Le 26 mai 1999 à 11:38 du matin, j’ai vu quelque chose qui m’a profondément bouleversé.
Un truc que je n’avais jamais vu avant, mais qui a provoqué chez moi une sorte de choc émotionnel, dont je me rappelle chaque détail avec une précision d’horloger 12 ans plus tard.
Il s’agit de ma rencontre avec la Tour de Pise.
Oui. C’est bien elle.
Ceux qui ont déjà vu la Tour de Pise en vrai savent de quoi je parle.
Les autres (vous peut-être) vous vous dites que je suis un peu émotif – ou complètement cinglé.
Et pourtant.
Si un jour vous vous rendez à Pise, et que vous découvrez comme moi cette tour devant vos yeux, alors je sais d’avance ce que vous allez faire.
Comment je peux le savoir ?
Facile :
Une expérience fascinante
Quand j’ai vu ça pour la première fois, il m’a bien fallu 10 minutes pour m’en remettre. Et puis ensuite, je me suis posé à la sortie du parking des bus, c’est à dire à l’endroit où les gens découvrent pour la première fois la tour.
Et j’ai regardé les visages des gens. Les 10 premières secondes.
C’est ahurissant. Ils ont TOUS fait pareil :
Yeux écarquillés. Bouche ouverte. Temps d’arrêt.
Et toujours le même mouvement : Une sorte de tassement des épaules. Comme s’ils s’attendaient à ce qu’elle s’écroule devant eux. Comme s’ils allaient la prendre sur la tête.
Parce qu’il faut être devant pour comprendre toute la particularité de ce monument.
Tout ce qu’on vous a appris, tout ce que vous connaissez sur les maisons et les monuments en général volent en éclat quand vous vous retrouvez face à face avec ce truc.
Un immeuble énorme. Qui vous parait monstrueux. Et il est penché.
Mais penché d’une telle manière, que la première chose que vous voulez faire, c’est… vous barrer. En courant. Parce que lorsqu’on est à moins de 10 mètres de la Tour de Pise, alors, on a VRAIMENT l’impression qu’elle va s’écrouler.
D’autant qu’à l’époque où je l’ai vue, aucun échafaudage ne la retenait.
Bref, ça fait peur.
Alors vous baissez les épaules. Et votre regard se fait interrogateur. Craintif, même.
J’ai beaucoup voyagé. Mais ce que j’ai vu ce jour là, je ne l’ai ressenti qu’une seule autre fois. Quand j’ai vu le…
Non. Je vous en parlerai plus tard.
Venons-en plutôt au rapport avec le copywriting comportemental.
Le pouvoir incommensurable des émotions
Quand on écrit une page de vente, ou même un article de blog, l’objectif est de marquer les gens qui vous lisent. D’éveiller leur intérêt.
Je vous ai déjà parlé des histoires à raconter, pour ça.
Mais il y a histoire et histoire.
- Il y a l’histoire qu’on a lue et qu’on retransmet. Avec nos mots.
- Il y a aussi l’histoire qu’on invente.
- Et il y a l’histoire qu’on a VRAIMENT vécue.
C’est de loin cette dernière qui sera retransmise avec le plus de passion. Et le plus d’enthousiasme. Parce que le sceau de l’expérience est plus fort que tout ce que l’on peut seulement imaginer.
Les émotions que l’on a ressenties en vivant vraiment l’histoire qu’on relate, vous donnent un enthousiasme et une crédibilité dans votre façon de vous exprimer par écrit qu’aucune histoire inventée ou même lue ne vous donnera jamais.
Je ne sais pas si vous avez vu ce film fantastique qui s’appelle “Slumdog Millionnaire”, où ce petit indien des bidonvilles gagne 10 millions de roupies à un jeu du genre de “Qui veut gagner des millions”, parce que chaque question le renvoie à une expérience qu’il a vraiment vécue tout au long de sa vie.
Il connait donc chaque réponse avec précision, car les émotions qu’ont créé ces expériences étaient si fortes qu’il s’en souviendra toute sa vie.
C’est exactement la même chose qui se passe quand vous relatez une histoire qui vous est réellement arrivée à vous : Vous parlez avec votre cœur. Et vous êtes ainsi beaucoup plus convainquant.
A vous de jouer !
Si vous écrivez une page de vente, ou un article, et que vous manquez d’inspiration, alors allez piocher dans les histoires vécues.
Les vôtres en priorité.
Pour les raisons qu’on vient de voir.
Et si possible, multipliez vos expériences. Observez les gens. Et voyagez, si vous le pouvez.
Pas parce que c’est une fin en soi (le fameux mythe du blogueur voyageur).
Mais parce que ce que l’on ressent quand on est réellement DEVANT les choses vous permet d’être plus intéressant quand vous racontez vos histoires.
Bon, OK, vous ne pouvez peut-être pas voyager tout de suite à des milliers de kilomètres de chez vous.
Mais de temps en temps, accordez-vous quand même quelques jours pour partir loin de chez vous. Même pendant 2 ou 3 jours. Même pendant le temps d’un week-end.
Ca vous permettra d’avoir plus de choses à raconter. Vous rencontrerez des gens que vous n’avez pas l’habitude de voir. Ils vous parleront d’endroits sympas que vous pourrez aller voir à votre tour. Et votre stock d’histoires vécues s’agrandira.
En résumé, ce n’est pas parce que vous faites un travail sédentaire, assis derrière un ordinateur, que vous ne devez pas vous aérer fréquemment les neurones.
C’est primordial pour rester intéressant dans ce que vous racontez.
Et c’est également primordial pour mettre un peu plus d’émotions dans vos textes.
Les meilleures pages de vente, celles qui font vraiment un carton grâce au copywriting, raconte une véritable histoire vécue, soit par l’auteur lui-même, soit par une personne qui l’a racontée de manière très enthousiaste à l’auteur.
C’est imparable. Les émotions sont plus fortes quand c’est personnel.
Donc racontez VOS histoires, ou faites vous raconter des histoires vécues par des vraies personnes.
Et retranscrivez fidèlement. Vous verrez…
BK
Bonsoir Yvon,
Là, tu n’avais pas besoin de spécifier qu’on écrit mieux quand on raconte ce qu’on a vécu : ton texte est magnifique !
Je me suis même fait la réflexion, dès les premières lignes, « Il écrit vraiment de mieux en mieux, le bougre ! ».
Ça vit, ça vibre, ça fascine, ça hypnotise… Bravo ! Bravo ! Bravo !
Quant au voyage, je confirme : ça vous transformerait un illettré en Hemingway ! C’est magique !… et ça fait longtemps que ça ne m’est pas arrivé.
Bref : voyage + vécu = deux des meilleurs conseils qu’on puisse donner pour bien écrire.
Enfin… faut quand même aussi prendre un peu le temps de regarder !
Bonne soirée
Bernard
Marie-Noël
Moi, je me suis dit, il commence à écrire comme Benard!
C’est une réflexion qui m’interpelle depuis que j’ai découvert le copywriting. Cette interrogation reste en suspens et je n’y ai pas encore trouvé des réponses personnelles.
Partout je lis: pas de « je nous moi », mais seulement des « vous vous vous ».
Si j’écris, c’est parce que j’ai des choses à raconter, à partager. Mais comment on fait pour concilier les deux sans être traité de nombriliste?
Quand est-ce qu’on fait quoi? des pistes Yvon, je veux des pistes, même si je ne les suivrai peut-être pas…
Bonne nuit à tous
Yvon
Bonsoir Marie Noël
Dis, tu as décidé de m’inspirer mon article du lendemain à chaque nouveau commentaire ??
C’est bien gentil en tout cas 🙂
Donc, je te réponds dans mon article de demain, chère Marie Noël 🙂
Bonne nuit à toi !
Yvon
Marie-Noël
J’aime bien rendre service… :hin:
Hélène et Dior
Alors vivement demain !
Je me posais la même question :hin:
Marianne
Bonjour Marie-Noël,
De mon expérience de conteuse, (www.ludovictory.com) ce qui marche le mieux, ce sont les histoires universelles, celles que vous (ou quelqu’un de votre entourage) avez vécues et qui pourraient arriver à tout le monde.
Pour susciter l’émotion :
– vous posez le cadre d’un évènement auquel tout un chacun aurait pu participer
– vous décrivez vos réactions (réelles ou inventées) auxquelles votre public va s’identifier.
Quand vous partagez une leçon de vie, utile à tous, vous découragez tout soupçon de nombrilisme, car vous êtes dans une démarche de générosité et cette émotion transparaît.
Et si vous ne voulez pas vous mettre en scène, rien ne vous empêche de créer un personnage, comme je l’ai fait sur les articles de M. Le Consultant du site de prise de parole en public.
Au plaisir de bientôt lire vos chroniques vécues :haha:
Marianne
Marie-Noël
Merci Marianne pour ces critères très clairs.
Avec les nombreuses vies que j’ai déjà vécues en vrai et dans ma tête, je crois que j’ai à ma disposition un réservoir inépuisable.
Reste à faire les liens entre le récit et le produit!
Yvon
Bonjour Bernard
Merci beaucoup 🙂
Tu as raison de souligner qu’il faut prendre le temps de regarder.
C’est en effet le plus important ! Regarder et écouter en fait.
Et noter, puisqu’on y est 🙂
Bonne journée
Yvon
Le chocolat
Salut Yvon
Le facteur émotionnel est effectivement un levier surpuissant. L’exemple du film slumdog millionnaire est très bien choisi pour cet car une émotion forte reste gravée à jamais dans notre tête. A nous de savoir nous en servir au bon moment. 🙂
Didier
Merci de cet article Yvon.
J’ai noté un élément où tu parles « de s’aérer les neurones » pour vivre des expériences, qui peuvent être passionnantes à raconter dans un article ou bien une lettre de vente.
C’est très vrai !
On a besoin de vécu pour transmettre – au-delà – de nos claviers et montrer que l’on vit dans le réel. Mais, une histoire vraie, qui nous a nous même impressionnée, est infiniment plus aisée à partager sur un blog ou une lettre.
J’ai justement raconté une histoire très récente « Comment j’ai sauvé une vie en ratant mon avion à Casablanca« . J’ai eu des centaines de réponses suite à cet articles.
La clé en effet, est l’émotion.
Voici l’article en question si cela vous intéresse :
http://www.developpement-personnel-club.com/article-votre-intuition-peut-elle-sauver-une-vie-86165127.html
Didier Pénissard
Yvon
Bonjour Didier
Merci pour ton intervention et bravo en effet pour ton article fortement chargé d’émotions.
Je n’ai pu accéder aux commentaires par contre (on arrive sur une 404).
Bonne journée
Yvon
Julien Arcin
Pourtant, la tour de pise est debout depuis de nombreuses années, c’est bizarre que l’émotionnel prenne le pas sur l’esprit rationnel comme ça :hin:
Sinon, c’est clair que le story telling est un des principes fondamentaux du marketing. Et on ne peut pas raconter de bonnes histoires sans avoir du vécu derrière.
Travailler sur le net n’implique absolument pas de ne pas sortir de chez soi, quelle idée ? lol
Yvon
Tant que tu ne seras pas devant, tu trouveras ça bizarre.
Quand j’y suis allé, on ne pouvait déjà plus monter dedans.
Docteur Greg
Je me demandais…. ne faudrait-il pas tout de même un carnet spécial « expériences vécues » ? :hin:
Superbe récit Yvon.
J’ai pris un grand plaisir à lire cet article.
Tellement que je n’ai même pas envie de réagir sur le fond, pour laisser raisonner encore un peu en moi l’impact très agréable de cette lecture.
Yvon
Salut Greg
Merci 🙂
Personnellement j’écris mes histoires vécues dans mon carnet d’anecdotes. :super:
Bonne journée
Yvon
brigitteN@self-coaching
Merci pour ce partage , belle histoire et comme tu le dis si bien , rien ne remplace le vécu , les émotions ressenties au plus profond de notre etre , le partage avec d’autres c’est ca qui nous rend « humain »
Blandine
Bonsoir Yvon, j’avoue que de te lire parler de la tour de Pise m’a donné envie d’aller la voir !
je ne suis pas une grande voyageuse mais peut être qu’un jour qui sait, j’attraperais ce virus là !
zenie
Yvon
Bonjour Zenie
Oh oui vas y ! Tu ne regretteras pas ton voyage. Si tu peux pousser jusqu’a Florence ensuite, ce sera parfait (ce n’est pas si loin).
Bonne journée
Yvon
Madeleine
Hello Yvon,
La tour de Pise … bel exemple de l’émotionnel.
Moi, ce qui m’a époustouflée, a été de voir qu’en fait, elle est située au milieu de la ville et non pas, comme ce que j’avais gravé dans ma mémoire en voyant de simple photos, c’est-à-dire, dans un grand champ avec rien autour.
Ceci, juste pour dire que je peux continuer ton récit et dire que lorsque nous avons un blog, nous avons parfois la sensation d’être seul/e à écrire sur le thème alors qu’il y a des centaines, des milliers de personnes qui écrivent sur le même thème tous les jours.
Certains font passer de l’émotion, d’autres se contentent de réécrire ce qu’ils ont déjà vu et lu, d’autres encore se prennent pour des experts sans rien avoir à apporter de nouveau.
En bref, c’est comme les immeubles qui cohabitent avec la tour de Pise. Certains sont beaux, d’autres ne sont plus qu’une carcasse de béton qui n’a pas d’âme.
A nous de créer quelque chose qui a une âme, qui donne envie d’habiter là où on se sent bien … et, si en plus, il y a dans notre environnement une tour de Pise, alors tout est à gagné.
Bonne soirée.
keacrea
Bonsoir, j’adhère totalement à cet article.
Pour vous donner une petite anecdote, ce concept marche aussi pour les créations diverses. Dans notre agence notre graphiste nous dit parfois « je manque d’inspiration, je sors ».
Dans ce cas, elle part s’aérer la tête, se balader, trouver des choses insolites et quand elle revient, les idées fusent et on ne peut plus l’arrêter.
Comme quoi il n’y a pas forcément besoin d’aller bien loin pour trouver l’inspiration.
Bonne soirée
Bruno
Yvon
Bonjour Bruno
Excellent ! En effet, un bon bol d’air, une bonne inspiration… et l’inspiration revient.
Je fais cela très souvent moi aussi et ça cartonne. Je confirme.
Bonne journée
Yvon
Patrice Decoeur@Marketing pour Gagner
Entièrement d’accord ! Raconter des fixions, c’est bien beau mais le lecteur le ressent, même inconsciemment.
Et pourtant, tout le monde ne sait écrire sur son propre vécu, même si tous le peut avec un petit effort. Un fois que l’on commence à écrire réellement ce que l’on a vécu ou ce que l’on ressent, le lecteur réagit beaucoup plus. Ce blog en est une preuve.
J’attend impatiemment de lire ce que tu ressentis cette autre fois Yvon 😉
Yvon
Bonjour Patrice
Merci pour ton premier commentaire, et bienvenue ici.
Si on a du mal à écrire, on peut toujours parler. Et retranscrire après. Quitte à parler à quelqu’un pendant ce temps là.
Bien souvent, le fait de raconter l’histoire à son conjoint ou à des amis permet d’exprimer son enthousiasme plus facilement. Ce qui est justement plus dur à faire avec un écrit.
Une autre solution encore plus simple : Raconter ou écrire l’histoire juste après qu’elle se soit déroulée. Ou s’enregistrer la PREMIERE fois qu’on la raconte. Et archiver.
Bonne journée
Yvon
Sylvain
Bravo Yvon !
Encore une fois tu nous surpasses tous, mais à mon avis je dois être comme beaucoup ici..personnellement je ne sais pas d’où il tire cette énergie d’écrire chaque jour un article intelligent..et pensé à l’avance ! :super:
Et je dois dire que bien qu’emballé au début..mon site en comparaison es t un cimetière (bien garni). 😕
Désolé si je choque mais je dis les choses telles que je les vois (en tous cas pour mon blog) 🙁
Pour être franc, j’en suis à la mise en page..et tant que cette mise en page ne sera pas comme je le veux..aucun message ni photos de plus je mettrai ! C’est comme ça.
Enfin, merci quand même car peut-être qu’à force je vais sérieusement m’y mettre !
S.Freymond – Responsable du magasin de vélos et kits électrique Ecobike-shop en Suisse
Geoffroy
Bonjour Sylvain,
Pourquoi ne pars tu pas avec un blog wordpress ?
Tu pourrais personnaliser peut être mieux ton design de blog.
Geoffroy
Yvon
Bonsoir Sylvain
Merci 🙂
En fait, cet article m’a été inspiré par ma précieuse assistante avec qui j’ai déjeûné hier midi. Donc pensé à l’avance, hé non, pas pour cette fois 🙂
Je ne pense pas qu’il soit judicieux de comparer ton blog à celui-ci. On ne traite pas du tout du même sujet, et ce qui peut te sembler « limite » à toi peut largement plaire à tes lecteurs. Surtout si tes articles les informent sur ce qu’ils attendent.
Je dirais pour finir que je rejoins Geoffroy : En te mettant sur WordPress, tu pourrais prendre un design de base, qui permettrait à tes lecteurs de se concentrer sur ton contenu. Quitte ensuite à modifier légèrement le thème en avançant pas à pas.
Bon courage
Yvon
Xavier
Bonsoir Yvon
Ainsi tu as un certain penchant pour la tour de
Pise.
Tu décris une émotion qui m’est familière et que
j’ai ressenti à chacune des trois fois ou je lui
ai rendu visite :
Une fois vers dix ans ou en preux chevalier je
suis parti à la conquête
De ses 293 marches tout en truscidant mille
ennemis!
Vers 20 ans c’est à ma belle dulcinée,
amoureuse de l’Italie que je fais découvrir le
panorama superbe de la ville de Pise et sur la
« plazza dei miracoli » cette place porte bien son
nom : À chaque fois on se dit: c’est vrai qu’elle
penche beaucoup!
Puis il y a près de 4 ans c’est dans les yeux de
mes enfant que j’ai pu lire avec ravissement la
stupefaction et l’ėtonnement .
J’ai pu ainsi leur transmettre l’histoire que
m’avais raconté mon père
« C’est ici que Galilée à montrė qu’Aristote
s’ėtait trompé ‘: la vitesse de chute des
corps ne dépend pas de leur masse »
Du haut de la tour, du cotė ou elle penche
Galilėe à donné le départ d’une course un
peu spėciale: deux sphères de même
grandeur,une creuse, une pleine.
Elles ont fait execo
et Aristote qui aurait pariė que la sphère
pleine gagnerait…..à donc perdu son pari!
Autre remarque amusante
Le campanile de Pise n’est pas le seul campanile
à avoir un air penchė
rien qu’à Venise j’en ai relevė 3 (Burano,
San gorgio et Santo Stefano) qui ont tous une
inclinaison bien marquėe.)
Et l’un d’entre eux pres de la Piazza, s’est
écroulé 3 fois dans son histoire Et à été
reconstruit à chaque fois ….un peu plus
droit… Et un peu plus haut. Les Italiens ont
toujours été de sacré constructeurs!
Voilà la petite histoire que ton article m’a
rappelė.
Je te souhaite une bonne soirėe Yvon.
PS
Ah si vous n’y été pas encore allé allez y a
Pise.Et si vous y êtes allė retournez y.
L’ėmotion est toujours là…. À chaque fois!
.
Marie@Ibiza-Baleares
Bonjour Yvon
Merci pour ce moment. J’adore les expériences fascinantes celles qui nous font basculer hors de notre mental concret…
C’est ce genre d’article marquant et enthousiasmant, que je me donne comme défi d’écrire, sur notre nouveau blog de voyage…
Je continue à te lire pour prendre exemple…
Bonne journée…
Jean Paul
Bonjour Yvon,
Coïncidence ? Je vais à Pise dimanche.
Cela dit, j’y vais 3 à 4 fois par an.
Il me faut 3 heures en voiture pour y aller.
Bien sûr que tu as raison, le vécu fait remonter
des émotions et les émotions parlent mieux
que l’intellect.
Que serait la raison sans l’équilibre de la passion ?
Bravo pour ce partage, car il faut bien reconnaître
qu’à force de s’entêter à contrôler ses émotions il
devient difficile de les transmettre.
Je ne vais pas en rajouter, tout le monde est d’accord
avec tes arguments.
Bonne journée
Jean Paul
Samuel
Salut Yvon,
Bravo une fois de plus pour ton article.
Difficile de te contredire quand tu nous pousses à voyager et voir du pays (et ce côté bénéfique pour les neurones).
Et si tu as la chance d’habiter quelques années à l’étranger comme j’ai pu le faire, tu voyages 2 fois pour le prix d’un (quand tu pars, et quand tu reviens).
J’ajouterai quand même qu’il ne faut pas oublier la magie de ce qui se passe en bas de chez nous (et que l’on ne voit plus). 8))
Que rajouter après brel ? Tout est dis, non ? 😉
etienne
Yvon est en forme !
Tu connais ma concision, hein.
kksinfotel
les histoires vécues sont bien plus importantes; car nous arrivons à la raconter pleinement et à faire ressortir toutes nos émotions.
j’ai pas encore écrit une page de vente; mais je prend ceci comme conseil à mettre en application
webmarketing.addict
Bonjour,
J’ai adoré ton article.
De 1 tu m’a donner envie de revoir le film slumdog the millionnaire et de 2 de voyager.
Après il est assez difficile de voyager quand on a pas les moyens.
Bonne journée
Narissa
Je suis restée scotchée par tes mots ! Wouah !
je m’inscris de suite je veux tout savoir sur le copywriting, c’est passionnant (en tout cas tu le rends passionnant).
Merci pour ta génialitude et tes partages, je vais de ce pas explorer chaque recoins de ton site.
A très vite ! 😉
Yvon
Bonjour Narissa
Merci pour ce commentaire bien sympa.
Au plaisir de te revoir au fil de ta découverte de ce blog que je vais reprendre en main dans quelques semaines 🙂
Et bon dimanche !