer pour avoir les infos qu’elle recherche, elle repartira chercher un autre prestataire.

C’est ce qui se trouve au-dessus de la ligne de flottaison de l’écran, l’intitulé de vos liens et votre slogan qui permettent de prendre la décision d’aller plus loin.

Bien souvent, on se casse la tête à essayer de comprendre pourquoi les gens n’achètent pas, n’interagissent pas ou ne prennent pas rendez-vous.

En fait, ils ne peuvent pas le faire, puisqu’ils ne sont plus là…

Dans la plupart des cas, ce ne sont pas vos textes, les fautifs.

Il manque juste une pancarte qui indique clairement où trouver ce que les gens cherchent.


2 manières d’ultra qualifier vos listes d’emails

Avec l’IA qui peut faire faire à peu près n’importe quoi d’automatique à un système informatique, il est vital de faire en sorte de bien séparer les actions humaines des actions « robotiques ».

Je viens de m’inscrire sur une liste américaine où le gars propose 2 trucs que j’ai trouvés formidables d’ingéniosité.

Je pense que ça pourrait vous servir à vous aussi.

Déjà, pour confirmer votre email d’inscription, vous ne devez pas cliquer sur un lien, mais répondre à une question en répondant au mail de confirmation.

Ingénieux, non ?

Ensuite, comme le gars a envie que vous le lisiez souvent, il vous prévient d’un truc :

« Si vous n’avez pas ouvert au moins 50% de mes emails après les 10 premiers que je vous ai envoyés, je vous désabonne direct« .

L’idée est géniale, je trouve.

Pour plusieurs raisons.

Déjà, ça limite le nombre de curieux. La liste en devient beaucoup plus qualifiée.

Ensuite, ça vous force à être particulièrement bon quand vous rédigez l’email envoyé, mais aussi quand vous rédigez son titre.

Pensez-y : 5 mails ouverts sur 10, vous n’avez pas intérêt à envoyer un mail « juste parce qu’il faut le faire ».

D’ailleurs, il n’hésite pas à dire qu’il passe des fois 3 heures à rédiger son mail du jour, et 1 heure de plus à trouver son titre.

Je pense que c’est un peu mytho, parce que 3 heures pour rédiger un email à l’heure de l’IA (pour les idées), et dans un domaine où l’on est expert, c’est une diablerie et surtout une sacrée perte de temps…

En même temps, j’ai une bonne idée de comment on pourrait passer 3 heures pour écrire un ou plusieurs emails d’excellente qualité, et construire ainsi une liste ultra qualifiée.

Si vous êtes membre de Copywriting Pratique, vous avez reçu cette idée dans le mail du jour.

Si vous ne l’êtes pas encore, inscrivez-vous ici.

On vit vraiment une époque formidable. On arrive aujourd’hui à faire des choses en quelques heures, alors que cela nous aurait demandé des semaines entières il y a seulement 2 ans.

Il faut juste rester à la page.

 


Parce que…

Robert Cialdini, dans son livre « Influence et manipulation », explique comment une demande peut avoir 2 fois plus de chances d’être acceptée si on justifie la raison de la demande juste derrière.

En gros, si vous demandez à une personne de passer devant elle en caisse d’un supermarché, vous avez une chance sur deux de vous faire envoyer paître.

PAR CONTRE, si vous complétez votre demande avec un truc du genre « parce que … je dois aller chercher mon fils à l’école« , alors là, vous avez 9 chances sur 10 qu’on vous dise oui.

Vous pouvez reprendre ce concept dans une page de vente.

A plein d’endroits.

L’idée est de mettre « parce que… » après un maximum de phrases affirmatives, ou après une demande.

Et doit suivre ensuite une « raison impérieuse ».

Par exemple, si vous dites que votre produit va aider à écrire plus vite et plus efficacement des articles de blog, vous pouvez compléter la phrase (par exemple) avec un « parce qu’on n’a pas d’intérêt à passer 2 heures à écrire un article si 15 minutes suffisent« .

Et si vous mettez une puce promesse, vous pourriez la terminer en expliquant POURQUOI c’est important : parce que c’est la meilleure manière de…

Pensez-y : le mot le plus engageant qui existe sur une page de vente, c’est « parce que« .

Reprenez vos pages, et voyez où vous pourriez en rajouter.

Parce que c’est la meilleure manière d’augmenter significativement vos ventes. 😉


10 bonnes raisons de lire cet article :

J’en ai déjà parlé, « 10 » est un bon chiffre pour un titre d’article de blog.

J’en profite pour vous donner 10 raisons d’insérer des listes chiffrées dans vos articles, vos emails ou vos pages de vente :

  • Facilite la lecture : Les listes rendent le texte aéré et brise la monotonie des paragraphes denses.
  • Structure l’information : Hiérarchise et organise les idées.
  • Simplifie la compréhension : Permet d’assimiler rapidement les points clés.
  • Met en valeur l’essentiel : Souligne les éléments importants.
  • Incite à la mémorisation : Rend les informations plus mémorisables.
  • Améliore le référencement : Les listes sont appréciées des moteurs de recherche.
  • Économise le temps du lecteur : Permet une lecture rapide et efficace.
  • Appuie les arguments : Renforce la crédibilité et la persuasion.
  • Crée du rythme : Varie la présentation pour maintenir l’intérêt,
  • Fournit un support visuel : Les listes attirent l’œil et guident la lecture.
  • Valorise l’expertise : Montre la maîtrise du sujet par l’auteur en l’incitant à être simple et concis

Si vous avez lu cette liste jusqu’au bout, c’est que ces conseils fonctionnent.

Une liste, c’est comme une induction hypnotique : Ca guide les lecteurs là où vous le souhaitez.

Par contre, vous avez remarqué qu’il y a 11 puces et non 10 ?

Si vous ne l’avez pas remarqué, c’est ma faute, pas la vôtre.

Quand on énumère des bienfaits, des bénéfices, des outils ou des conseils, l’idéal est de mettre un chiffre devant chaque puce.

C’est mieux.


Ces 17 conseils ne vous aideront probablement pas…

Hier, je vous parlais des titres d’emails.

Je vous disais qu’ils devaient être construits juste après l’écriture de votre article.

J’ai reçu quelques messages, suite à cet article, dans lesquels on me disait « Désolé, je n’y arrive pas !« .

On me demande de donner quelques conseils pour « aider à trouver de bons titres« …

Bon…

Vous voulez des conseils ? OK, en voici 17 :


Titre trouvé à la dernière seconde…

Ce matin, c’est le Stade de France dans mes oreilles.

Un merle, virtuose du chant matinal, s’égosille les poumons depuis 20 minutes, posé juste sur le rebord de ma fenêtre de chambre.

Définitivement plus sympa qu’une sonnerie de réveil, mais quand même, 20 minutes de chant à tue-tête, ça fait long…

Et puis petit à petit, le son est devenu « commun ».

Je vis dans un endroit où les oiseaux sont nombreux, et où le concert matinal est sans fin… jusqu’à 15h00 !

Alors évidemment, à force, on n’y fait plus attention. Et ça s’intègre dans notre journée comme n’importe quel autre bruit.

Comme le bruit des voitures dans les grandes villes. A force, on ne les entend plus.

Les emails, c’est un peu pareil.

On vous dit qu’il faut mettre un prénom dans un titre d’email, un mystère, une accroche, ou plein d’autres trucs « qui captivent ».

Mais la réalité, c’est que si tout le monde fait ça, tout comme le chant du merle, à la fin on n’y fait plus attention.

Trouver des titres et des sujets de mails qui donnent envie d’arrêter sa routine matinale, ce n’est pas recopier des titres qu’on vous donne dans une liste de « 1237 sujets qui attirent ».

Non !

C’est trouver LE titre qu’on n’a pas l’habitude de lire.

Un truc qui intrigue tellement que ça donne forcément envie de lire ce qui arrive juste après.

Mais pas tout le temps !

Une autre fois, ce sera le prénom de votre membre, avec un ou deux mots derrière.

Ou ce sera un seul mot…

Les titres d’emails qui fonctionnent, vous ne les trouverez pas dans une liste de titres « qui cartonnent ».

Vous les trouverez dans votre cerveau. Au juste moment où vous en aurez besoin si vous savez comment ça marche.

Le titre de cet article, par exemple, au moment où j’écris ces mots, je ne l’ai pas encore trouvé.

Mais je sais que dans quelques secondes, j’aurai un titre sympa.

Trouver un titre ou une accroche, c’est une question d’habitude. Plus vous écrivez, plus vous arrivez à trouver le titre qu’il faut rapidement.

Demain, j’irai plus loin dans ce concept…

 


Et bam !

La comparaison…

Outil puissant pour essayer de faire comprendre un concept compliqué.

Il y a quelques jours, je suis assis en face d’une fille qui pense qu’elle maîtrise le concept.

La voilà partie dans une envolée lyrique visant à expliquer comment un jour, deux gars ont essayé de la faire adhérer à une secte quelconque à l’aide d’arguments « débiles », ce sont ses termes.

« Ils étaient tellement teubé, ils savaient pas parler ! » Et elle ponctue son discours par un « Un peu comme toi à notre premier rendez-vous », en se tournant vers son amoureux, qui, à cet instant précis, ne comprend pas bien ce qui lui arrive dans la tête…

C’est un skud, oui, messieurs-dames !

Un bon petit missile en bonne et due forme, qui a laissé l’amoureux pantois, et l’assistance autour totalement hilare.

Utiliser une comparaison, c’est généralement une bonne idée. J’en ai déjà parlé.

Par contre, l’objectif est de l’utiliser à bon escient, et surtout, au bon moment.

Dans une page de vente, la comparaison sert à produire une image dans l’esprit des gens, afin qu’ils puissent mettre quelque chose de tangible, de palpable, autour d’un concept abstrait.

Et c’est tout !


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