Copywriting Pratique

Ecrivez facilement des textes qui font agir

Quand l’absurde fait écrire…

Aujourd’hui, mes cher.e.s petit.e.s copywriters et copywritress en herbe, je vous propose de plonger dans les méandres de mon esprit dérangé et sarcastique.

Oui, pour ce 6ème article de « La Semaine du Contenu« , organisé par CopyPratik, où il est question du 2ème type d’article le plus partagé qui soit, nous allons aborder ce thème : « Ecrire un article de blog en prenant une position satirique sur une tendance« .

Donc, pour l’occasion, écrivons de manière satirique et sarcastique.

J’imagine que vous vous demandez comment j’ai réussi à survivre à l’écriture de plus de 3000 articles, sans perdre la raison, sans tomber dans le cliché, sans épuiser tous les adjectifs de la langue française.

Eh bien, laissez-moi vous dire… C’est simple. J’ai appris à aimer les tendances.

Pas comme un mélomane aime une symphonie de Beethoven ou comme un gastronome aime un bon camembert.

Non, non.

Je suis devenu un accro des tendances comme une mouette aime les frites abandonnées sur une plage bondée.

J’observe, je choisis, je picore, je critique, je déforme et voilà… un nouvel article, plus brillant et plus satirique que le dernier.

C’est une véritable addiction.

Chaque fois que je vois une nouvelle tendance émerger, chaque fois qu’un gourou du lifestyle décide que les chaussettes roses fluo avec des sandales sont le dernier cri, je ressens un frisson de pur délice cynique.

Et vous, mes adorables lecteurs, êtes aussi dans ce bateau.

Vous aussi vous avez subi les recommandations « d’influenceurs » qui ont tenté de vous vendre le dernier gadget inutile ou la nouvelle mode ridiculement chère.

Vous aussi vous avez levé les yeux au ciel face à une nouvelle « tendance alimentaire » qui prétend vous faire vivre jusqu’à 150 ans, si seulement vous mangez des graines de chia à tous les repas.

Bienvenue dans le merveilleux monde des tendances, où le ridicule ne tue pas, mais alimente un blogueur satirique sur-actif.

Alors asseyez-vous, accrochez-vous et préparez-vous à rire.

Car aujourd’hui, nous allons explorer ensemble l’art délicat…


Et pourquoi pas ce type d’article ?

Aujourd’hui est un jour un peu différent des autres jours, car même si cet article présente le 3ème type de post les plus partagés, sa réalisation a été bien plus fastidieuse, pour trouver des trucs intéressants.

Ce qui tombe très très bien, car vous l’aurez compris, cette série d’articles qui paraissent lors de la « Semaine du contenu » est pour moi l’occasion de vous parler de ChatGPT, afin que vous compreniez comment l’utiliser pour produire du contenu pertinent.

Et justement, pour cet article, je lui ai demandé – comme pour les autres – de m’aider à l’écrire.

Il s’avère qu’il a grandement galéré, et qu’il a encore une fois fallu le repousser loin loin dans ses retranchements avant qu’il me sorte quelque chose de correct et de sympa.

Oui parce que écrire pour écrire, comme un journaliste scientifique, à propos d’un sujet, ça il le fait très bien.

Par contre, dès qu’on veut quelque chose d’unique, de fun et de léger, faut un peu se battre.

Je vais donc vous expliquer, conjointement au type d’article du jour (Un article qui explique POURQUOI vos lecteurs ont besoin de (faire) quelque chose), comment forcer ChatGPT à vous écrire quelque chose de bon, même s’il s’obstine vouloir faire de la bouse.

Un chapitre entier lui sera donc consacré.

Mais commençons par le début…


La théorie des deux concepts sans rapport

La plume à la main, l’écran de votre ordinateur vous fixe, attendant ces premiers mots qui vont capter l’attention de vos lecteurs.

Vous cherchez cette idée lumineuse qui fera de votre prochain article un véritable succès d’audience.

Avez-vous déjà envisagé de relier deux thèmes apparemment sans rapport dans votre article de blog ? Non ?

Eh bien permettez-moi de vous présenter cette approche surprenante mais incroyablement efficace pour booster l’engagement de vos lecteurs.

Vous l’aurez compris, cet article présente le 4ème type d’article parmi les plus engageants, dans le cadre de la « Semaine du contenu » organisée par CopyPratik.

Relier deux concepts qui, à première vue, semblent totalement sans rapport, c’est comme composer un menu gastronomique avec deux ingrédients que l’on n’aurait jamais pensé associer.

Comme le chocolat et le foie gras, par exemple. Ou le coca et le filet de bœuf. Ou les coquilles Saint-Jacques avec une sauce au Carambar.

C’est surprenant, intriguant, et cela pique la curiosité de ceux qui le découvrent.

C’est précisément cette curiosité qui stimulera vos lecteurs à lire votre article jusqu’à la fin et, mieux encore, à s’engager avec votre contenu. Surtout si vous suivez les conseils qui suivent…


Une histoire de passerelle…

Cet article vous présente le 5ème type d’article le plus engageant, à l’occasion de « La Semaine du Contenu » organisée par CopyPratik.

Cet article, c’est la création d’un glossaire.

Un glossaire n’est pas seulement une liste de mots. Il s’agit d’un véritable outil de communication, une passerelle vers une meilleure compréhension.

Dans son essence la plus pure, un glossaire est une collection organisée de termes spécifiques à un domaine ou à une industrie, accompagnés de leurs définitions précises.

Il sert de guide, un phare dans l’océan parfois déroutant du jargon technique ou professionnel.

Pourquoi ?

Parce que le langage, comme vous le savez, est le cœur de notre communication.

Chaque domaine d’expertise a son propre ensemble de termes qui, utilisés correctement, peuvent transmettre des idées et des concepts complexes avec une clarté et une précision impressionnantes.

Cependant, pour les non-initiés, ces termes peuvent souvent sembler déconcertants, voire intimidants.

Comment un glossaire peut aider à clarifier et à standardiser la signification de ces termes


Comment faire grossir son audience grâce aux…

Cet article vous présente le 6ème type d’article le plus engageant, à l’occasion de « La Semaine du Contenu » organisée par CopyPratik.

Ce type d’article, c’est « Interviewer un expert dans votre domaine ». 

Et vous allez le voir, il y a beaucoup à dire sur tout ça.

A la fin de cet article, je vous proposerai un « bonus » tout à fait exceptionnel, que vous découvrirez tout au long de l’article, et plus particulièrement au niveau des questions à poser lors d’une interview.

Mais pour l’heure, voyons tout d’abord pourquoi ce type d’article est essentiel pour vous si vous avez un blog et que vous souhaitez augmenter la taille votre audience de manière significative.

Lorsque vous interviewez un expert dans votre domaine, vous ne faites pas qu’ajouter une nouvelle voix à votre blog.

Non, vous faites bien plus que cela :


90 + 3 conseils plus ou moins efficaces pour…

Cet article fait partie d’une série de 7, qui met en avant les 7 types d’articles de blog les plus engageants, selon une étude de BuzzSumo de plusieurs dizaines de millions d’articles existants.

Pendant 7 jours, du 16 au 22 mai 2023, je vous propose de passer en revue ces 7 types d’articles, avec l’aide de ChatGPT.

Je vais lui demander en direct de m’aider, et vous donner les prompts (les invites, en français) qui vont vous permettre de créer des articles de très haute qualité sur votre thème préféré.

Aujourd’hui, nous voyons le 7ème type d’article le plus partagé :

Une liste de conseils pratiques, concrets, à appliquer directement.

Pour que ce type d’article soit efficace (lu et partagé), l’idée est de suivre les 3 conseils primaires qui suivent.

Mais avant de les lire, ne vous emballez pas.

Ce sont des conseils pertinents, certes, mais on peut aller beaucoup, beaucoup plus loin.


Les 7 types d’articles à écrire – ou pas – avec ChatGPT qui se partagent le plus

Je viens de tomber sur un article de BuzzSumo qui répertorie 91 idées et types d’articles, avec le nombre d’actes d’engagement obtenus.

J’ai trouvé ça sympa.

Alors je me les suis paluchés 1 à 1 en notant à chaque fois le nombre d’engagements pour chaque type d’articles, et j’ai retenu les 7 types les plus partagés.

Je vous propose donc de faire « La semaine du contenu« , du 16 au 22 mai (ça commence demain) en vous écrivant 7 articles complets et détaillés sur chacun de ces types d’articles qui se partagent le plus.

Cela va me donner l’occasion de vous présenter ChatGPT du point de vue de l’utilisateur, parce que ça fait quelques mois que je l’utilise, et j’ai pas mal de trucs et d’astuces à vous donner pour que vous en fassiez un assistant à votre service.

On va donc l’utiliser à outrance pour ces 7 prochains articles, et ensuite, je reviendrais à l’écriture courte.

Avant toute chose…

Quand je parle d’utiliser ChatGPT, je vous parle de celui qui se trouve à cette adresse : https://chat.openai.com.

Il faut vous inscrire.

Et si possible (si c’est encore possible, surtout), il faut prendre la version « Plus » (20$ par mois) afin d’avoir le modèle « GPT-4« .

C’est celui qui donne les réponses les plus pertinentes qui soient, même s’il est encore un peu lent.

Une fois que vous êtes inscrit.e, vous avez juste à choisir « Model GPT-4 », et à mettre votre curseur sur le champ situé tout en bas de la page :

Et c’est là que ça commence…

Je vous ai préparé une mini formation accélérée sur cet outil, vous m’en direz des nouvelles !

Restez branché.e, et… à demain !

 

 


Aujourd’hui, 7 questions :

Aujourd’hui, pas vraiment d’article.

Juste quelques questions, histoire de vous faire réfléchir un peu ce week-end :

  • Si vous vendez votre propre produit, êtes-vous bien sûr qu’il s’agit d’un produit dont vos clients ont VRAIMENT besoin ? Vous êtes sûr ? Vous le leur avez demandé ?
  • N’y a-t-il pas un autre produit qu’ils voudraient encore plus ?
  • Connaissez vous les mots exacts qu’emploient vos clients quand ils parlent du problème que vous voulez résoudre avec votre produit ?
  • Savez-vous quel est LE plus gros problème de vos clients ? Leur avez-vous demandé ?

Répondre honnêtement à ces quelques questions vous permettra de savoir si vous êtes dans le droit chemin avec votre produit ou s’il ne faudrait pas passer un peu de temps à améliorer tout ça.

Quitte à demander aux personnes concernées, pourquoi pas…


Plus de 4000 vies !

« J’ai lu plus de 4 000 livres, donc j’ai vécu plus de 4 000 vies. Tout le monde devrait avoir cette chance ! »

Cette déclaration vient de Mohammed Aziz, qui tient sa librairie dans la médina de Rabat depuis 1967.

Il possède plus de 4 000 livres dont certains qu’il expose méticuleusement à l’extérieur tous les jours.

Il a lu tous les livres qu’elle contient, qu’ils soient en arabe, en français, en anglais ou en espagnol.

« Vivre une vie » en lisant un livre, Ô combien je suis d’accord.

A l’heure des chaines qui vous proposent des nouvelles séries chaque jour, des films abrutissant avec très peu de bonnes histoires, lire un livre est de plus en plus rare.

Pour autant, il n’y a rien qui soit plus important pour l’imagination que la lecture.

On vous apprend à l’école que plus vous lirez, plus vous serez bon en orthographe, et plus il sera facile pour vous de parler, de connaitre de nouveaux mots et de « vous intégrer dans le monde du travail ».

Mais ce qu’on ne vous dit pas, c’est que lire, c’est développer son imagination au-delà de tout ce qui est possible.

Quand vous lisez des mots, les seules images que vous voyez, ce sont celles que vous créez vous-même dans votre cerveau.

La télé, le cinéma, Youtube vous volent tout ça.

Ils vous proposent des images qu’ils ont EUX imaginé pour vous.

Cela ne provoque pas du tout la même tempête dans votre cerveau que lorsque vous lisez des mots.

Si je vous dis que juste devant moi, là, vient d’apparaître une bestiole qui vient de faire crier 100% des gens qui l’ont vue dans la pièce. Un cri de peur comme on peut en entendre dans les films d’horreur, à tel point que même le chien a fait un saut de carpe et est parti se cacher dans la chambre (alors que lui, il n’a rien vu du tout, ce petit peureux…)

Je peux vous mettre une photo ou une vidéo, et vous montrer cette bestiole de visu.

Ou alors je peux vous laisser imaginer de quoi il s’agit, où ça se passe, qui était là, comment ont été les réactions de chacun, comment s’appelle le chien, de quelle bestiole il s’agit…

L’imagination, c’est le truc qu’il est carrément nécessaire d’entretenir jusqu’à la fin de sa vie.

Et surtout si on pratique le copywriting.

Les meilleures pages de vente du monde, entendez celles qui ont vendu le plus, ont fait mouliner tellement fort l’imagination de ceux qui les ont lues, qu’ils ont ensuite acheté le service ou le produit qu’elles vendaient en masse.

Je ne sais pas quel est votre rapport à la lecture, mais une chose est certaine : il n’est jamais trop tard pour alimenter son imagination.

La seule vraie matière première d’un copywriter – et d’un blogueur – ce sont surtout les idées…

Et le style. Et la manière d’écrire. Et les mots à employer.

Et tout ça, on les trouve dans les livres.

Mon conseil du jour, le voici :

Lisez un livre. Ne serait-ce que 30 minutes par jour.

Lire un livre, c’est passer un moment avec une personne plus grande que soi.

C’est profiter de son expérience, de ses succès, de ses échecs, de ses victoires, de ce qu’il a aimé, détesté… De tout ce qu’il a appris.

C’est expérimenter « sa » vie à travers les lignes qu’il a écrit…

C’est le premier viviers d’anecdotes et d’histoires qui rendent vos textes passionnants et profonds.

Bref… Lisez !

 

 


7 conseils pour vendre… tout simplement

Il y a plein d’étapes à suivre pour faire une bonne page de vente.

De la recherche à l’écriture, en passant par les tests…

Mais les étapes les plus importantes – et les plus faciles – à suivre, quand on vend quoi que ce soit via un écran, ce sont les suivantes :

  1. Créez un plan précis qui respecte bien les différents concepts que l’on doit aborder dans une page de vente
  2. Prévoyez une largeur d’écran maximum de 650 px pour un ordinateur, et qui s’adapte à tout l’écran sur un mobile
  3. Ecrivez en noir sur fond blanc
  4. Le texte en une seule colonne, avec pas plus de 4 images sur toute la page.
  5. Mettez toujours une légende sous une image (un argument fort)
  6. Et des liens qui ne mènent que vers un seul endroit : le bon de commande.
  7. Pas de menu, pas de pied de page qui mène ailleurs que sur les mentions légales, et bien sûr aucun lien qui ne mène ailleurs que sur le bon de commande.

Si une seule de ces 7 étapes n’est pas respectée, vous ne vendrez pas. Ou bien moins que vous ne le pourriez.

C’est facile à vérifier. Facile à mettre en œuvre.

Et c’est facile de modifier une page existante après vérification…

Vous aurez compris votre action du jour, oui ?

 


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