Ecrivez facilement des textes qui font agir

Catégorie : Techniques & Procédures Page 1 of 9

Des tutoriels pour apprendre

La méthode de copywriting la plus simple pour trouver des slogans qui cartonnent

Slogans, accroches, titres… Cette méthode fonctionne pour n’importe lequel des 3.

J’ai été le témoin d’un exemple encore hier :

Je me baladais dans un hypermarché, quand je tombe sur une sorte de calicot au beau milieu du rayon animaux.

Dessus, un chat. Le chat “Félix”, vous connaissez ?

Et en travers un slogan. Qui m’en rappelle fortement un autre :

“Yes we cat !”

Tenez… J’ai pris une photo du minet en question :

yes-we-cat

Et là je me suis dis : Pas mal.

Notez le clin d’œil à la phrase “leitmotiv” de Barack Obama lors de son élection à la présidence des USA.

C’est dans l’air du temps en plus !

Ca me fait penser à une bonne vieille technique de copywriting pour attirer l’attention : Prendre quelque chose qui marche – ou qui a marqué les esprits – et le revisiter.

Idéal quand on cherche des slogans ou des accroches.

Dans le cas précis de ce calicot, il est clairement là pour attirer l’attention. On ne peut s’empêcher de sourire. De le montrer.

Objectif atteint.

Vous pouvez reprendre cette technique à votre propre compte. Voici comment procéder :

Partez sur de l’existant, déformez et adaptez

En fait, quand on regarde bien, rares sont les slogans qui n’ont pas été copiés à partir d’autres formules.

Même les grandes marques s’y collent. Pourquoi pas vous ?

Pour cela, vous n’avez qu’à vous servir dans la liste infinie de ce qui existe déjà.

Utilisez par exemple des expressions ou des slogans qui ont marqué votre jeunesse.

Ou encore :

  • Des sujets de mails qui vous donnent envie d’ouvrir le mail.
  • Des dictons, proverbes ou citations qui vous font réfléchir.
  • Des accroches ou des titres rencontrés ici ou là, au détour d’un surf sur Internet, et qui vous interpellent.
  • Certains slogans vus sur des panneaux dans la rue
  • Des pubs sympas vues dans des magazines ou des journaux
  • Les phrases qui apparaissent à la fin des vidéos promotionnelles ou inspirantes

Un exemple ?

Rappelez-vous de la vidéo que je vous avais mise pour Noël dernier sur ce blog.

A la fin, 3 mots. Les aviez-vous notés ?

“You can shine”

Littéralement, ça veut dire “Vous pouvez briller”.

C’est une phrase qui peut être reprise de multiples façons :

  • Vous pouvez enchanter…
  • Vous pouvez gagner…
  • You can win…
  • Vous pouvez écrire…
  • Vous pouvez fasciner…
  • Vous pouvez le faire…

C’est illimité. A vous de trouver l’expression qui s’adaptera le mieux à votre activité, à votre site web ou à votre produit.

Il vous suffira simplement de modifier un ou plusieurs mots, ou bien d’échanger certains mots entre eux. Ou même seulement des lettres.

Comme dans l’exemple de “Yes we cat ! ”.

Même si cela ne veut rien dire à proprement parler, on peut noter la subtilité. Et quand on regarde bien, il n’y a qu’une seule lettre de changée par rapport à l’original.

Et pour vous aider, voici l’astuce suprême :

Ayez un stock énorme et permanent de slogans en réserve

La réalisation d’un slogan ou d’une accroche qui “en jette” passe par de multiples étapes créatives.

Ca peut surgir d’un coup. Une idée qui apparait après la lecture d’une phrase. Ou de quelques mots.

Et donc, afin d’être parfaitement efficace, il est INDISPENSABLE que vous vous constituiez au fil du temps un stock abondant de phrases ou d’accroches qui vous serviront de base de travail.

Faites-le en permanence.

Utilisez un carnet, un classeur, un fichier informatique. Ou les 3 ensemble.

Et notez les phrases qui vous interpellent. Prenez une photo si vous ne pouvez pas écrire (comme je l’ai fait avec le calicot que j’ai vu hier et qui sert à illustrer cet article).

Plus vous aurez de phrases en stock, et plus facile il sera pour vous de créer des slogans originaux à partir d’anciens.

Personnellement, j’en ai des milliers. Et j’en rajoute des dizaines par semaine.

Ce qui fait que lorsque je cherche un slogan ou une accroche, je vais faire mon marché parmi mon stock de phrases, qui me servent de “démarreur”.

C’est très très rapide. Et très efficace. Tellement mieux que de tout inventer à l’emporte-pièce.

A vous de jouer

La constitution d’une bibliothèque de phrases ou de slogans devrait être la priorité de toute personne qui vend un produit sur Internet ou qui possède un site web.

Parce qu’on a besoin de titres, d’accroches et de slogans très fréquemment. Qu’il s’agisse de titrer un article, une page de vente ou même un produit dans une boutique.

Et pour vous faciliter la vie, vous pouvez également “préparer” certaines de vos phrases pour n’en garder que le squelette.

C’est ce que j’ai fait par exemple avec le générateur d’accroches présent sur ce site.

J’ai repris des phrases, et j’ai éliminé certains mots qui peuvent être adaptés en fonction de l’activité.

Vous pouvez faire pareil avec toutes les phrases que vous avez.

Vous n’imaginez pas le temps infini que ça vous fera gagner quand arrivera le moment de chercher un titre, une accroche ou un slogan.


Astuces, conseils et secrets pour écrire un livre

Il parait que c’est le souhait de plus de 3 personnes sur 4 : écrire un livre au moins une fois dans sa vie.

Pas forcément pour le publier.

On peut aussi le donner, s’en servir pour le vendre à la fin d’une conférence, ou tout simplement pour évacuer quelques casseroles qu’on se trimbale depuis des années.

Quoi que vous décidiez d’en faire, le challenge reste quand même de l’écrire, ce fameux livre. Roman, guide, recueil… tous les styles sont bons.

Aujourd’hui, nous avons trouvé 3 articles de qualité qui vous donnent des astuces des conseils et des secrets pour vous aider à écrire votre livre.

Attaquons tout de suite avec le premier :

Article #1 : 10 conseils pour écrire un livre

De Virginie Vincent du blog Prom’auteur

Avant d’envisager l’édition ou l’autoédition, il va de soi qu’il faut d’abord avoir un livre à éditer. Or, l’écriture d’un ouvrage n’est pas toujours une chose à facile à aborder, surtout si c’est le premier.

C’est pour ça qu’aujourd’hui, j’aimerais vous donner 10 conseils pour écrire un livre. Ces conseils-là, d’autres me les ont donnés et je ne les ai pas toujours suivis, croyant être trop différente pour qu’ils fonctionnent pour moi. Et pourtant, bizarrement, dès que j’ai commencé à tous les appliquer, tout a beaucoup mieux fonctionné !

Alors je vous les partage pour que vous aussi vous puissiez écrire tous ces livres que vous avez envie d’écrire, qu’ils soient de fiction ou pas !

Peaufinez votre idée

Ne vous jetez pas à corps perdu dans l’écriture dès que la moindre petite idée pointe le bout de son nez. Prenez le temps de l’évaluer, de voir jusqu’où vous pourrez aller avec elle, ce que vous pourrez en tirer.

Toutes les idées ne sont pas bonnes à écrire : certaines ont déjà été traitées des milliers de fois, d’autres n’ont juste rien à raconter.

Si, après réflexion, vous vous rendez compte que votre idée fait partie de celles qui ne sont pas bonnes à écrire alors vous pouvez :

  • la mettre de côté pour lui laisser le temps de mûrir et la raconter plus tard,
  • la perfectionner en la mélangeant d’autres idées remisées dans vos tiroirs, en allant vous inspirer grâce à d’autres supports (des films, l’Histoire, de la musique…).

Les 9 autres conseils ici

Article #2 : Comment écrire un livre ? Méthode et conseils pour réussir

Du blog Monbestseller

Écrire un livre est souvent une nécessité vitale d’expression. Il n’est pas nécessairement destiné à la publication. C’est une question importante qu’il faut se poser préalablement avant d’entreprendre ce lourd chantier. Car bien évidemment le degré d’exigence ne sera pas le même selon que vous écrivez pour vous, pour vos proches ou pour le grand public.

Quoique… C’est, dans le premier cas, un moyen d’expression libératoire qui permet de guérir ses angoisses, de formaliser ses propos à soi-même ou de se reforger des vérités. Ou bien, dans l’autre cas, un travail pour les lecteurs, le grand public. Les exigences formelles sont alors souvent supérieures et il faudra se plier aux règles et à la discipline de la littérature. Avant même d’écrire un livre, il est bien sûr nécessaire de s’interroger sur le genre littéraire qui vous sied.

Se poser d’abord la question du genre littéraire

  • Les genres poétiques présentent une grande variété de formes, du plus formel au plus libre. Ils sont pour l’essentiel associés à des conventions techniques comme la mise en page de vers. Par le travail de la forme, ils se distinguent par la musicalité, l’expression des émotions et la force de suggestion…

Découvrez la suite ici

Article #3 : Comment s’organiser pour écrire un livre ? Les 4 secrets de Lynda Guillemaud…

Du blog Librinova

Je suis ravie de participer à la série « Conseils d’auteurs à auteurs » de Librinova. Je vais vous parler de l’organisation (mes proches ne trouveront pas ça bizarre du tout  !). Vous avez envie d’écrire, mais vous doutez d’avoir le temps pour cela  ? Découvrez mes conseils d’organisation pour écrire un roman . Rassurez-vous, cet obstacle est surmontable (même si vous n’y croyez pas encore).

4 romans en 2 ans : une question d’organisation (et un peu d’expérience…)

Je suis en train d’écrire mon cinquième roman qui est la suite de mon premier roman historique, Le Vent des Lumières, d’abord auto-publié chez Librinova en 2015 et republié par City Editions en juillet 2017 après avoir intégré le Programme Agent littéraire de Librinova. En 2015, j’ai publié mon deuxième roman, Oraison pour une île, et en 2016, deux autres romans : Petite Mouette et Les Ombres de Brocéliande.

Quatre romans en deux ans, c’est beaucoup (et pourtant peu par rapport à certains auteurs qui en sortent cinq ou six par an !). Vous êtes peut-être en train de vous dire que je ne fais que ça, que je n’ai pas de métier à côté, ni d’enfants dont je dois m’occuper. Eh bien, vous avez tort… Je travaille à plein temps comme chargée de communication et de la vie culturelle, je suis mariée, j’ai deux filles et une maison à faire tourner. Je fais aussi des nuits normales et je déteste me lever tôt le matin… Quel est mon secret pour arriver à écrire malgré toutes ces occupations ? Il tient en un mot : l’organisation (ça tombe bien, c’est le sujet de mon article), mais je vais décliner ce mot en quatre secrets. Vous me suivez ?

Découvrez les 4 secrets ici

A vous de jouer !

Vous devriez considérer ces 3 articles comme des portes vers quelque chose de plus grand.

En effet, une fois sur les blogs respectifs des auteurs, vous pourrez trouver des centaines d’autres astuces pour vous aider à écrire votre livre.

Et une fois qu’il sera terminé, quand vous en serez à le vendre, venez me voir. J’ai beaucoup de ressources pour vous y aider. 🙂


Le storytelling au secours des produits qui ne se vendent pas…

Il est assez fréquent d’entendre parler du storytelling pour présenter un produit à vendre ou une marque ou même carrément une entreprise.

Mais savez-vous que vous pouvez aussi utiliser cette pratique pour rendre vos produits beaucoup plus fournis, plus attrayants et surtout plus compréhensibles par vos clients ?

Dans cet article, je vous explique pourquoi l’art de raconter de bonnes histoires peut vous aider à faire de vos produits de véritables œuvres d’art que vos futurs clients vont s’arracher.

scary-stories-1499971-638x372

1. L’avantage des histoires à vocation d’enseignement

On sous-estime le pouvoir des bonnes histoires pour « enseigner » un concept, une idée ou tout simplement une technique.

En effet, même lorsqu’on propose un infoproduit pratique pour lutter contre un problème ou pour améliorer certains aspects de sa vie, la grosse majorité des gens comprennent mieux quand il y a un exemple – sous la forme d’une histoire racontée – ou un cas particulier.

Or, quand on achète un infoproduit, on constate bien souvent qu’il n’y a que très très peu d’exemples, ce qui fait que l’on se retrouve avec des infos indigestes, difficile à comprendre et à intégrer. Un peu comme lorsqu’on était à l’école.

Et pourtant… Si le thème que l’on traite nous touche personnellement, on a des dizaines voire des centaines d’anecdotes en stock que l’on pourrait raconter pour étayer tout ça.

Et là, comme par magie, le produit ainsi construit devient tout de suite bien plus intéressant.

Et cela fonctionnera d’autant plus si vos clients sont des imaginatifs, qui ne comprennent bien un concept que s’il est empaqueté dans une belle histoire !

2. Un exemple ?

Admettons que je veuille vous faire comprendre qu’il est superflu, voire complètement inutile de vous appesantir sur le passé, et qu’il vaut mieux aller de l’avant (comme on le voit beaucoup un peu partout).

Je peux prendre le parti de vous citer les plus grands hommes et femmes du dernier millénaire pour tenter de vous inspirer et de vous faire comprendre tout ça.

Mais je peux aussi choisir de m’y prendre autrement :

« En écrivant ces mots, je laisse errer mon regard par la fenêtre ; juste devant moi, je vois, dans mon jardin, quelques empreintes de dinosaures, fixées pour l’éternité dans l’argile schisteuse. Ces empreintes m’ont été cédées par le Musée de l’Université de Yale, et je possède une lettre du conservateur de ce musée affirmant qu’elles ont été faites il y a 180 millions d’années.

Même le mongol le plus primitif ne songerait pas à revenir en arrière de 180 millions d’années pour essayer de changer la forme de cette empreinte.

Pourtant, une telle tentative ne serait guère plus bête qu’une grande partie de nos tourments, pour la bonne raison que nous ne pouvons même pas revenir en arrière de 180 secondes pour changer ce qui s’est passé, ce que beaucoup d’entre nous s’obstinent à faire.

Nous pouvons évidemment chercher à modifier les effets de ce qui s’est produit 180 secondes auparavant, mais il nous est absolument impossible de changer quoi que ce soit à l’événement lui même. »

Avouez que c’est plus intéressant de lire ce genre de texte pour tenter de comprendre un concept.

Cette histoire est tirée du livre « Triomphez de vos soucis. Vivez que diable » de Dale Carnegie. Il est truffé d’anecdotes de ce genre, ce qui en fait – et de loin – l’un de mes 10 livres préférés que je relis avec plaisir chaque année.

3. Votre infoproduit : un ambassadeur

Si vous décidez de raconter des histoires, des anecdotes et de mettre des exemples vécus dans vos infoproduits, vous allez créer un contenu 100% personnel que personne ne pourra copier (puisque ce sont VOS histoires).

Et si vos histoires sont bien tournées, elles peuvent enseigner de manière bien plus efficace que n’importe quelle théorie.

Ce qui fera une réelle différence entre un produit médiocre dont on trouve les infos partout et un ouvrage qui sera un best seller.

On peut prendre par exemple « Bouillon de poulet pour l’âme » de Jack Canfield, qui ne raconte que des histoires qui enseignent beaucoup de choses (dont l’humilité) et qui s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires.

Sans parler du fait que de cette manière, votre infoproduit sera bien plus apprécié. Les commentaires qui seront mis dessous seront bien meilleurs et donneront plus envie aux autres d’acheter.

C’est de cette manière que l’on peut faire de son produit son premier ambassadeur.

Pensez-y sérieusement : on a tous des histoires incroyables autour de notre thème, à raconter ! Pourquoi ne pas en faire un bon produit ou pour le moins, s’en servir pour enrichir un produit existant qui a du mal à se vendre ?

Dans un prochain article, je vous donnerai quelques plans pour écrire de belles histoires.

En attendant, commencez à noter toutes les anecdotes qui vous passent par la tête à propos du thème de votre produit afin de voir où vous allez pouvoir les insérer.


Vidéo : Installer et utiliser LE logiciel le plus indispensable pour travailler sur Internet

Comme je commençais à vous l’expliquer jeudi dernier, la toute première étape à envisager quand on veut être sur Internet, c’est d’avoir un site web. Ou un blog.

Aujourd’hui , quand vous déposez un nom de domaine (on verra ça jeudi plus en détails), la majorité des hébergeurs vous proposent pas mal d’outils pour créer un site en 3 clics.

Mais il y a un outil INDISPENSABLE que vous allez devoir apprendre à connaître si vous souhaitez travailler sur Internet.

Il s’agit de FileZilla.

Une fois que vous aurez votre nom de domaine, ce logiciel vous permettra de transférer n’importe quel fichier dessus (vidéos, pdf, pages web, audios, fichiers, etc.).

Quand on utilise Internet pour son métier, la maîtrise de cet outil est ABSOLUMENT indispensable, et ça vaut le coup d’y passer au moins une heure pour bien le comprendre.

Si vous savez comment utiliser ce logiciel, et si vous comprenez bien la démarche, alors tout sera bien plus facile pour vous ensuite.

Je vous propose donc de vous expliquer tout ça en vidéo.

filezilla-3

Pour télécharger la dernière version de FileZilla, cliquez ici.

Suivez ensuite la procédure vidéo ci-dessous pour comprendre, installer, configurer et utiliser votre nouveau logiciel :

Comme je vous le disais dans la vidéo, voici quelques pages d’aide pour récupérer vos identifiants FTP, en fonction des hébergeurs que vous avez :

Je n’ai bien sûr pas pu tout mettre, mais retenez qu’en général, vous recevez vos identifiants par mail lorsque vous vous inscrivez chez un hébergeur.

Si vous avez des questions sur cette vidéo, n’hésitez pas. Et si vous n’arrivez pas à récupérer vos identifiants, dites-le aussi on pourra les chercher ensemble.


Coachs, conférencières, thérapeutes… Comment se lancer sur Internet ?

Beaucoup de gens me demandent comment ils pourraient développer leurs affaires en ligne, alors qu’ils ont l’habitude de tout faire en dehors d’Internet.

Peut-être que c’est votre cas.

Vous êtes peut-être musicien, danseuse, coach, conférencière, esthéticienne, animateur de formation, hypnothérapeute, ou même plombier, maçon ou agent immobilier…

En fait, quoi que vous fassiez, il y a toujours moyen de développer vos affaires en ligne.

Website concept with young woman

J’ai donc décidé de créer une série d’articles dans lesquels je vais vous montrer rapidement pourquoi n’importe qui peut augmenter son chiffre d’affaires grâce à Internet, ce à quoi vous devez vous attendre, et tout ce que vous allez avoir à faire pour que cela soit bénéfique pour vous.

Vous en retrouverez donc un nouveau chaque jeudi qui abordera une tâche précise à effectuer, et chaque lundi, vous aurez accès à un article que j’ai déjà écrit sur le sujet qui viendra compléter ce qu’on aura vu. Ce sera souvent une vidéo pratique.

Aujourd’hui, on va voir un aperçu global de tout ce que vous aurez à faire et de tout ce que ceci pourra vous apporter concrètement.

Mais avant tout, commençons par tordre le cou à quelques idées reçues.

1. La relative facilité de se mettre en ligne

Comme dans toutes les activités en général, quand on en démarre une nouvelle, on a l’habitude de se faire une montagne de petits riens. La mise en ligne de votre activité n’échappe pas à cette règle.

Pour certaines personnes très « terrain », l’univers de l’Internet fait un peu penser à l’immensité d’une nuit étoilée. Aucune idée de quoi faire. Aucune idée de comment commencer, et surtout aucune idée de la manière de procéder.

Moi qui travaille sur Internet depuis la fin du siècle dernier – oui je sais ça fait un peu comme si j’avais 100 ans, mais en fait, ça ne fait « que » 18 ans – tout ce monde m’est très familier, et c’est pour cela que je peux vous affirmer sans aucune langue de bois que c’est beaucoup moins dur qu’il n’y parait.

Attention. Je n’ai pas dit que c’était facile. Ce que je veux dire, c’est qu’une fois qu’on a compris les choses et qu’on sait où on veut arriver, alors on peut démarrer très vite.

Et pour cela, les tâches à accomplir sont assez simples.

Je vais vous les détailler une à une dans les articles qui vont venir, mais auparavant laissez-moi vous dire ce que vous devez d’ores et déjà « posséder » avant d’espérer vous lancer en ligne.

2. A quoi vous attendre vraiment

Un travail quotidien et constant

Si vous flânez sur Internet à la recherche d’une formation en ligne sur la manière de « devenir riche sur Internet », ou même tout simplement « Comment se lancer sur Internet » alors vous en verrez beaucoup.

Elles arborent toutes plus ou moins les mêmes « ressorts » quelques peu émoussés comme quoi vous pourriez rapidement vous retrouver au bord de l’eau sur une île paradisiaque les doigts de pieds en éventail à regarder – ou entendre – l’argent tomber sur votre compte en banque en ne travaillant que quelques heures par jour.

Ma phrase préférée, c’est celle-ci :

Quel plaisir de se coucher et de se lever le lendemain en constatant que votre compte en banque est plus gros de 2 ou 300 euros… sans rien faire !!

Homme en costume se reposant  l'ombre des cocotiers

Dit comme ça, c’est vrai que ça fait cool et que ça donne envie, mais hélas, ce n’est qu’un effet de manche… Une connerie, si vous préférez. Un mensonge éhonté pour être parfaitement clair.

Car la réalité n’a rien à voir.

Vous qui avez l’habitude de bosser comme un fou – ou comme une folle – pour rechercher des clients, effectuer vos prestations, vous occuper de votre compta, vous démener à trouver de nouveaux contrats, de nouvelles manières de gagner de l’argent, travailler sur Internet ne va rien changer. Bien au contraire :

Ca va vous rajouter du travail. Beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP de travail.

Vous aurez de vraies tâches à effectuer CHAQUE JOUR. Petit à petit, elles deviendront plus faciles à effectuer, mais elles ne s’arrêteront jamais.

Ceux qui réussissent travaillent très fort

Ce que je veux dire, c’est de ne JAMAIS croire que vous arriverez à gagner votre vie en ligne en ne « bossant » que 4 heures par semaine.

C’est déjà arrivé, hein…

Sur 1000 personnes qui se lancent en ligne, il y en a peut-être UNE SEULE qui arrive – après quelques années – à ne travailler que 5 ou 10 heures par semaine. Mais en fait, elle y arrive car elle a délégué toutes les autres tâches à d’autres personnes.

Mais avant d’en arriver là, ce qu’elle ne vous dit pas, c’est qu’il a fallu trimer comme un taré pendant 70 à 90 heures par semaine.

Et même encore aujourd’hui, ce genre de personne vous dit ne « travailler » que 4 heures par semaine, mais en réalité, elles passent 100% de leur temps collées à leur téléphone portable ou à leur tablette pour suivre leurs chiffres, corriger quelques erreurs, gérer les soucis – il y en a toujours, communiquer avec leur « équipe », bien souvent constituée d’une seule personne…

Bref, croyez-moi, une personne qui bosse et qui gagne sa vie sur Internet en 2016 travaille largement ses 10-12 heures par jour. Elle ne prend pas les transports en commun, ne se coltine pas un patron qui lui dit quoi faire, et ne doit pas se plier à des contraintes horaires ou géographiques (elles peuvent bosser de partout dans le monde et quand ça leur chante).

Mais globalement, elles doivent quand même réseauter, soigner leur communication, écrire des articles, tourner des vidéos, enregistrer des podcasts, créer des formations en ligne, des produits, rencontrer des gens pour en faire de futurs partenaires, assister à – voire organiser – des séminaires d’entrepreneurs – souvent très très barbants –  ou à des « masterminds » pour rester « dans le mouv' », continuer sans cesse à se former et à entretenir des relations de business, trouver de nouvelles idées pour progresser…

Bref, ce n’est pas le même travail que celui que vous connaissez, mais globalement, c’est du travail quand même.

Attendez-vous donc à travailler AU MOINS 2 heures de plus par jour au début, mais vous vous apercevrez vite que c’est insuffisant. Et qu’il vous faudra au minimum doubler ce temps, ou pour le moins y consacrer quelques journées complètes pour véritablement avancer.

Votre véritable objectif

Il convient donc TOUT DE SUITE de bien vous mettre cette idée dans la tête :

« Vous lancer sur Internet », pour vous, ne va pas signifier « Devenir riche à millions sans rien faire ».

L’objectif va être plutôt de vous permettre de faire deux choses :

  • Trouver plus de clients pour vos interventions personnelles,
  • Créer quelque chose à vendre qui ne nécessite pas VOTRE présence.

Dans les premiers temps, vous pouvez compter sur quelques centaines d’euros en plus chaque mois, et petit à petit, la possibilité pour vous de limiter vos interventions en présentiel pour vous libérer quelques heures par jour, voire un ou deux jours complets par semaine.

Family picnicking outdoors

Vous pourrez également prévoir de prendre des vacances avec votre famille sans craindre au retour la reprise compliquée et la perte de clients qui ont auront été voir ailleurs.

Une salutaire bouffée d’oxygène

J’ai des amies qui bossent presque 6 jours par semaine et qui s’accordent 2 semaines de vacances par an, en n’arrivant jamais véritablement à lâcher prise. Internet, pour ces gens-là peut être une aubaine incroyable car cela peut leur permettre de combler 5 ou 6 jours de chiffre d’affaires grâce à la vente d’un produit numérique qui ne nécessite aucune intervention humaine, car tout peut être automatisé.

Cela peut leur permettre de prendre un jour de repos de plus par semaine. Ou d’augmenter leurs prix pour mieux qualifier leur clientèle et par voie de conséquence moins travailler chaque jour.

J’ai d’autres amis qui passent la grande majorité de leur temps, quand ils ne sont pas en train de faire une conférence, à rechercher des clients et à démarcher des entreprises, des CE ou des organismes aux 4 coins du monde pour trouver des prestations à vendre.

Internet, pour eux peut leur permettre de faire leur démarchage en ligne de manière quasi automatique, pour vendre ensuite une prestation en présentiel. Et en profiter pour ajouter un produit numérique à vendre à ceux qui ne pourront pas se déplacer, ce qui permet malgré tout de gagner de l’argent – et beaucoup de temps – à la fin de l’opération.

J’ai un ami plombier qui a son carnet de rendez-vous qui est plein jusqu’en 2018 et qui n’inclus qu’une seule semaine de vacances.

Une thérapeute qui commence à en avoir marre de recevoir des patients 8 heures par jour sans discontinuer.

Une conférencière spécialiste qui prend l’avion 45 fois par an pour aller donner des conférences aux 4 coins de l’Europe et du monde, et qui a mis pour cela sa vie familiale de côté – et sa santé…

Pour tous ces gens, Internet va leur apporter la possibilité de ralentir un peu leur activité sur le terrain pour retrouver une vie plus zen sans constater de baisse de leur revenu. Ca pourra même être le contraire.

Remplacer ce qui vous rapporte

En résumé, avoir une activité en ligne pourra vous permettre de remplacer petit à petit ce qui vous rapporte de l’argent :

Auparavant vous vendiez votre temps contre de l’argent, avec Internet, vous vendez quelque chose de numérique, qui ne nécessite pas que vous soyez effectivement là.

Alarm clock with running legs running after man holding tablet

Mais ça peut aussi vous permettre de démarrer ou de booster votre activité.

Je pense notamment aux coachs – en nutrition, en réussite, en vie de couple, etc. – qui, devant la concurrence insensée dans ce domaine ont de plus en plus de mal à trouver des clients.

Certaines personnes n’arrivent pas à avoir plus d’un client par mois ! Quand d’autres n’ont même pas pu encore en trouver un seul vrai qui les paye !

Internet permet aussi de se constituer une véritable communauté parmi laquelle vous vous constituerez une clientèle en ligne qui vous sera fidèle pendant longtemps.

Et pour arriver à faire cela, vous allez devoir réaliser un certain nombre d’actions précises afin de transposer votre entreprise sur Internet.

Vous allez découvrir ci-dessous les différentes étapes à prévoir. Nous les développerons toutes dans les articles suivants.

Les 3 étapes de la mise en ligne de votre activité

Quand on y réfléchit bien, la mise en ligne ne comporte réellement que 3 grandes étapes principales :

  • Rassembler,
  • montrer votre Expertise,
  • et Vendre.

(le fait que les initiales de ces 3 mots forment le mot « REV » est un pur hasard, mais c’est sympa pour s’en rappeler)

En résumé, vous allez faire venir des gens sur un site Internet ou un blog, sur lequel vous allez publier des articles ou des vidéos qui vont montrer « de quoi vous êtes capable », puis quand les gens vous connaîtront mieux, vous pourrez leur vendre quelque chose. Un produit numérique ou une intervention, ce sera au choix.

Voyons ensuite les différentes sous-étapes qui vont constituer le squelette de votre entreprise en ligne.

Etape 1 : Rassembler

Creative Business Team Stacking Hands In Huddle

1. Choisir une plateforme pour votre site web

Il peut s’agir d’un site web classique, d’un blog, ou même d’une simple page Facebook.

2. Créer du contenu

L’objectif est de publier chaque jour (ou le plus souvent possible) des articles ou des vidéos qui parlent de votre expertise. Le but est de DONNER aux gens des informations avec votre style afin de développer une relation avec vos visiteurs.

3. Permettre aux gens de s’abonner à votre contenu

Les gens qui vont aimer ce que vous écrivez voudront rester connectés avec vous pour ne rien manquer de ce que vous leur donnerez. Vous devrez donc installer un système d’inscription à votre blog ou à votre site (si vous n’avez qu’une page Facebook, ils pourront s’abonner d’eux-mêmes en likant vote page)

Etape 2 : Montrer votre expertise

Businessman pressing button on touch screen interface and select Expertise. busines concept.

4. Créer une liste de gens intéressés par votre activité

Parmi tous ces gens qui seront abonnés à votre contenu, certains en voudront plus. Vous devrez donc les enregistrer dans une communauté « à part » formée de gens positivement « intéressés » par de l’information plus pointue. Plus spécifique.

5. Créer un produit numérique à donner en échange d’un email

Pour cela, vous récupérerez leur adresse email grâce à un formulaire d’inscription à une « liste » en échange d’un produit numérique.

Vous pouvez créer une mini formation de 4 vidéos qui donnent des conseils précis sur votre thème. Vous pouvez aussi préparer des questions et y répondre en vidéo sous la forme d’une interview. Ou alors créer un livre numérique qui donne des conseils précis.

6. Vous inscrire à un service d’auto-répondeur

C’est le service qui « enregistrera » les emails de vos membres intéressés par votre expertise. Il vous permettra d’envoyer régulièrement des emails de contenu – ou qui dirigeront vers certaines pages de votre site réservées à vos membres privilégiés – pour entretenir et faire évoluer votre relation.

7. Créer du contenu pointu et spécifique

Vous devrez créer régulièrement du contenu spécifique pour qualifier au maximum vos membres. Ainsi, vous pourrez vous créer des « sous-groupes » de gens (on appelle ça un « segment » ou une « niche ») intéressés par un thème spécifique.

Par exemple, si vous êtes coach, vous pouvez créer du contenu pour les gens qui cherchent à améliorer leur réussite, du contenu pour ceux qui veulent améliorer leur vie de couple, et encore un autre pour ceux qui veulent trouver du travail.

Etape 3 : Vendre

carte bancaire et internet

8. Créer un produit à vendre

Il y a plusieurs types de produits à créer.

En fonction des intérêts de votre communauté, vous pourrez par exemple créer un produit numérique à leur vendre.

Cela pourra être un livre numérique, ou l’enregistrement de l’une de vos interventions transformé en fichiers vidéos (ou DVD) qui formeront une formation à suivre en ligne.

Mais cela peut aussi être l’inscription à une conférence ou à une formation que vous pourriez donner soit en présentiel, soit via un service de séminaire en ligne (webinaire).

Vous pourriez aussi choisir d’inscrire certains de vos membres à un coaching individuel via Skype. Ou par téléphone. Ou même dans un lieu physique.

9. Créer la page ou la vidéo de vente pour votre produit

C’est le document qui présente votre produit afin de donner envie aux gens de l’acheter. Ca peut être une vidéo ou un texte de vente avec un appel à l’action (« j’achète!« )

10. Créer le système de paiement et de livraison de votre produit

Si les gens sont intéressés, ils devront cliquer sur un bouton et payer. Ils recevront ensuite leur produit par mail sous la forme d’un lien d’accès par téléchargement s’il s’agit d’un produit numérique, ou alors d’un formulaire de contact à remplir si c’est pour une inscription à un événement du type conférence ou formation.

La dernière étape qui rend le tout perpétuel

Comme vous avez pu le constater, vous avez grosso modo 3 étapes principales et 10 sous-étapes afin de mettre votre entreprise en ligne.

Or, une fois qu’elle est en ligne, il faut faire venir du monde sur votre site web afin que les gens puissent découvrir votre contenu, s’abonner, s’inscrire, recevoir vos mails, pour finalement acheter…

C’est donc l’ultime étape de cette machine bien huilée : Le trafic !

A group of young people. Panorama.

Soyons honnête, c’est LARGEMENT ce qui vous prendra le plus de temps au quotidien, conjointement à la création de contenu.

Ici encore, plusieurs possibilités s’offriront à vous :

  • Faire de la publicité payante sur Internet ou ailleurs
  • Faire des échanges de liens avec d’autres sites comme le vôtre
  • Faire en sorte qu’on vous trouve dans les moteurs de recherche de style Google ou Youtube,
  • Soigner votre présence sur les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin, Instagram, etc.)
  • Faire des partenariats avec d’autres personnes comme vous (vos « collègues »)
  • Créer un système « d’affiliation » consistant à donner un pourcentage de vos ventes à celui qui vous apporte des membres
  • Faire du parrainage, de la recommandation
  • etc.

Il existe beaucoup de moyens de faire venir du monde sur son site. Avec le temps, vous vous apercevrez que vous êtes plus doué avec un système plutôt qu’avec un autre. Et à la fin, vous n’en garderez qu’un ou deux mais il sera efficace pour vous.

Du pain sur la planche

Comme vous avez pu le voir, la tâche est grande. Pour autant, si vous faites les choses dans l’ordre, vous pourrez arriver à vous implanter sur le web gentiment mais sûrement.

C’est véritablement la seule option qui peut vous permettre de vous développer sans réelle limite que celle de votre imagination.

Dans les prochains articles que je ferai sur ce sujet, je vous expliquerai comment vous organiser pas à pas, et je vous dirigerai sur les articles et les vidéos qu’il faut pour que vous fassiez vos premiers pas sur le Web.

Parce que techniquement, il peut suffire d’une seule journée pour être présent sur Internet et commencer à enregistrer vos premiers membres dans votre base. Nous verrons cela jeudi prochain.

D’ici là, s’il y a des choses qui vous semblent obscures ou difficiles à comprendre parmi tout ce dont je viens de vous parler, alors posez vos questions dans les commentaires ci-dessous et j’y répondrai sans langue de bois.


Programmer une sauvegarde automatique de son blog WordPress avec BackWPup

Quand on passe le plus clair de son temps à écrire des articles et à recevoir des commentaires sur son blog, quoi de plus rageant que de constater un matin que tout a disparu corps et âme ?

Problème de serveur ou d’hébergeur, mauvaise manip, intention de nuire… Les raisons d’une disparition pure et simple de vos données et donc de votre blog en quelques minutes sont multiples.

Et c’est non seulement tragique mais surtout possible.

business man use notebook in server room

Il est donc impératif de prévoir une sauvegarde automatique de vos données afin de pouvoir relancer le tout en quelques minutes en cas de pépin.

J’avais déjà fait une vidéo sur la question en vous présentant WP-Backup, et voici aujourd’hui une vidéo réalisée par Aurélien Denis de WPChannel qui vous présente un autre plugin intitulé BackWPup :

Cela vous donne un plugin alternatif à celui que je vous avais présenté.

Il est toujours bon de prévoir plusieurs cordes à son arc quand il s’agit de sauvegarde (encore une autre application de la maxime “ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier”).

N’oubliez pas également de bien suivre le problème “Akismet”, comme je vous en avais parlé dans cet article procédure. Sinon, votre plugin de sauvegarde ne fonctionnera pas.

Je vous parlerai d’ailleurs de ça en détail jeudi prochain.

D’ici là, si vous avez déjà configuré votre sauvegarde automatique, vérifiez bien, juste au cas où, qu’elle se fait bien.

On ne sait jamais…

Bon week end !


Une vidéo à ne surtout pas louper si… vous comptez vous filmer un jour pour votre blog

Il y a quelques jours, Marie Eve du blog Les Doigts Dans le Net, a fait un évènement auquel j’ai eu l’honneur de participer. Il s’intitulait “11 conseils pour réaliser une vidéo sur le web”.

A ce titre, j’ai pu aller voir les autres articles qui participaient aussi, et je suis tombé sur de véritables petits bijoux, dont un qui comporte une vidéo que vous devez absolument visionner si vous comptez un jour vous filmer pour une vidéo à mettre sur votre blog ou sur une page de vente.

Voilà pourquoi j’ai décidé de vous présenter cette vidéo aujourd’hui sur Copywriting Pratique, à l’occasion de la procédure du samedi.

claire-univoix-fr

Car vous allez y trouver des astuces que l’on ne voit que dans certaines formations très coûteuses.

Il s’agit d’une vidéo de Claire, du blog Univoix.fr, que voici :

Certaines de ces astuces me paraissent plus importantes que d’autres.

Notamment le cadrage, et le fait de ne pas apparaitre trop bas dans le champ (l’idéal est que le sommet de la tête soit très légèrement coupé), pour donner un sentiment de grandeur.

Et bien entendu, l’utilisation d’une prise de son externe, afin de mieux captiver son auditoire.

Pour le montage de votre vidéo, si vous utilisez Camtasia, il vous suffira simplement d’importer le son en plus du film, et vous verrez une différence énorme, surtout si vous utilisez la webcam de votre ordinateur pour faire votre vidéo, ou même votre iPod.

Et pour finir, notez bien qu’il n’est nullement obligatoire de sourire (j’allais dire bêtement) si vous n’en avez pas envie. Restez plutôt naturel…

Je vous engage à aller lire attentivement l’article complet d’Univoix qui récapitule les 5 astuces à suivre en plus de quelques autres trucs à propos de la vidéo.

Et avec son aimable autorisation, j’ai réalisé une check-liste des différents points à vérifier quand vous faites une vidéo, que je vous propose de télécharger en cliquant ici. A vérifier et à remplir avant chaque vidéo !


Procédures vidéo : Détourer ou découper une photo avec the GIMP

Samedi dernier, je vous mettais une vidéo qui vous expliquait comment faire pour détourer une photo avec Photoshop.

Certaines personnes m’ont dit ne pas avoir Photoshop.

Voici donc deux nouveaux tutos qui permettent de faire la même chose avec le logiciel gratuit The GIMP.

procedure-video-copy-pratik

1. Détourage d’un personnage avec GIMP :

Ensuite, voici un tutoriel qui vous explique plutôt comment découper et récupérer un élément d’une image pour par exemple le réutiliser dans une bannière ou dans un en-tête de blog ou de site :

Il existe certainement d’autres logiciels pour faire la même chose.

Je les chercherai à l’occasion.


Procédure vidéo : Détourer un objet ou un personnage avec Photoshop

Quand on souhaite faire un en-tête graphique pour son blog, son site web ou sa page de vente, on est souvent amené à incorporer des objets ou des personnages sur sa bannière.

Se pose alors le douloureux problème du “détourage”.

Vous savez ce que c’est ?

Il s’agit en fait de supprimer tout ce qui ENTOURE le sujet afin de pouvoir ensuite l’incruster dans un nouvel environnement.

C’est ce que j’ai fait par exemple avec la plume rouge qui se trouve dans l’en-tête de ce blog. Cette plume a été détourée pour qu’on ne voit plus le blanc qu’il y avait autour.

procedure-video-copy-pratik

Avez-vous déjà essayé de le faire, vous-même ?

Si c’est le cas et si vous aviez éprouvé de la difficulté (surtout pour les cheveux quand il s’agit d’une personne), alors vous serez ravi d’apprendre que j’ai trouvé une vidéo très bien expliquée pour faire ça avec le logiciel Photoshop.

C’est la version CS5 du logiciel qui est utilisée ici :

Cette vidéo est tirée du site NamosGraphics.com

Si vous trouvez des tutoriels de ce type pour des versions moins hautes que la CS5, merci de m’en informer.


Procédure vidéo : Notion de typographie web en HTML-CSS

Aujourd’hui, je vous propose de découvrir une vidéo qui va vous expliquer comment vous pouvez modifier le fichier “CSS” de votre site (ou de votre blog), pour en améliorer son ergonomie et sa typographie.

Mais surtout pour rendre votre texte plus agréable et plus facile à lire.

procedure-video-copy-pratik

Tout est expliqué de A à Z dans la vidéo (on part d’un fichier CSS vierge), donc même pour celles et ceux qui galèrent un peu avec le CSS, cette mini formation de plus de 30 minutes vous donne de très bonnes bases.

Voici le tutoriel :

Origine de la vidéo : GarfikArt.


Page 1 of 9

Cultivez l'amour du copywriting avec Yvon CAVELIER