Ecrivez facilement des textes qui font agir

Savez-vous encore parler à vos clients en 2013 ?

Chaque année c’est toujours la même chose !

On peut lire sur quelques forums ou sur des blogs que le monde du e-commerce est en train de radicalement changer, que le marketing tel que nous le connaissons est amené à disparaître, que les lois veulent tuer les e-commerçants et leur business avec…

Le dernier en date, c’est ça : On doit se focaliser absolument sur les réseaux sociaux et sur la nouvelle génération : C’est l’avenir !

Bref, on aime bien hurler haut et fort que le changement va tuer toutes nos affaires sur Internet ou ailleurs…

Comme si le changement était un fait nouveau !

Et pourtant, voici un scoop : Ca fait des siècles que le monde change !

changements
Le monde change… et alors ?

Les pratiques, les mentalités, les monnaies, les façons de communiquer, la nature, les gens, les téléphones, les ordinateurs, les casinos, les emplois, les hypermarchés…

Tout change…

Et ça ne date pas d’hier !

AU SECOURS !! On est foutu !!

Dans les années 70, quand les hypermarchés se sont montés, on a dit : Mon dieu c’est la fin des petits commerçants !

Et pourtant… 40 ans plus tard, quand je passe dans la rue juste à côté de chez moi, je vois toujours 3 boulangers, 2 bouchers, 4 coiffeurs, 2 épiciers, 3 fleuristes et quelques bars…

Les hypermarchés n’ont rien changé pour eux

Ceux qui ont décidé de rester sur leurs positions, de ne pas évoluer, de se lamenter, eux, ils ont disparu. Je ne sais pas combien il y en a et je vous avoue que je m’en fous : Je préfère de loin me concentrer sur ceux qui sont là et pour qui ça va tranquille.

OK, ils ne deviendront pas milliardaires demain, ne peuvent pas se payer 4 mois de vacances par an, mais ils vivent bien, ont pour la plupart une maison, des enfants, et sont à peu près contents de leurs sorts…

Cette fois-ci, c’est sûr : On s’en relèvera pas !

Dans les années 2000, on a vu exploser le marché du livre sur Internet. On a dit : Mon dieu, c’est la mort des librairies et des éditeurs papier.

Et pourtant… Encore aujourd’hui, quand je parcours Grenoble à pied, je croise encore 5 ou 6 librairies où j’aime bien m’arrêter pendant une heure ou deux pour feuilleter les derniers romans parus, ou les derniers livres de techniques d’influence et de persuasion ou d’informatique… et je suis loin d’être le seul…

J’aime bien aussi m’arrêter chez mon bouquiniste favori où je peux dégoter des dizaines d’ouvrages d’occasion que je reviendrai lui revendre une fois que je les aurai lus.

OK, certaines librairies ont disparu… Certains bouquinistes aussi… Mais 10 ans après la révolution du web qui aurait dû sonner le glas du livre papier, désolé, mais le livre papier se porte toujours aussi bien.

On peut encore l’acheter sur le site de la Fnac ou sur celui d’Amazon, mais il s’achète aussi encore en librairie. Et m’est avis que dans 10 ans, ce sera toujours le cas… Même dans 20 ans… Ou même dans 40 ans… Après, je ne serai certainement plus là pour le voir, donc je m’en fous.

Tout ça pour dire quoi ?

Bien sûr que le monde change et que le monde évolue !

Bien sûr que ce qui était à la mode aujourd’hui sera "has been" demain. Mais qu’en est-il de ceux qui aiment encore le has been ?

Qu’en est-il des clients qui ne veulent pas évoluer, et qui continueront, bon an mal an, à acheter des produits dépassés ?

Qui va leur parler ? Qui va leur vendre ces produits ?

Les nouveaux marketers qui ne veulent s’occuper que de nouveaux produits et de trucs à la mode ?

Ceux qui ne savent pas aligner deux mots dans une phrase sans y glisser un acronyme ou une faute d’orthographe ?

Bien sûr que non !

C’est nous… Moi, vous ou votre concurrent d’hier. C’est bien nous qui allons devoir leur parler. Parce que le propre des communautés, c’est justement de se rassembler entre personnes de même culture et de même centres d’intérêts.

Rien ne va changer de ce point de vue-là…

Il faudra toujours parler aux mêmes personnes et en général toujours de la même façon : La façon qu’ils comprennent.

Ce que le copywriter devrait retenir de tout ça…

Votre cible est toujours la même que celle d’hier. Le monde évolue, change, s’adapte, mais votre cible, elle, elle vieillit avec vous.

Donc, quand vous faites une lettre de vente, focalisez-vous sur votre cible.

N’essayez pas de courir plusieurs lièvres à la fois en imaginant que d’un seul coup, vous allez devoir parler à une autre population. C’est un leurre qu’on veut bien vous faire croire, parce qu’il faut bien se plaindre un peu…

Parlez à votre cible, et parlez-lui A ELLE… Et juste à elle.

Si vous avez plus de 30 ans, soignez votre orthographe. Soignez vos tournures de phrase. Soyez direct, explicite, et hiérarchisez bien votre discours.

Vos clients aiment ça. Ils aiment TOUJOURS ça !

Il n’est bien sûr pas question de fermer toute communication avec l’extérieur et de ne plus évoluer du tout.

Vous avez le droit et même le DEVOIR de perfectionner vos techniques de communication, de vous former pour être meilleur communicateur, et de vous tenir au courant des nouveaux moyens d’aller plus vite sur le web et de faire venir plus de monde sur vos sites.

Mais la manière que vous avez de parler à vos clients, si ça marche depuis un moment, vous n’avez aucune raison valable d’en changer. L’améliorer, la rendre plus efficace, oui !

La changer, non !

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« Il me semble que le silence s’installe ici… »

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Ce qui vous attend sur ce blog dans les prochains mois…

  1. Bonjour Yvon,

    Je dirais simplement une chose : la communication ne change peut-être pas mais les gens sont en général plus pressés qu’avant.

    Il faut donc améliorer notre communication pour répondre à ce problème et tout ce qui en découle.

    Il faut aussi, je pense, pouvoir changer nos phrases, nos argumentaires car certaines phrases deviennent « bateau » et sont forts entendues. Donc elles ont moins d’impact.

    Je pense que tu avais fait un article là-dessus aussi si je me souviens bien.

    Bonne journée

    Geoffroy

    • Bonjour Geoffroy

      Oui bien vu pour les clichés. Ce sont en effet des trucs à éviter, cela dit, n’oublie pas que pour beaucoup de personnes cela fait partie de leur vocabulaire, et ça leur parle plus que de nouvelles formules… Ce sera à apprécier au cas par cas, j’imagine.

      Bonne journée

      Yvon

  2. Salut Yvon,

    Tiens, Grenoble, une ville que je connais bien aussi 🙂

    Cela fait plaisir de te voir publier à nouveau sur ton blog. En effet, les produits, les commerces ou l’E-business évoluent, mais les principes fondamentaux restent les mêmes depuis des décennies.

    Exemple : Les commerçants détestent lorsqu’un concurrent vient s’implanter à côté de chez eux et pourtant ils ont deux choix à faire. Je simplifie, mais j’y vois deux options.

    La première option : Soit, ils animent leur lieu de vente ( nouveaux produits, animations, promotions, etc. ) et ils gagnent encore plus ou au moins stabilisent.

    La seconde option : Soit, ils laissent disparaître à petit feu leur commerce, ne croient pas qu’ils s’en sortiront et font faillites dans les mois ou années à venir.

    En résumé, dans n’importe quelle circonstance il y a toujours des solutions qui existent. Ce n’est pas toujours simple, mais elles sont là et à la portée de tous. Il suffit de les rechercher activement et agir.

    Bien amicalement,
    Mika

    • Salut Mika

      Il y a une autre option aussi : Faire un partenariat avec le concurrent nouvellement implanté. Qui apporte une nouvelle puissance de vente, et qui bénéficie de l’expérience et des connaissances du commerçant implanté. Je déplore que pas plus de commerçant n’aient pas cet état d’esprit.

      Quand je m’occupais du rayon jouet d’un hypermarché (près de la Suisse), j’avais été voir tous les commerçants qui vendaient du jouet autour de moi, et on avait fait de bonne affaires ensemble. En bon entendement. Cela avait été bénéfique pour tout le monde : Les clients, les vendeurs, et les marques…

      Bref je pense que l’intelligence de la relation que tu peux entretenir avec tes concurrents (qui ne le sont plus vraiment de ce fait) concoure pour beaucoup à la réussite de chacun…

      Bonne journée

      Yvon

      • Salut Yvon,

        Ton approche sur le fait qu’on puisse devenir partenaire et non concurrent est tout à fait jouable.

        Il y a environ 3 ans, j’ai créé un partenariat avec un autre indépendant. Cela fonctionne super bien même si nous vendions exactement le même service.

        Mais cela dépend de l’ouverture d’esprit des gens.

        Je dirais que plus les gens sont jeunes, plus ils sont réceptifs.

        • Bonjour Yvon,

          Tu as tout à fait raison de proposer le partenariat.

          Nombreux parmi mes concurrents sont devenus des partenaires. Et certains dossiers n’auraient pas pu se faire sans cela.

          Il faut cependant poser des règles claires au sein du groupe. La première était pour nous « le premier qui trouve un client, c’est SON client, et il est le chef de file ».

        • Salut Geoffroy

          Oui en effet, l’état d’esprit de toutes les parties en présence est primordial.
          Après concernant les jeunes et les moins jeunes, alors là, je ne m’avancerai pas sur ce terrain parce que c’est à mon avis pas une question d’âge…

          Comme disait Brassens : « Le temps ne fait rien à l’affaire, quand on est… » :hin: –> http://www.youtube.com/watch?v=ekAhrX_ckys

          Bonne journée

          Yvon

  3. Bonjour Yvon,

    En effet, tout change en permanence, mais rien ne change des besoins profonds de l’être humain : être écouté, compris.

    Plus les gens sont stressés, « occupés », plus ils veulent qu’on leur parle, comme tu dis, la langue qu’ils comprennent.
    C’est encore plus nécessaire, vital.

    Cela peut permettre le dégraissage des formules toutes faites, attrape-nigauds, et donc nous rendre plus crédibles.
    Parler plus vrai, c’est certainement un changement très souhaitable.
    Pas de quoi s’affoler.

    Merci de nous le rappeler.
    A une autre fois.

  4. Salut Yvon,

    Quel regarde de parler du changement de la communication. Pour ma part en tant que séducteur (je ne fais pas seulement le marketing), j’utilise toujours mes même techniques de séductions.

    Certains disent que la mentalité des filles a évoluée. Donc faut faire comme si comme sa aujourd’hui. 👿

    Mais je crois qu’il faut plutôt savoir que le problème ne se trouve pas dans votre façon de communiquer. Mais de la façon que celui qui est en face de vous vouliez que vous lui parler.

    Même le plus grand séducteur se fait planter encore devant des filles, alors qu’un amateur pourrait la décrocher rapidement. C’est pareil en marketing, les experts peuvent se planter là ou les débutants réussiront.

    Je laisse le changement au sportif et surtout aux équipes de football 😉

    Bonne journée,

    Yves Kouyo

  5. Bonjour Yvon,

    Voilà un retour bien sympathique, qui me plait bien.
    Un article plein de bon sens et positif, qui dénonce un état d’esprit malheureusement fort répandu et pas seulement dans le monde de l’internet.

    Ce qui compte je pense en dehors de la technique c’est de parler vrai et de communiquer en pensant à ses interlocuteurs.

    Et bien entendu de faire le plus honnêtement possible ce que l’on aime et ce en quoi l’on croit.
    Bien amicalement,
    Christine

    • Mo

      Bonjour Yvon,

      Bon retour à la blogosphère!

      En fait l’évolution ou le changement à toujours accompagner l’homme.
      Face aux différentes mutations et révolutions industrielles culturelles….l’homme a su d’adapter et il le sera toujours….ceux qui ne le pourront pas ou ne le voudront pas se retireront d’eux même pour rester en marge de la société.
      Les changements, au départ, engendrent un peu d’inquiétude mais avec le temps tout s’arrange ´ comme dit la chanson!

      Comme nous sommes dans une ère de communication de masse, l’incertitnude et un certain inconfort lie au changement engendrent chez l’homme de l’inquietude …mais la pedagogie mercatique est la pour le convaincre, l’eduquer et finalement le rassurer face a ses craintes légitimes!

      Cordialment

  6. Oui et une citation me vient à l’esprit pour illustrer ton article :
    « Rien n’est permanent, sauf le changement » ! Héraclite 😉

  7. Salut Yvon,

    Ah, aaah, on en apprend une bonne.
    Tu lis des bouquins dans la librairie pendant une heure ou deux.
    Economie 😀 !
    Bof, pas grave, malgré ça l’industrie du livre se porte bien 😀 .

    A part ça, je me pose une question.

    Si quelque chose devient has been c’est que ce n’est plus suivi mais par qui?

    Uniquement par les jeunes qui viennent à la place des vieux (on va le dire comme ça pour faire simple)?

    Ou par tous ceux qui vont suivre le mouvement, généralement imposés par le milieux des affaires, en ce compris les vieux (toujours pour faire simple).

    Après la question, tentative de réponse.

    Si je m’observe pour….non, ça c’est pas une bonne idée, je suis un peu barge donc ça vaut pas.

    Notre déco intérieure, ça c’est plus probant.

    Nous ne décorons notre intérieur qu’avec des objets que nous achetons en brocante.

    Et là, nous observons que ce qui arrive en vente sur les trottoirs ce sont les objets qui étaient tendances deux ou trois ans auparavant.

    On a eu par exemple la grande mode des lampes marocaines, maintenant on en trouve partout sur les brocantes.

    Aujourd’hui c’est mode zen où tout le monde achète des bouddhas et puis ce sera encore autre chose l’année d’après et ainsi de suite.

    Evidemment il faut accepter de vivre en décalage avec son temps mais ça c’est comme avec les voitures et les tv et tout le reste.

    Pour les bagnoles on avait toujours 10 ans de retard…vous voyez le topo.
    On regarde encore des cassettes vidéos 😀 (mais ça vaut plus une tune)

    N’empêche que si il y a des brocantes c’est parce qu’il y a des gens qui recherchent des choses anciennes ou alors, des choses bon marché…de nouveau une nuance.

    Par contre, et c’est là qu’on va confirmer mon état de « vieux », je ne me fais pas à la musique que moi j’appelle d’avant garde et qui, pour mes enfants est déjà rétrograde 3 mois après son apparition.

    Quoique, de nouveau, une nuance, si les jeunes croient que c’est Florent Pagny qui a écrit « ne me quitte pas » (au risque de décevoir certains de tes jeunes lecteurs, c’est en fait Madonna) on l’écoute encore maintenant ce qui ne sera pas le cas de la tortue dans 50 ans (j’ai déjà oublié son nom, donc c’est mal parti).

    Et je suis persuadé que comme on a fait le tour en ce qui concerne les bas de pantalon il ne faudra pas 10 ans pour qu’on repasse par les pattes d’éléphant.

    Bref, tout ça pour dire que tout est tellement mouvant que je pense qu’en fait, en ne changeant pas trop ce qu’on fait on ne prend pas trop de risque.

    Il y aura toujours des gens qui seront preneurs, seul bémol…à quel prix?
    A surveiller aussi.

    Et je pense que ce ne seront pas nécessairement les mêmes qui vont suivre le train.

    Il y aura sans doute des va-et-vient, de jeunes, de vieux (toujours pour faire simple).

    Et si nous avons tous les deux entièrement raison c’est bingo puisqu’en plus de ceux qui nous suivent il y en aura d’autres qui s’y ajouteront avec le mécanisme du va-et-vient.

    Et c’est là que je me rappelle ton article dans lequel tu expliquais que si on avait un long commentaire à faire on devait être assez malin que pour rebondir et en faire rapidos un article chez soi.

    Trop tard.

    Bon, nuance quand tu nous tiens, l’avenir nous dira ce qu’il en est.

    Je verrai bien dans 10 ans si en ne changeant rien je serai parvenu à conserver 3 visiteurs par jour et les 5 mêmes membres (sans tenir compte des décès des vieux…pour faire simple).

    Mais là, quand même, je pense que j’aurai fait des boulettes en manquant d’un minimum de modernité 😛 .

    @+
    Christian.

    • Salut Christian

      Ah, aaah, on en apprend une bonne.
      Tu lis des bouquins dans la librairie pendant une heure ou deux.
      Economie !

      😀 Tu aurais presque raison, mais non ! J’adore feuilleter des livres. En fait lors de mes escapades livresques, je feuillette une bonne 30aine de livres, pour à la fin n’en choisir qu’un seul, parce qu’il le faut bien (manque de place et baisse cyclique de force à force d’avoir trop de livres trop lourds). Je m’essaye au Kindle, mais diantre impossible de feuilleter quoi que ce soit sur cet appareil… C’est bien ce que je lui reproche le plus.

      Bref…

      Pour reprendre en substance ce que tu disais, oui on peut décider de vivre avec 10 ans de retard pour tout, tant qu’on trouve la cible adéquate pour leur vendre ce que tu veux leur vendre.

      Merci pour ton commentaire plein d’humour, comme d’hab…

      Et bonne soirée

      Yvon

  8. Salut Yvon,

    Je suis nouveau sur le blogue, je vais commencer par dire que c’est un très bon article, comme celui d’hier. Tu as raison, au lieux de se focaliser sur les changements annoncés, on devrait se focaliser sur nos cibles et se focaliser uniquement sur elles.

    Je pense que ce conseil est valable pour toute chose dans la vie, on doit toujours se focaliser sur ses objectifs et ignorer les distractions qui viennent en chemin.

    Je pense aussi qu’il faut s’adapter à son temps comme l’on fait les boulangers et libraires dont tu as parlé. Je suis presque sûr qu’ils ont un peu modifié leur façon de faire les affaires afin de s’adapter à la nouvelle époque.

    Donc oui, le monde va changer, mais nous allons changer avec lui et nous adapter comme toute espèce vivante. Je vais commencer à mettre à jour mes capacités de communication.

    À bientôt.
    Maurel Archange

  9. Michel

    Contant de te retrouver, Yvon, c’est pour moi toujours un plaisir de te lire et te relire !
    Pour cet article, je ne comprends pas pourquoi il faudrait dépasser la trentaine pour soigner son orthographe !
    Une faute est une faute, il m’arrive d’en faire, certains s’en fichent, mais d’autres (dont moi) les voient, un peu comme une coulure de peinture !
    A propos, « je parcoure »…. c’est pas tout à fait ça .. :hin:
    Sans rancune, et à bientôt !

  10. Salut Yvon,

    c’est vrai que le monde ne cesse de changer considérablement.

    Mais je pense que les mentalités sont toujours les mêmes. :hin:

    Car quelque soit les nouveautés, on remarque toujours que les gens se comportent de la même manière mais juste avec des gadgets différents. 😉

    Amicalement,
    Samuel

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