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Pourquoi 6 clients sur 10 n’achèteront JAMAIS votre ebook…

Si vous vendez des ebooks, alors ce qui suit va vous en mettre un coup. Et j’en suis bien désolé.

Je suis tombé hier sur une étude qui m’a fait froid dans le dos.

Elle émane du site Respondi Mingle Trend, institut de sondage axé "particuliers", qui nous donne une très intéressante étude sur les livres électroniques parmi les gens.

Elle nous révèle ce qui suit :

  • 12% des gens ont déjà lu un ebook
  • 25% n’en ont jamais lu mais pourraient bien se laisser tenter

Et le chiffre qui fait froid dans le dos :

  • 59% n’ont pas l’intention de lire un ebook

Ce qui signifie en clair que si vous vendez un ebook sur quoi que ce soit, alors 6 de vos lecteurs sur 10 n’achèteront JAMAIS votre ebook, alors même que le contenu leur plairait !

Ils n’adhèrent tout simplement pas au support !

jaime-pas-les-ebooks
"J’aime pas les ebooks !!!"

Voilà une info qui vaut son pesant de cacahuètes, n’est-ce pas ?

A nous maintenant de trouver une solution.

J’en vois au moins 4.

Qualifier votre clientèle

Comme j’en avais parlé dans l’article précédant celui-ci, si les personnes qui arrivent sur votre page de vente sont DEJA qualifiées comme étant des lecteurs d’ebooks, alors les 3 solutions suivantes n’ont pas vraiment de raisons d’être.

Vous pouvez le savoir en réalisant un simple sondage parmi vos prospects, et ainsi catégoriser vos clients dans des listes bien distinctes.

En effet, si certains de vos prospects vous indiquent clairement qu’ils ne veulent en aucun cas acheter un livre électronique car ils ne le liront jamais dans ce format, alors ça peut vous permettre de les diriger vers une page de vente dédiée, sur laquelle vous pourrez faire figurer l’une de ces 3 solutions :

Convaincre le prospect qu’il est mieux pour lui d’acheter un ebook

C’est évidemment la solution que la majorité des éditeurs Internet choisissent.

Ou plutôt non ! La majorité des vendeurs d’ebooks ne savent pas que 6 de leurs lecteurs sur 10 ne veulent justement pas d’ebook !

Mais une fois qu’on leur parle du chiffre de 59%, alors les réactions sont quasi unanimes : Ils VEULENT absolument leur vendre les mérites de l’ebook  !

Et pourtant, vendre un ebook à quelqu’un qui ne veut pas en acheter, (parce qu’il préfère les vrais livres, parce qu’il n’aime pas lire sur un ordinateur, parce que ça fatigue les yeux, etc… les raisons sont multiples…) c’est un peu comme tenter de vendre une formation à un logiciel à des gens qui n’ont pas de logiciel.

C’est loin d’être gagné.

En effet, en choisissant cette stratégie, il faut convaincre votre lecteur pour DEUX idées. Et ça, je vous ai déjà expliqué il y a deux jours que c’était bien compliqué.

Par conséquent, vous pourrez bien sortir tous les arguments que vous voudrez, si la personne ne veut pas lire d’ebook, alors pourquoi chercher à tout prix à lui en vendre un ?

D’autant qu’en y réfléchissant un peu, il y a 2 solutions faciles pour pallier à ce genre de souci :

Vendre l’ebook ET la version papier de l’ebook

Ce que vous vendez, c’est un livre. Son format est électronique, mais c’est un livre quand même.

Alors pourquoi ne pas proposer une version papier de votre livre ?

Il existe des services de reprographie assez performants dans beaucoup de grandes villes, qui vous impriment et vous relient un livre de 50 pages en quelques minutes, pour moins de 5 euros.

Comptez 2 euros de plus pour les frais d’envoi, et votre client peut recevoir un livre papier pour 7 euros maxi.

Vous pouvez aussi passer par le service d’impression et de livraison en ligne lulu.com, qui vous prendra environ 2 centimes par page pour du carré-collé (format de livre le plus répandu). Prévoir aussi une commission de 20% sur le prix de vente de l’ouvrage, car c’est eux qui se chargent de la distribution.

Et si vous voulez juste faire imprimer vos livres, vous pouvez aussi le faire en ligne, avec des services comme celui-ci par exemple.

Le cout de revient d’un livre de 50 pages est de 6,09 € pour 20 exemplaires.

En fonction du prix que vous pratiquez, l’opération est largement rentable. Ca vous donne un peu plus de travail – sauf si vous passez par Lulu.com -, ça vous fait gagner un peu moins, mais ca devrait vous permettre malgré tout de largement doubler votre chiffre d’affaires si on en croit les chiffres ci-dessus.

D’autant que vous pouvez tout à fait proposer cette option à votre client en le faisant participer aux frais d’impression et de livraison.

Surtout si votre prix de vente est relativement bas (moins de 17 €).

En choisissant cette solution, vous pouvez communiquer sur le prix de vente "version ebook", et au moment de valider la commande, vous demandez à votre client s’il veut une version papier, auquel cas, qu’il prévoit 7 euros en plus.

De très nombreuses sociétés facturent des frais de port (voyez Amazon !). C’est largement rentré dans les mœurs sur Internet et en réalité peu de vos clients s’en étonneront.

Vendre la version papier ET l’ebook correspondant

Dans cette option, vous faites l’inverse que précédemment.

C’est à dire que vous argumentez sur le livre papier, en indiquant le prix de vente augmenté des frais sur votre page de vente, et au moment de payer, vous proposez à votre client de choisir la version "ebook" qui fait 7 euros de moins que prévu.

C’est de loin la version qui fonctionne le mieux en ce qui me concerne pour au moins 3 raisons :

  • Ca permet d’argumenter sur un livre papier. Excellent pour ceux qui décident qu’ils ne liront jamais d’ebooks !
  • En proposant un prix plus élevé, quand votre client accepte, le fait de se voir proposer une "réduction" pour un format électronique provoque un sentiment d’euphorie (une réduction non prévue) qui augmente le taux de conversion.
  • Vous pouvez "marger" sur la livraison et l’impression, ce qui fait que vous pouvez augmenter votre chiffre d’affaires.

En résumé, cette option est bien la plus rentable et la plus efficace des 3.

Sans parler du fait qu’en pratiquant l’envoi postal de votre livre, vous récupérez l’adresse physique de votre client, bien inestimable dont je vous parlerai plus en détail dans un autre article, puisque vous pouvez, grâce à cette simple info et un peu d’huile de coude, multiplier votre CA par deux.

A vous de jouer !

Si vous vendez – ou comptez vendre – des ebooks, considérez sérieusement ce que vous venez de lire.

Je vends des livres sur Internet depuis plus de 7 ans déjà.

Si je regarde mon chiffre d’affaires au niveau de sa répartition entre livres papier et livres électroniques, alors les versions papier représentent 60% de mon CA.

Certains diront que les bénéfices sont moindre en proposant une version papier, mais c’est faux, puisque j’inclus systématiquement dans le prix de vente le tarif de livraison et d’impression, ce qui me permet d’obtenir le même bénéfice que lorsque je vends des ebooks.

D’autant que j’ai la chance d’avoir un prestataire d’impression qui me fabrique mes livres papier à la demande, ce qui fait que j’ai zéro stock. Donc pas de frais inutiles.

Comme je n’ai pas envie de perdre du temps à livrer moi-même, j’emploie une personne que je paye 3 euros par livre envoyé, pour qu’elle s’occupe de tout.

Coût que j’inclus également dans le prix de vente. Ce qui fait que cela ne fait baisser ni mon bénéfice, ni mon temps.

Vous pouvez et devriez faire pareil. Pensez-y.

Ca vous demandera une petite organisation, mais à terme, vous devriez vendre bien plus.

Et si vraiment vous êtes CONTRE la vente des ouvrages papier – par flemme ou fainéantise, ou parce que vous n’avez pas envie de vous casser la tête – , alors au moins, tenez-vous en à la solution 1 : Qualifiez vos prospects !

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  1. Merci Yvon pour cet article. Je suis en pleine préparation d’un ebook/formation et justement je me demandais quel serait le meilleur support. Je crois que je vais opter pour les deux: papier + numérique car je crois que c’est la meilleure solution, tes arguments confirment mon avis :super:

  2. Bonne initiative, Johann

    Renseigne-toi auprès d’un service de photocopies de ton coin. De plus en plus le font. Tu dois te déplacer la première fois pour définir clairement ce que tu veux, mais ensuite, pratiquement plus besoin de te déplacer. Tout se passe par mail. Tu envoies un PDF, tu dis ton format, et ça roule.

    Certains envoient même à tes clients si tu leurs donnes un fichier d’adresses.

  3. Bonjour Yvon

    Ton article est intéressant mais j’ai une question à te poser à propos de la 3ème et 4ème solution…

    Est-ce que à défaut du livre papier, on peut utiliser la version audio de l’ebook comme le font bon nombre d’infopreneur ?

    Amicalement

    • Bonjour Giresse,

      « A défaut », je ne crois pas. Mais en plus, pourquoi pas ?

      L’étude porte sur le fait que 6 personnes sur 10 ne veulent pas entendre parler d’ebook. Est-ce que le fait qu’il y ait un audio change cette donne ? Je t’avoue que je n’en sais rien.

      Quand on achète un livre, c’est un livre ! L’audio vient en plus, c’est très pratique, mais est-ce que ça remplace le livre ? C’est clair que non.

      J’imagine qu’il faudrait tester les deux approches :

      > Ebook + Audio
      > Ebook + Papier + Audio

      Yvon

      • A ce propos, j’ai vu des études disant que le terme « ebook » était déconseillé et qu’il fallait mieux parler de guide, formation ou tout simplement livre au format numérique.
        « Ebook » semblerait créer un blocage chez certains internautes, comme si ça avait une connotation négative provoquant un à priori, en as tu déjà entendu parlé ?

        • Bien sûr !

          En fait, la connotation négative vient du fait qu’un bon nombre de personnes se sont engouffrées dans le créneau de l’ebook, et qu’ils ont fait n’importe quoi. Genre un document de 5 à 10 pages vendu 17 euros.

          Donc forcément, le terme « ebook » est tout de suite rapproché de ces produits de peu de contenu.

          Il faut bien entendu le bannir de toute page de vente, au profit d’un terme moins péjoratif, du genre « Livre électronique ».

          Personnellement j’emploie depuis toujours le mot « livre ».

          Si je l’ai employé dans le titre de cet article, c’est pour une très bonne raison que tu devineras sans souci :hin:

      • « Ebook + Papier + Audio » ?

        ça me semble une très bonne approche 🙂

        Je penserais « surement » à ça au moment opportun.

        Giresse

  4. Salut Yvon,

    Bon article, qui a le mérite de faire réfléchir.

    Je rajouterai qu’il est également préférable d’éviter l’utilisation du mot « ebook ». Il a souvent une connotation négative. Surtout en France.

    Il est préférable de lui donner des noms comme « Guide », « Méthode », etc., au lieu de « ebook » (tout au moins en France).

    On m’a souvent dit « Un ebook? C’est une arnaque pour devenir riche sans rien faire ça, non? »

    Cédric

    • Oui je suis d’accord Cédric 😀

      • Oups… Je viens voir que vous en parliez juste au dessus. Désolé.

        Cela m’apprendra à ne pas lire les commentaires précédents avant d’écrire le mieux 🙂

        Cédric

        • Pas grave comme ça au moins, ça rentre bien 🙂

          • Au délà de l’aspect numérique, le terme ebook n’est pas encore assez connu du commun des mortels …
            Livre numérique, guide de formation, feuillet d’apprentissage …. la langue française est riche de mots , autant s’en servir pour sortir du lot: pour 17 euros, recevez mon livret d’apprentissage … et plus parlant pour le profane à « achetez mon e-book de formation ! »

  5. euh tu m’as espionné ?
    ou tu as été mis ua courant d’une discussion Mastermind que j’ai eu …
    car c’est exactement l’offre que je suis en train de construire: pour 1 euro de plus, recevez votre livre numérique sur papier !

    • Les grands esprits se rencontrent, cher Olivier !

      Tu ne m’as pas senti dans tes cheveux ? Je suis là… caché 🙂

      1 euro de plus ? L’annonce est sympa, mais tu as répercuté les coûts dans ton prix de vente ?

      • Miaou

        Bonjour,

        Je suis 100% d’accord avec toi. Les seul ebook que j’ai achete je les ai fais imprimer. Je ne peux pas lire un ebook entier en le comprenant ben sur écran se qui est l’inverse de mon fils et de mon mari qui ne lise QUE sur écran des écrits un peu long (ils ont aussi une forme de dyslexie aussi)
        Habitué a la lecture rapide sur support écrit lire un ebook sur écran m’ennuie
        Les tarifs pratiquée dans « ma » 🙂 province sont très abordable pour l’impression et si jamais je devais passer à l’ ebook payant je pense que ta stratégies est idéale
        Et l’idée de l’audio un plus pour ceux qui veulent ecouter en conduisant par exemple
        Bonne semaine !
        Isa Miaou

        • Bonjour Isa
          C’est déjà bien que tu les achètes et que tu les imprimes !
          Si tous les clients faisaient pareil sans t’annoncer « que ça leur coute cher d’imprimer », alors cet article n’aurait pas lieu d’être mais hélas c’est le cas.

          Bonne semaine à toi aussi !

          Yvon

      • Tout est prévu ! Livraison gratuite chez toi !
        et même relance pour ceux qui ont téléchargé le livre sans profiter de l’offre …

  6. Merci pour les chiffres. Très intéressant en effet, et il semble dommage de se priver de 60% des prospects. Surtout si tous les frais sont couverts par e client lui-même.

  7. Karim

    Hello Yvon,

    Ces chiffres sont déprimants 🙂 Mais pas étonnants car en francophonie, les gens ne sont pas encore totalement habitués aux ebooks, au même titre que les livres papiers.

    D’ici quelques années, je suis persuadé que ce chiffre sera réduit considérablement. En attendant, les stratégies que tu donnes semblent très puissantes ! Merci 😀

    Bien amicalement,
    Karim

    • Oui tu as raison Karim, d’autant qu’avec des tablettes de style Kindle ou même IPAD, les idées vont évoluer.

      Après il y aura toujours le conflit de génération, qui fera qu’une personne de plus de 50 ans (ou plus, ou moins) n’adhérera de toute façon pas à cette nouvelle technologie.

      Quoi qu’il en soit, faire les deux supports reste une bonne stratégie pour se diversifier. N’oublions pas que les boîtes mail se remplissent et que les boîtes aux lettres se vident 🙂

      Récupérer l’adresse physique de son client – même pour lui vendre un ebook – et lui envoyer un mailing postal a une portée différente et un taux d’ouverture 4 ou 5 fois plus élevé qu’un email !

    • Perso, je me suis abonné à un quotidien sur le web pendant un temps !
      même si tu as de l’info complémentaire, le contact avec le papier est toujours aussi important pour moi !

      je n’ai jamais autant lu de livres papier que depuis que je « bosse » sur le web … pour m’enlever de l’écran justement, que ce soit ordinateur, tablette, téléphone …
      çà repose les yeux de quitter son écran …

  8. mademoiselle-s

    C’est une idée que je vais garder de côté pour la rentrée … je creuse le sujet, en ce moment.
    😉
    Merci pour l’ajout, je suis flattée !!!

    • Bienvenue Mademoiselle S 🙂 et merci pour ce premier commentaire.
      Cet ajout est normal. J’adore ton blog 🙂

  9. Yvon, c’est exactement le discours que me tenait mon père à propos des ebooks hier (réunion de famille pour la fête des mères). Il écrit souvent des essais, thriller, romans et autre en amateur. Il a trouvé un comité de lecture qui lui donne un avis sur ses écrits.
    La plupart de ces personnes qui lisent beaucoup (souvent des retraités) sont pour une grande majorité allergiques à la lecture sur écran !
    C’est pour cela que je te rejoints dans l’idée que l’ebook + la version papier est ce qu’il y a de mieux. Surtout au prix de l’édition à l’unité qui n’est pas excessif !
    Je suis d’accord avec toi, Lulu.com fait parti des plus gros sites pour ce genre de prestations , et facilite grandement le travail 🙂

    • « Après il y aura toujours le conflit de génération, qui fera qu’une personne de plus de 50 ans (ou plus, ou moins) n’adhérera de toute façon pas à cette nouvelle technologie. »

      Merci Yvon,
      Grande claque, ça y est je suis déprimée pour la soirée, je suis dans les « 50 ans ou moins », donc vieille génération d’après toi, et pourtant j’adhère à cette nouvelle technologie. Donc je vais retouner tristement dons ma cabane au bord du lac, jouer avec mes ados à la XBOX 😀

      • Rholalala 😛

        Mais enfiiiiin ! Heureusement qu’il y a des exceptions coumême !
        J’espère que tu déprimes pas pour si peu ! L’âge, c’est surtout dans la courge* qu’on l’a hein !! 😀

        Moi je parlais « en généraaaaaal :coeur: !

        *Courge : Expression dauphinoise pour dire : Tête. Employé par exemple dans l’expression : « Se mettre sur la courge ». ❓

  10. « 6 de vos lecteurs sur 10 n’achèteront JAMAIS votre ebook »

    Ne faudrait-il pas revoir ces chiffres un peu à la baisse étant donné que ceux qui lisent déjà des blogs vont probablement accepter un ebook plus facilement?

    Je pense que juste le fait de vendre un ebook sur Internet, et non dans une librairie, est déjà un moyens de qualifier notre clientèle.

    Ceci-dit, c’est sûr que d’offrire une version papier en plus ne nous enlève rien et peut quand même rapporter un peu plus, mais je n’irais pas jusqu’à prévoir comme ça une augmentation de 59% de ventes.

    • Oui bien sûr Maryse. 59% ce sont les chiffres du sondage.

      Si tu savais le nombre de gens qui me demandent, alors que c’est écrit en gros partout, s’ils vont recevoir un vrai livre ou « juste un téléchargement » !

      Ce qu’on peut dire, c’est que si tu as réussi à inscrire tes membres en leur offrant un ebook contre leur adresse email, alors on peut partir du principe qu’ils sont « intéressés » aux ebooks. Et tu as donc une clientèle qualifiée.

      Mais je parle surtout des pages de ventes directes, sur lesquelles les gens arrivent par exemple grâce à l’affiliation ou parce qu’ils t’ont trouvée sur Google.

      C’est surtout ceux là qu’il faut inclure dans le sondage 😉

  11. Merci Yvon,

    C’est la première fois que je visite ce site et je trouve qu’il regorge d’idées intéressantes.
    J’ai justement le projet d’écrire un e-book. Mais je ne m’attendais pas au 6/10 !…
    Cela va me permettre de reconsidérer la question et d’adopter la bonne stratégie le moment venu.

    Merci encore Yvon
    et excellent succès.
    Lionel

    • Bonjour Lionel.
      Merci pour ton premier commentaire et sois le bienvenu ici.
      Pour ton livre n’hésite pas à demander conseil. 🙂

      • Salut ;

        Tiens soudain une idée me vient… Une page lexique ..( consacrée uniquement au thème du blog bien-sûr sinon c’est une encyclopédie technique)

        Car aujourd’hui jacky vient de s’acheter son 1er PC et le fils à jacky fan des Bodin’s lui a installé tout le bordel et internet comme il se doit ..

        Et oui ! jacky avait prévu le coup en s’abonnant au préalable à internet ..

        Comment ?

        Grâce aux matraquages de pubs du petit bonhomme qui sort de la boite blanche vêtue de rouge (Bizarre je l’ai jamais vu, il est peut-être tomber dans l’ aqua) .

        Ou..

        En dégustant sa soupe ‘bouillit (gue)’ et repensant à Jeanne d’Arc qui s’est laissée faire ‘sfr’ entouré de flamme ‘Orange’  »

        Mais.. ( Jeanne d’arc elle a frit, elle a tout comprit ).

        Jacky écoute avec attention sont fils qui lui explique le blablabla de la théorie du branchement du fil rouge, de la connexion haut débit hdmi, dvi, usb, google, explorer, moteur de recherches (tiens l’moteur du tracteur ?? non)

        Pdf, doc, txt, word, blog, site, Avi, Mp3 Mp4, Mp5 ( Bang, bang victime d’un dommage collatéral)

        Virus, malware, registre, optimiser, « copywriting » jpg, png, trojan (Ben mo c’est jacky pas Jean)

        Après X semaines d’apprentissage et le cerveaux embrouillé tel un plat de spaghettis.

        Jacky tombe sur un ‘EUBOUC’ (et oui il maîtrise mal langue de « chaque expire » )

        Et là ..! la description et tout le toutim lui plaît …

        Mais il se demande..
        -Quel logiciel devrait-il encore acheter pour lire le ‘EUBOUK’
        -Comment on tourne les pages .. ‘ avec la main ?
        -c’est envoyé par la poste ?
        -ils sont ou les frais de port?
        -on paie comment?
        -il est est ou le cadena secure, connexion https ? (il progresse jacky)
        -etc.. etc..etc.

        Du coup vu que le vendeur n’a pas pris la peine de lui expliquer, ou de lui indiquer un site qui lui montre le pourquoi du comment ..

        Eh Bien …Jacky il débranche la prise de son PC pour l’éteindre … :-z

        Je pense que l’ebook doit faire peur à tous les nouveaux jacky du future (car le client aiment qu’on leur disent quoi faire et comment faire..et ou)

        -Allez viens donne moi la main on va traverser l’autoroute … 😉

        Alors Yvon c’est cela du copywriting ‘? cela fait une semaine )

  12. Bonjour Yvon,

    Je t’avouerai que je suis un peu déconcerté par ton point de vue.

    J’ai lu récemment dans la presse que la vente de livres numériques sur le marché de l’édition américaine avait justement dépassé le livre dit « de papier ».
    Ce qui inquiétait d’ailleurs fortement les éditeurs traditionnels.

    Bon, c’est sûr, la France n’est pas les USA, mais il semblerait qu’un petit éditeur « Bragelonne » qui fait dans la S.F et la Fantasy s’en sort plutôt bien avec ses ebooks depuis qu’il a supprimé les DRM. (Il faut que je remette la main sur cet info !)

    Enfin, avec l’avènement de l’Ipad d’Apple, les lecteurs semblent de moins en moins frileux avec le concept du livre numérique.

    Bien au contraire …

    • Bonjour Jean Charles

      Je suis bien désolé que tu sois déconcerté par mon point de vue.
      Il s’appuie néanmoins sur des chiffres. Français.

      Tu me parles de l’édition américaine. Le souci c’est qu’on est en France.
      Tu me parles de SF. Je n’ai pas catégorisé à ce point.

      Il ne faut pas perdre l’objectif de cet article et surtout de ce blog. Il n’est pas là pour ouvrir des polémiques sur qui a raison ou qui a tort. Il est là pour permettre à ceux qui vendent en ligne d’améliorer leurs rendements. UNIQUEMENT ça.

      Je conçois que TU aimes le livre numérique, mais il ne faut pas prendre ton cas pour une généralité. Je parlais de 59% de gens qui ne voulaient pas d’ebooks. C’est pas 100%. Ca laisse 41% de gens qui AIMENT le numérique.

      Ensuite, si j’aime écrire, j’adore aussi les maths. 🙂

      Tu me parles de l’IPAD. 400.000 ventes en France en 2010. Ce qui représente… 0,6% de la population française… Allez, doublons, triplons ce nombre pour 2011… Ca laisse 2,4 % de la population.
      Divisons même le nombre de gens qui sont susceptibles de lire par 2.

      Ca laisse 4,8% de la population française de lecteurs qui auraient un IPAD.

      Tu vois, il reste encore 95,2% des gens à répartir. Et on est loin des 41% 😛

      Et tiens… Un petit coup d’oeil par ici : http://www.actualitte.com/actualite/26369-lecteur-ebook-augmenter-utilisation-croissance.htm
      12% d’américains SEULEMENT ont un lecteur d’ebooks…

      Et va jeter un oeil ici : http://www.e-marketing.fr/Breves/93-des-Fran-ais-preferent-l-ecrit-au-numerique–39517.htm

      Ca date du 25 mai 2011. Je comprends que ça déconcerte, mais il vaut mieux le savoir et s’adapter, plutôt que de clamer haut et fort que les français aiment de plus en plus le numérique qu’avant. Même si c’est vrai, 59% n’aiment pas. Alors que fait-on ? On leur vend rien du tout ?? 😉

      Yvon

      • Si des marque-pages ? 🙂

        Bon, plus sérieusement,
        Loin de moi, de lancer une polémique sur tes propos.
        Tu sembles être partie sur les chapeaux de roue 🙂

        Je m’interroge, voilà tout.

        Bien sûr que le marché Français n’est pas le même qu’aux États-Unis. Je le précise d’ailleurs.
        Le livre numérique ne remplacera jamais le livre traditionnel et c’est tant mieux.
        Tout comme la télé en son temps, n’a pas occulté la radio.
        Après si les gens sont récalcitrants aux ebooks pour le moment, le marché du livre numérique commence à exister réellement.

        Peut-être pas suffisamment encore pour le moment si je me réfère à tes chiffres.
        Après, on verra bien comment les choses vont évoluer.

        Et il n’est pas question de savoir qui a tort ou qui a raison, l’important c’est de communiquer quelques soient les opinions de chacun.

        Tiens, j’ai retrouvé l’article dont je te parlais précédemment :
        http://www.numerama.com/magazine/18904-un-editeur-supprime-les-drm-et-devient-un-leader-sur-le-marche-des-ebooks.html

        Maintenant, ce qui est vrai aujourd’hui, ne le sera plus forcément demain.

        J’ai malheureusement égaré ma boule de cristal 😉

  13. sydneyjess

    Bonjour yvon,

    j’adore votre site je trouve qu’il est vraiment genial, je m’en inspire chaque jour et etonnamment, bcp d’idées me viennent en tête, grâce à vos conseils, lorsque je travaille mes blogs à coté avec la formation d’olivier Roland.

    j’aime aussi le copywriting, car je suis en train de faire la formation de chrisitian Godefroy copy hypnotique pour etre un bon copywriter, c’est vraiment intéressant et en plus, tous les conseils que vous me donnez me sont précieux et j’en prends note en meme temps, avec mes formations, et cela me serve car vos conseils sont d’une simplicité incroyable et vraiment pratique.

    je vous remercie en tous les cas,

    amicalement,

    sydney.

    PS:mes 2 blogs : http://www.comment-reussir-sa-vie.com ( Relooking, la mode, comment être belle sans chirurgie) etc… developpement perso uniquement pour les femmes)

    http://www.monblogsydneyjess.com (Pour les enfants)

  14. Bonjour Yvon,

    Excellent l’idée de vendre le livre papier avant de proposer l’ebook.

    C’est vrai que jusque là, on avait plutôt tendance à voir l’inverse, ou à proposer le livre papier en upsell. Ce qui ne sert à rien pour la personne qui n’aime pas lire sur écran, ou rechigne à imprimer.

    Et cela permet de faire d’une pierre deux coups : profiter de la livraison pour y insérer une autre proposition 😀

    Quand tu vends tes livres en version papier, dans quel format les proposes-tu ?

    • Hello Clément,
      ton commentaire me fait modifier la fin du livre papier …
      en effet, c’est le prestataire qui réalise le livre qui s’occupe de la livraison et donc je ne peux pas insérer d’offres promotionnelles..
      et donc j’ai décidé de mettre en fin d’ouvrage, un « flyer » offre spéciale qui offre une réduction spéciale pour un prochain achat !

      • OUH LALA !

        Grooooooosse erreur Olivier ! Il ne faut pas mettre de réduction en asile dans une livraison ! C’est comme si tu jetais de l’argent par les fenêtres !!!

        L’asile doit se faire avec une PROPOSITION, comme l’a dit Clément. Avec un bon de commande. Si l’article vendu en deuxième vente est proche du thème du livre acheté, et que le prix n’est pas supérieur à 1,2 fois le prix du livre acheté, alors c’est 35% de retour. Calculé sur 6 offres différentes.

        C’est le retour le plus énorme à l’achat que j’ai constaté tout support confondu – en dehors de mon « coup » à 46% sur un logiciel ciblé -.

        L’asile colis avec les réductions fonctionnent moins bien pour une raison simple : Cela demande DEUX actions. Se connecter sur un site ET passer commande dessus.

        L’offre directe avec bon de commande (et enveloppe prétimbrée bien sûr) à remplir et à renvoyer, c’est de la bombe !

        • tu veux dire que la personne qui a acquis le libre devrait pour avoir un bon retour, remplir un formulaire et me le renvoyer et non pas être renvoyé sur un site web ? Comment mettre l’enveloppe pré-timbrée dans un livre ? quand ce n’est pas toi qui l’envoie directement ?

    • Salut Clément

      Oui tu as raison pour la proposition (voir ma réponse à Olivier dessous).

      Quand je vends en papier ça dépend du nombre de pages du livre.
      S’il fait plus de 150 pages, je le fait imprimer par mon service de photocopie et relier avec un boudin.

      S’il fait moins, ou qu’il y a de la couleur, alors j’ai un ami imprimeur qui me fait des prix indécents, même en petite quantité, alors j’en profite.

      • Salut Yvon,

        Merci pour ta réponse.

        Donc à priori, quand tu fais imprimer, tu restes en format A4, si c’est celui du pdf original.
        Ce qui voudrait dire que la majorité de tes clients n’est pas rebutée à l’idée d’avoir un livre dans ce format, tant qu’elle peut le tenir dans ses mains ?

  15. Bonjour Yvon,

    Comme toi je vends des ebooks depuis quelques années et le premier ebook que j’ai vendu : « Comment s’enrichir sur Internet… » je l’ai vendu à plus de 2.500 exemplaires.

    Il a été rare et de plus en plus rare aujourd’hui qu’on me demande une version papier. Et si c’est le cas, l’argument que ça préserve le forêts marche assez bien 🙂 en plus il est vrai !

    Le terme ebook est utilisé de plus en plus aujourd’hui surtout depuis l’apparition des liseuses et iPads et à mon avis de plus en plus de gens vont s’habituer.

    Moi je trouve tellement formidable de pouvoir tout automatiser dans la vente d’ebooks que je n’ai jamais eu envie de vendre des versions papier.

    D’ailleurs Christian Godefroy a revendu sa maison d’édition il y a des années pour commercialiser des ebooks… Et il s’en sort pas mal, c’est le moins qu’on puisse dire… 🙂 En as-tu parlé avec lui ?
    A ma connaissance il ne veut plus entendre parler de commercialiser des livres papiers…

    Ça me semble un signe de la direction à prendre, non ?

    De plus, je râle qu’il soit encore si difficile de commander des versions ebook en français de livres alors qu’elles existent en anglais.

    Les français ont toujours quelques années de retard dans beaucoup de domaine… On l’a vu avec Internet, ils se sont accroché à leur minitel…

    Donc je ne penses pas que ceux qui commencent à commercialiser des ebooks doivent absolument envisager des versions papier aussi.
    C’est bien sûr une opinion qui n’engage que moi.

    Tu dis que tu fais 60% de ton C.A. en livres papier, mais probablement que si tu n’offrais pas l’option papier, une partie de ces 60% auraient acheté la version ebook, non ?

    Amicalement

    • Salut Serge

      Xtian ne propose plus de version papier, mais il ne dit pas que ça ne lui fait pas perdre de CA.
      Par contre, il vend toujours des centaines et des centaines de CDRoms. Par courrier 🙂
      Et il recommande de le faire dans sa formation SMEI. Tu te rappelles ? 😉

      Une direction à prendre ne veut pas dire que c’est la SEULE direction. C’est UNE direction.
      Chacun choisit ensuite sa propre voie, en fonction de ce qu’il croit profitable pour ses affaires.

      Mais je comprends et valide ton avis concernant les ebooks.
      Tu es à fond là dedans, et tu te cantonnes à une niche qui est dominée essentiellement par les ebooks.

      Ce qu’il y a c’est qu’il est bon parfois de relever un peu la tête et de regarder plus loin que ses propres affaires.
      Essaye de vendre du livre sur l’amaigrissement, et tu verras le nombre de ventes que tu feras en papier, et celles que tu feras en ebooks. C’est sidérant.

      Ca n’a rien à voir avec le marketing Internet. Idem pour les contes pour enfants, pour le sommeil, et par extension tout ce qui touche au développement personnel.

      La vente d’ebook est une façon de faire. Certains – comme toi – ne veulent faire que ça.
      Moi, j’ai aussi commencé par vendre des livres en papier, comme Xtian.

      Et puis je suis passé sur Internet, plus par fainéantise que pour autre chose. Parce que ça coute moins cher, parce que ça va plus vite, parce que ça prend moins de temps, parce que tu peux relancer, etc…

      Mais quand de temps en temps je fais une opération « papier », et que je regarde mes chiffres de transformation (jamais en dessous de 25% de retour), alors je me dis que je suis un gros fainéant et que si je voulais gagner plus, je devrais faire 3 ou 4 opérations de ce genre haque année plutôt que d’en faire une seule.

      Après, comme je le disais, chacun gère ses affaires comme il l’entend !

      Quand tu dis que ceux qui commencent à commercialiser des ebooks ne doivent pas envisager des versions papier, tu as certainement raison. Parce qu’en général, ceux qui « commencent » comme tu dis, ils n’ont pas d’argent devant eux, ou pas assez en tout cas. On leur dit donc qu’il faut déjà monter un site, et trouver des clients. et qu’ensuite ils pourront développer leurs affaires différemment quand ils auront un capital de départ.

      D’un point de vue commercial, je suis d’accord avec ça parce que ce raisonnement se tient.

      Mais avec les solutions que j’ai apportées dans cet article, alors ils peuvent parfaitement faire les deux, et payer à la commande.
      Donc cela ne leur coute rien de plus de le faire, surtout s’ils incluent le coût dans leur prix de vente.
      Après la barrière de la technique peut poser problème.

      Pour finir, tu dis : « Tu dis que tu fais 60% de ton C.A. en livres papier, mais probablement que si tu n’offrais pas l’option papier, une partie de ces 60% auraient acheté la version ebook, non ? »

      Peut-être, peut-être pas… Beaucoup de clients à qui on offre le choix choisissent le papier, même si c’est plus cher. Ils acceptent donc de payer plus pour avoir du papier. Ce n’est pas comme si j’offrais un choix entre deux choses au même prix.

  16. Merci de nous faire profiter de ton expérience.
    Je n’avais pas pensé à faire répercuter entièrement le prix aux lecteurs.

    J’aimerais avoir ton avis sur les formations vidéos. Est-ce que cela va tuer l’ebook?
    Et les formations vidéos + transcriptions?… ça c’est un ebook-killer non?

    Et enfin, qu’est-ce tu penses de l’utilisation du mot « ebook »? J’ai entendu dire que c’était mal perçu…

    Thx :haha:

  17. Bien Voyager

    Je connaissais le réticence mais de la à s’approcher de 60%…

    J’avais envisage des solutions mais la, c’est écrit noir sur blanc et cela m’a l’air très efficace !

    Je testerai sous peu 😉

  18. Bonjour,
    J’avais prévu d’écrire un ouvrage sur la gestion facile d’une entreprise, je ne développerai pas là, mais l’idée d’impression papier est déduisante, et j’ignorais le principe de faire imprimer à distance sur internet.
    Merci ça me pousse dans cette idée.
    Cordialement,
    André

  19. Guy

    Cet article tombe fantastiquement bien pour moi et ce pour 2 raisons :
    – je suis en phase « communication de lancement » pour mon blog dont le but est de vendre mon e-book,
    – j’avais le dessein de rechercher une prestation d’impression à moindre coût, et pour le coup, vous me donnez plusieurs solutions… qui valent le coût (coup ?)
    Je suis donc encore à temps pour promouvoir une version papier à un prix supérieur à une version téléchargeable moins onéreuse et je m’y emploie donc instantanément autant pour choisir un prestataire que pour modifier mon argumentaire de vente.
    merci Yvon :super:

  20. Aladine

    MERCI pour cet article. J’ai eu beau essayé de changé le mot « ebook » sur mon site par « livre sous forme numérique » cela ne le fait pas. Mais compte tenu de ce dont je parle il est impossible de comprendre autre chose que « livre sous forme numérique » (et non arnaque) par mon intitulé ebook, donc je suis tranquille avec le terme. J’ai une personne qui a acheté mon ebook qui m’a dit « quand est-ce qu’il y aura une version papier parce que j’aime avoir du papier à toucher aussi ».
    Pour moi cela m’oblige à faire une version papier. J’en suis venue à l’ebook parce mon éditeur (comme d’autres auteurs) m’a littéralement traitée en esclave :
    1,12 euros pour moi (qui a mis des années avant de pouvoir écrire ce livre) pour un livre vendu plus de 15 euros ! Quelle joie de mettre mon second livre en vente sous forme numérique et d’avoir tout le retour de mon travaim pour moi l’auteure ! Surtout la joie de ne pas me faire prendre pour une imbécile.
    Il faut commencer par quelque chose. D’abord le format numérique puis de fil en aiguille le livre papier parce que quand on a son fichier en pdf cela devient plus facile pour l’impression et ensuite la vente directe en librairie sans éditeur ! Mon éditeur va comprendre ce que c’est de prendre les gens pour des cons !

    • Aladine

      Je suis désolée mon commentaire est un peu long mais j’ai dépassé le temps d’édition. Après avoir cherché longtemps et ouvert quelques « ebook gratuits » pour « créer facilement un ebook »…….
      C’est facile comme tout avec Office 2010 :
      – vous enregistrez votre document sous format pdf (dans format d’enregistrement)
      – vous transférez votre pdf sur votre site avec Filezilla par exemple
      – vous créez un lien après paiement paypal ou pas et voilà c’est fait !
      Même pas 3 minutes.
      En plus avec Office 2010 vous avez la possibilité de faire une table des matière automatique avec insertion de signets et liens pour aller directement à la page de votre livre sous forme numérique et tout se conserve si vous enregistrer votre doc en format pdf.
      (Pas besoin de créer « un ebook-gratuit-arnaque » pour dire ça !)
      Je précise que je n’ai PAS d’action pour Office 2010 !

      Si quelqu’un qui a fait le tour des imprimerie pour imprimer son livre avec de la qualité et pas cher peu donner un lien je suis preneuse. A moins Yvon que tu confirmes le tien ? Merci

  21. Article très intéressant à méditer. Il est certain que le livre papier est beaucoup plus « confortable » et qu’on peut l’annoter en couleur et plus. Mais, il revient plus cher lorsque l’on lit beaucoup.
    Cependant, je retiens ton idée.
    Merci Yvon.
    Amicalement,
    Armand

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