Une de mes amies vient de perdre un être cher : Son chien.
Ca arrive, hélas.
Ca vous semble un peu exagéré de parler “d’être cher” pour un chien ? Si vous en avez un, vous me comprenez. Sinon, faites-moi confiance sur ce point.
Bref, après quelques démarches et beaucoup de tristesse, l’aventure s’est terminée au crématorium pour animaux. Elle a dû s’y rendre pour récupérer ses cendres, et là, on lui a donné un sac en plastique, avec son ami à l’intérieur…
Et elle a pleuré. Encore une fois.
Des larmes de colère et de dégout, plus que de tristesse.
Parce qu’après 12 ans passés à côté de son ami, tout ce qu’il reste de lui tient dans ce petit sac en plastique blanc de 30 cm par 20.
Et elle en veut à cet homme qui vient de lui “tendre” son ami, comme on tend un sac Carrefour plein de courses.
Oui, parce que cet homme n’est pas fin psychologue.
Bien sûr, pour lui, c’est un geste qui ne lui provoque aucune émotion, vu qu’il l’exécute des dizaines de fois par jour.
Pour autant, il suffirait de changer un tantinet sa façon de faire pour voir moins de larmes dans les yeux de ses “clients”, et surtout pour ne plus voir de colère.
Car à l’intérieur du sac en plastique, il y a un petit carton.
Et dans ce carton, il y a une très jolie urne qui contient les cendres.
L’idée de l’employé est simple : Je mets l’urne dans le carton, je mets le carton dans le sac, et je donne le sac à la cliente. Elle gagne du temps, on risque pas de faire tomber l’urne et de la casser, et tout le monde est content.
Oui mais bon…
Pourquoi ne pas donner directement l’urne à la cliente ?
Parce que même sans avoir fait d’études de psychologie, il n’est pas difficile de voir qu’un “vulgaire” sac en plastique n’a franchement pas le même impact visuel et émotionnel sur une personne triste, qu’une urne dont la fonction première est justement de présenter les cendres de la manière la moins choquante qui soit.
Sinon, on les mettrait dans une vieille boite de Quality Street ou dans un pot de confiture, et ça irait très bien.
Bref… Cette histoire un peu insolite pour vous dire qu’il ne faut jamais négliger l’emballage d’un produit, d’un concept ou même d’un service.
Parce que ce que ressent le client quand il vient vous voir est largement plus lié à ce qu’on lui présente visuellement, qu’au produit en lui-même.
Par exemple, dans l’histoire ci-dessus, l’emballage qu’on s’attend à trouver, c’est une urne.
Et pas un “pauvre” sac en plastique qui, par son aspect “commun” et mal choisi, semble manquer de respect à la mémoire du défunt ami, et par contrecoup, à la cliente.
On peut bien entendu faire un parallèle avec l’une des règles à suivre les plus importantes quand on vend un produit ou un service via Internet…
Pensez au produit ou au service que vous vendez
Un produit, même s’il est virtuel, même s’il ne se touche pas, ne se sent pas, ou ne se goûte pas, doit malgré tout provoquer un afflux de sensations chez votre client ou chez votre visiteur.
Bien entendu, quand vous vendez un produit sur Internet, surtout si c’est un livre, ou un audio, ou même une formation vidéo, alors ce produit doit pouvoir être visualisé “comme si” il était vraiment là.
C’est pour cela, que “l’emballage” est très important.
Qu’est-ce que c’est que l’emballage ?
C’est tout ce qui “enveloppe” le produit et qui le présente au monde sous son meilleur jour.
Pour les produits réels que vous trouvez au supermarché – ou ailleurs, il ne peut pas vous avoir échappé que les marques passent un temps fou à créer des emballages qui donnent envie.
Avec vos produits virtuels, vous devriez y passer aussi le temps qu’il faut pour que ce soit parfait, en proposant par exemple :
- Une couverture en couleur d’un livre ou d’un CD ou d’un DVD
- Une série de boitiers de DVD pour une formation
- Un visuel en 3D du livre / CD / DVD
Que vous vendiez quoi que ce soit de “virtuel”, il FAUT qu’un visuel de qualité de votre produit ou service soit présent sur votre page de vente ou sur votre site Internet.
C’est en effet ce qui donnera envie à vos clients de vous contacter ou carrément d’acheter votre produit.
Par exemple voici le visuel d’un “pack” qui représente une série de 10 CD virtuels que je vends :
Chaque élément de ce pack est ensuite décliné sur la page de vente du produit en essayant d’être aussi réel que possible.
Le but est d’avoir une représentation si possible en taille réelle du produit pour que les clients puissent avoir l’impression de pouvoir prendre le produit en main.
Comment créer des visuels de qualité pour vos produits d’édition
Il vous faut maitriser 2 outils.
Le premier c’est un logiciel de dessin / photo du style de Photoshop ou de The Gimp.
C’est avec ça que vous allez créer la “couverture” de votre produit “à plat”.
Par exemple pour mon livre sur le trafic web :
Une fois que votre couverture est créée, alors ensuite vous allez devoir utiliser un logiciel qui va représenter votre produit en 3D.
Voici le livre final à partir de la couverture à plat ci-dessus :
J’utilise Box Shot 3D pour réaliser mes visuels. Mais il en existe plein d’autres à utiliser.
Je vous parlerai en détails de la manière de créer un visuel de votre produit d’un point de vue technique dans la leçon n°16 de la méthode de copywriting de ce blog.
Les vieux dictons ne disent pas toujours la vérité
En résumé, même si un vieux dicton vous dit le contraire, l’habit fait le moine.
Toujours.
C’est vrai pour les hommes et les femmes dans la vraie vie, mais ça l’est encore plus avec un produit ou un site web sur Internet.
Parce que vous pouvez toujours dire que votre produit est le meilleur du monde, qu’il fait les choses les plus extraordinaires, et le plus rapidement possible.
Vous pouvez employer le meilleur copywriter de la planète qui vous sortira un texte bouleversant d’attirance avec des accroches hypnotiques magnifiques.
Mais si visuellement, la représentation de votre produit a l’air minable, pauvre et semblant sortir tout droit du siècle dernier, alors vous en vendrez 10 fois moins que ce que vous devriez. Quand ce ne sera pas ZERO !
Parce qu’une mauvaise image du produit prendra TOUJOURS le dessus sur le meilleur des textes.
Donc en résumé, faites bien gaffe à l’emballage.
C’est un travail de copywriting largement aussi important que le texte qui va autour.
En êtes-vous bien conscient et surtout appliquez vous ces conseils pour votre propre produit ?
Yves Kouyo
Salut Yvon,
En effet, l’emballage est un élément qui doit vraiment être pris au sérieux lorsqu’on vend un produit.
Il doit communiquer avec la personne à qui on veut vendre le produit et parvenir à le fait un clin d’oeil du genre « Tu me trouve pas assez cool, emporte moi avec toi. Mon intérieur est X fois plus charmant et agréable ».
C’est un peu comme lorsque j’arrive sur la page de vente d’un produit. Je ne parle même pas de l’emballage, mais le site donne une folle envi de fermer la page. A cela faut ajouter une e-covers de mauvaise qualité comme s’il restait une minute à vire au vendeur lorsqu’il confection sa photo de couverture.
Parfois tout ce qu’il trouve à faire, est de télécharger une image sur Google. Écris le nom du produit sur l’image et fin.
Même si votre produit est parfait, c’est comme vendre les meilleurs crêpes du monde, mais les emballés dans du papier torchons quand il s’agit de le vendre sur la place public.
Rien de meilleure que de dire au client « Diable que je suis mauvais, veuillez passez votre route ».
Par ailleurs, si c’est des talents de montages et création d’images professionnelles qui vous manque, vous pouvez simplement demander les services d’un free lance.
Cela va énormément le taux de conversion de votre produit puisqu’avant d’avoir accès à une boutique c’est d’abord sa devanture qu’on aperçoit. Et cela est pareil pour un produit.
Cordialement,
Yves Kouyo
Christian
Salut Yvon,
Et en plus si le crématorium est sponsorisé par Pédigré Pal, j’imagine que le gars donne un beau sac jaune avec un grand logo dessus et une petite pochette d’échantillon de croquettes dedans.
Maintenant, d’accord avec toi, l’habit fait le moine.
Mais il ne faut pas qu’il cache un « pervers pépère » (tu connais la BD?).
C’est sûr que si on se met à la place de celui qui propose un produit quel qu’il soit, il vaut mieux le présenter avec un bel un bel écrin.
Maintenant, si je me mets à la place de l’acheteur, je secouerais quand même un peu la boîte pour être sûr qu’il y a quelque chose dedans.
Je dis ça, je ne dis rien, mais c’est pas (plus) parce je vois un gars survolant la méditerranée dans son jet sous un ciel bleu que je vais plonger sur ma carte de crédit.
Mais tout le monde ne réagit pas comme ça, je sais.
Sinon, on ne vendrait plus de ballons avec de l’hélium dedans. Tu sais, ceux avec une tête d’ Obama (par exemple…) avec du vent dedans, qui coutent très cher mais qui sont dégonflés trois heures après.
Allez, emballez, c’est pesé.
@+
Christian.
Christian
Mince, pas de gravatar=mauvaise adresse mail. Je corrige. Désolé.
Christian.
Yvon
Salut Christian
Oui oui je connais bien Pervers Pépère 😉
Sinon, tu as raison : Un bel emballage n’implique pas forcément un bon produit.
Cependant, un bon produit avec un mauvais emballage ne se vendra pas. Ou mal.
Et un produit médiocre avec un emballagemagnifique se vendra mais se fera rembourser le plus souvent.
Bref si tu fais tout bien, c’est mieux :hin:
Bonne journée
Yvon
Patrick
Bonjour Yvon,
Il y a quand même un effet pervers quand on fait des visuels aussi beaux, je suis certain que c’est arrivé à pas mal de gens qui liront ton article, un client commande ton ebook et 14 jours après il réclame son livre qu’il n’a pas reçu par la poste, tout cela malgré les différentes mentions à toutes les étapes qu’il s’agit d’un produit à télécharger !
Patrick
Yvon
Bonjour Patrick
Oui il est vrai que parfois, certains clients réclament un vrai produit.
Ca reste assez rare, voire très rare.
Et l’accroissement du nombre de ventes déclenchées par un beau visuel compense largement ce genre de demande.
Bonne journée
Yvon
Madeleine
Hello Yvon,
Contente de te retrouver et en plus avec un article d’une grande qualité.
Tout y est … l’émotion, l’image et le truc qui fait que je vais attendre la leçon 16 avec impatience.
Je te demande juste une chose … et je sais bien que tu le feras … c’est de nous prendre … je devrais dire « me prendre » par la main pour bien comprendre comment changer une photo à plat en 3D.
J’ai déjà vu pas mal de tutoriels et je ne m’en suis jamais sortie.
Alors, merci d’avance pour tous ceux qui sont comme moi, qui ont besoin de ce petit truc en plus pour comprendre ce qui semble si facile pour d’autres. 😉
A bientôt.
MarieBo
Bonjour Madeleine,
De nombreux blogueurs recommandent le site http://www.myecovermaker.com/ qui offre quelques modèles gratuits et autrement, un abonnement mensuel très raisonnable.
Chaque couverture 3D peut également être téléchargée en 2 D et servir à illustrer un article de blog au besoin.
Pas besoin de Gimp ni Photoshop.
Il existe de nombreux tutoriels sur YouTube à ce sujet.
Beaucoup de plaisir en perspective !!!
Madeleine
Bonjour Marie-Bo
Merci pour le tuyau, une première bonne base qui est à découvrir.
J’ai juste fait un tour et effectivement cela peut donner les premiers résultat que je recherche.
Bonne journée
Yvon
Bonjour Madeleine
Je te montrerai ça avec une vidéo un de ces jours.
Il existe des logiciels qui font ça très bien et très rapidement.
Bonne journée
Yvon
Jean-Marie
Bonjour Yvon
Encore une fois un très bon article.Il est vrai que nous réagissons plus à travers nos sens,donc l’aspect visuel est très important.Par contre concernant le logiciel Box Shot 3D existe-t-il une version en français?
D’avance merci.
Jean-Marie
Yvon
Bonjour Jean Marie
Non à ma connaissance je ne crois pas mais ce n’est pas bien grave, car il y a très peu de mots à connaître pour qu’il fonctionne. 😉
Bonne journée
Yvon
Xavier
Je n’ai pas de produit en vente pour le moment mais cela sera le cas dans les mois à venir alors oui tu peux être sur que cette histoire n’est pas tombé dans l’œil d’un aveugle (plus difficile l’oreille d’un sourd quand on lit un article de blog) et que je vais suivre la prochaine leçon toujours avec autant d’intérêt !
Paul Dubois
Bonsoir !
Le visuel prime. C’est un critère que les gens utilisent pour juger la qualité d’un site ou d’un service instantanément. Il peut soit attirer le visiteur ou lui donner l’envie de fuir.
Un aspect important, donc, à travailler avec soin. Merci pour l’anecdote au passage (belle leçon).
thierry
Salut Yvon
C’est tellement vrai !!
Tous les paramètres d’une page de vente sont très importants.
Mais je n’apprend rien à un copywriter là. :hin:
Mais c’est certainement un des paramètres les moins évident à maîtriser. Gimp et photoshop sont assez complexes à utiliser au premier abord, et font certainement reculer beaucoup de monde.
Après, c’est le temps et l’obstination qui font de bons résultats. Ou la sous-traitance. 🙂
Même problème pour la vidéo avec des logiciels du genre Camtasia.
Si on avait des journées de 92 heures, ce serait plus simples. Mais il faut faire avec le temps qu’on a. On ne peut donc pas exceller dans tous les domaines.
Trouver des alternatives pour certaines tâches peut être une solution.
Thierry
Jaime de latitude-positive
Salut Yvon :
Merci pour ce bon article.
Je pense que prendre soin de l’emballage d’un produit, ce n’est pas seulement non négligeable mais il me semble indispensable.
C’est bien pour cela que dans la musique, nous passons beaucoup de temps à l’élaboration de la pochette d’un disc.
Bonne soirée.
Amicalement,
Jaime.
Sylvie Viellot
Bonsoir Yvon,
Nous vivons tous, maintenant, dans une société du « paraître » avant tout.
Nous ne pouvons pas être d’accord avec cela mais nous sommes bien obligés de faire avec.
Donc, les images sont TRES importantes. Peut-être, plus que les mots, malheureusement.
Une petite pensée émue pour ton amie qui a dû subir deux chocs émotionnels en même temps, cela fait beaucoup.
Sylvie
Grégory @ Virtuose de la Vie
Coucou Yvon,
Simplement pour compléter l’adage que tu cites : lorsqu’il est complet, il va dans le sens de ton article :
« l’habit ne fait pas le moine…… mais il aide bien à rentrer dans le monastère » 😉
Dorian
Hello,
Plus un marché est concurrencé, plus on se doit d’être attrayant visuellement. Rien qu’en regardant les supermarché, les vendeurs en amont produisent des produits visuels et dont l’emballage peut être plus facile à prendre qu’un autre ou encore qu’on puisse en ranger PLUS dans l’espace qui nous est attribué dans un un rayon.
Parfois c’est un peu au détriment de la qualité mais généralement, on ne se fait avoir qu’une fois 🙂
Je ne connaissais pas ce logiciel de couverture, je viens de l’installer, il a l’air sympa, merci 🙂
Dorian
Florent
Je ne sais pas pourquoi mais cet article me rappelle une phrase d’une prof de Français à l’égard d’un de mes potes de classe à propos d’un de ses devoirs.
Il avait bien soigné la présentation et bien enrobé le tout, le problème c’est que c’était nul.
Elle lui a dit: C’est une belle merde bien emballée… sic.
Bon du coup ça a un tout petit peu avoir avec l’article ici: soignons l’emballage autant que son contenu.
Flo
Yvon
Bonjour Florent
Excellente ton histoire. Je te renvoie à mon commentaire à Christian ici présent 😉
Bon dimanche
Yvon
Alexandra
Hello Yvon,
oui, l’emballage bien sûr… et tout ce qu’il y a autour pour former un tout : le design général des pages Web, la qualité des éléments graphiques, la typographie, les couleurs, etc., etc., etc. 😛
Avec l’idée d’harmoniser tout cet ensemble… ce n’est pas du tout facile et ça requiert bien du « métier » !
Et comme nous sommes très inégaux devant ces problèmes de graphisme, c’est vraiment à chacun de voir comment il se situe : il vaut parfois mieux confier ces boulots à quelqu’un qui « sait faire » ou utiliser des modèles que l’on peut retravailler sans trop se prendre la tête (c’est ce que je fais le plus souvent maintenant).
C’est très excitant le webdesign et on peut vite se laisser emporter à travailler sur une bannière ou une ecover pendant des heures pour aboutir à « pas exactement ce qu’on voudrait », voire même pire… moi la première ! :hin:
Tout dépend donc du temps que l’on peut raisonnablement s’accorder de passer sur ces tâches graphiques ou alors, s’y mettre à « temps perdu » et utiliser des modèles tout prêts dans un premier temps quand on part de zéro.
Car je ne peux m’empêcher de dire quand même que l’art de composer une image, que ce soit une bannière, un header, ou une couverture de produit, ça reste quelque chose de difficile, même quand on n’est pas complètement débutant. C’est très loin d’être inné, quoi ! 😉
Alors je me permets de suggérer quelques liens (peut-être ?) utiles :
– Comment créer un header original sans photoshop
– Créez des images avec des mots
– Vos ecovers en beauté
– Un point sur la création de bannières
J’ai aussi quelques vidéos pour créer une ecover dans Paint.net, accessibles aux membres.
Amicalement,
Alexandra
Yvon
Bonjour Alexandra
Et merci pour tous ces liens de qualité.
Il est bien évident que le « graphisme » ça se travaille et ça s’apprend.
Pour autant, une fois qu’on le sait, ça va tout seul, non ?
Je pense que c’est une discipline qu’on devrait apprendre parce qu’elle est indisociable de la vente sur Internet.
Ou alors sous-traiter, mais c’est loin d’être une solution idéal, à moins de trouver la bonne personne et de savoir expliquer ce qu’on veut.
Bon dimanche
Yvon
samuel
Salut Yvon,
merci pour cet excellent article.
Pour accentuer le fait que l’emballage est très important, on pourrait prendre comme exemple quelqu’un qui se rend à un entretient d’embauche.
Si vous y allez dans une tenue sale, vous avez fortes chances d’être recalés même si vous êtes le major de votre promotion.
Pa contre, si vous êtes habillé convenablement, même si votre CV n’est pas tout aussi éloquent, vous aurez au moins la chance d’être écouté. 😉
Samuel
etienne
Très convaincante, l’histoire de l’urne !
Bel article
Bonne journée Yvon
Christophe
Bonjour Yvon,
Depuis seulemnt quelques minutes je parcours vos articles.
Après avoir lu 5 gros textes ( en + je n’aime pas lire les blogs… ), j’ai poursuivi jusqu’à celui sur le sujet de l’emballage. Là j’ai repris le moral.
Souvent dans mon job je suis occupé à vendre des étiquettes..bourrées à craquer de finitions toutes plus belles les unes que les autres..à des fabricants de produits qui seront sur le web mais sur une gondole de supermarket. Alors que mes clients s’en foutent, et ne montent pas en gamme.
Alors si je repense mon texte plutôt sur la base de l’effet de l’emballage du produit sur l’acheteur potentiel entrain d’essayer de repérer un produit sympa devant 15 mètres de rayon, je vais grâce à votre article, enrichir ma présentation en provoquant des prises de consciences et la dose de choc nécessaire pour faire réagir mes fabricants.
Donc, je vais continuer toute la série de vos articles.