Catégorie : Storytelling
Racontez, pour voir…
A l’ère de l’Intelligence Artificielle, qui est capable de produire un excellent argumentaire (si vous savez poser les bonnes questions) en quelques quarts d’heure, il est malgré tout quelque chose d’immuable :
Si vous décidez de raconter des histoires ou des anecdotes, et de mettre des exemples vécus dans vos infoproduits, vous allez créer un contenu 100% personnel que personne ne pourra copier (puisque ce sont VOS histoires).
Même l’IA ne peut pas savoir ce que vous avez vécu.
Et si vos histoires sont bien tournées, elles peuvent enseigner de manière bien plus efficace que n’importe quelle théorie.
Ce qui fera une réelle différence entre un produit médiocre dont on trouve les infos partout et un ouvrage qui sera un best seller.
Sans parler du fait que de cette manière, votre produit (ebook, formation ou autre) sera bien plus apprécié.
Les témoignages que vous recevrez seront bien meilleurs et donneront plus envie aux autres d’acheter.
C’est de cette manière que l’on peut faire de son produit son premier ambassadeur.
Pensez-y sérieusement : on a tous des histoires incroyables à raconter autour de notre thème.
Pourquoi ne pas en faire un bon produit ou pour le moins, s’en servir pour enrichir un produit existant qui a du mal à se vendre ?
Votre action du jour :
Dans un de mes livres préférés, « Réveillez le millionnaire qui est en vous » de Robert Allen et Mark Victor Hansen, les auteurs ont décidé d’écrire le livre de 2 manières.
Sur les pages de gauche, on a le droit à des techniques et de la pratique, et sur les pages de droite, on découvre une histoire palpitante d’une femme qui doit trouver un million de dollars en 3 mois.
Et si vous preniez un chapitre d’un livre ou d’une formation que vous vendez et que vous faisiez pareil ?
Vous pourriez vous servir de votre expérience personnelle qui doit être riche de plein de manières pour transformer ce chapitre en quelque chose de palpitant.
Commencez par un petit passage, et puis voyez si vous ne pourriez pas, à terme, créer l’exact pendant de votre produit en aventures.
Imaginez combien vos clients seraient ravis !
11 mai 2023
L’importance des émotions dans le copywriting : cas pratique
Vous avez une page de vente… Elle vend, mais pas autant que vous le souhaitez… 2%, 3%… Vous vous dites que c’est déjà pas mal, mais franchement, avec le temps que vous passez sur Internet, vous pourriez faire beaucoup mieux.
Et si on essayait de faire grimper tout ça ?
Comment ? En utilisant un peu plus d’émotions, tout simplement. En racontant des histoires, et en émaillant votre texte de vente de mots émotionnels qui font réagir les gens dans le bon sens.
C’est un sujet tellement important que j’en ai fait deux article pour vous.
Le premier, c’est celui-là… Demain, vous aurez la suite… et une surprise, que vous ne comprendre que si vous lisez cet article jusqu’au bout.
Parce que je suis comme ça, moi… j’aime bien les boucles…
Allez, on attaque :
1. Comprendre les émotions dans le copywriting
Si on voulait définir les émotions, on pourrait dire que ce sont des réponses mentales et physiques à des stimuli externes ou internes.
Elles peuvent prendre de nombreuses formes, comme la joie, la tristesse, la colère, la peur, l’amour, etc.
Les émotions sont importantes dans le copywriting parce qu’elles influencent les décisions, les choix et les comportements de votre public.
Et le plus important, c’est que Les émotions peuvent inciter votre public à acheter, à s’engager, à partager, et à passer à l’action…
Bref, elles peuvent vous aider à vendre beaucoup, beaucoup plus !
Comment les émotions aident à établir une connexion plus profonde avec le public
Les émotions sont un moyen puissant d’établir une connexion émotionnelle avec votre public.
En utilisant des appels émotionnels, vous pouvez créer un lien avec votre public, en les aidant à se sentir compris, appréciés et connectés.
Les émotions peuvent aider à humaniser votre marque ou votre entreprise, en créant une image plus authentique et plus accessible de votre entreprise.
Exemples de marques qui ont utilisé des appels émotionnels avec succès
De nombreuses marques ont utilisé des appels émotionnels avec succès dans leur copywriting.
Prenons l’exemple de Coca-Cola, qui a créé une campagne publicitaire intitulée « Partagez un Coca-Cola avec…« .
Cette campagne utilise des appels émotionnels pour créer une connexion émotionnelle avec les consommateurs, en leur montrant qu’ils peuvent partager une boisson avec leurs amis, leur famille ou leur partenaire.
Un autre exemple est celui de Nike, qui utilise régulièrement des appels émotionnels dans leur publicité pour inspirer leur public et les encourager à poursuivre leurs rêves et leurs passions.
Leur célèbre slogan « Just do it » est un appel émotionnel qui incite les gens à agir, à persévérer et à aller au-delà de leurs limites.
En conclusion, les émotions sont un élément essentiel du copywriting efficace.
Les émotions aident à établir une connexion plus profonde avec votre public, en créant un lien émotionnel avec eux.
Les exemples de Coca-Cola et de Nike montrent comment les marques peuvent utiliser des appels émotionnels avec succès pour susciter des émotions chez leur public, les incitant à s’engager davantage avec leur marque ou leur entreprise.
2. Connaissez-vous vraiment bien votre public ?
Maintenant que nous avons vu l’importance des émotions dans le copywriting, la question est de savoir comment les utiliser pour atteindre votre public.
Pour cela, il est crucial de bien connaître votre public cible.
Importance de bien connaître son public cible
Je vous en parlais dans l’article précédent : Connaître votre public cible est essentiel pour utiliser des appels émotionnels efficacement.
En connaissant ses besoins, ses désirs, ses peurs et ses espoirs, vous pouvez créer des messages qui sont pertinents et adaptés à leurs émotions.
Plus vous connaissez votre public, plus vous pouvez créer des connexions émotionnelles avec eux.
Comment comprendre les émotions de votre public
Pour comprendre les émotions de votre public, il est important de réaliser des études de marché et des recherches sur votre public cible.
Vous pouvez utiliser des enquêtes, des sondages, des groupes de discussion et des analyses de données pour comprendre les émotions de votre public et les besoins qui y sont associés.
Vous pouvez également observer les comportements de votre public, en analysant les commentaires qu’ils laissent sur les réseaux sociaux, en étudiant les tendances dans votre secteur d’activité, et en écoutant leurs feedbacks.
Vous pouvez aller lire les témoignages que les clients laissent sur les produits de vos concurrents, aussi. Et rassembler une sorte de « banque » de phrases et de mots qu’ils utilisent.
Par exemple, voici une liste de mots et expressions que les acheteurs de formations en ligne peuvent utiliser pour laisser un témoignage :
Incroyable, Exceptionnel, Puissant, Révélateur, Transformateur, Inspirant, Inestimable, Précieux, Impactant, Mémorable, Éclairant, Édifiant, Persuasif, Convaincant, Motivant, Encourageant, Engageant, Dynamique, Passionnant, Épatant, Remarquable, Révolutionnaire, Révélateur de potentiel, Pratique, Accessible, Facile à suivre, Clair et concis, Agréable, Bien structuré, Utile
Ces mots et expressions, s’ils ont été trouvé ici ou là sur des témoignages laissés sous quelques formations à vendre, peuvent aider à convaincre d’autres acheteurs potentiels de la valeur de la formation, en montrant qu’elle a été bénéfique pour d’autres personnes et en utilisant des mots forts qui suscitent des émotions positives.
Que vendez-vous ? Où se trouve les pages de vente de vos concurrents ? Quels témoignages laissent les clients ?
Plus vous observez et comprenez les émotions de votre public et de tout ce qui tourne autour, et plus vous pouvez les utiliser efficacement dans votre copywriting.
Comment adapter son copywriting en fonction des émotions de votre public
Une fois que vous avez compris les émotions de votre public, il est temps de les utiliser dans votre copywriting.
Pour cela, vous devez adapter votre copywriting en fonction des émotions de votre public.
Par exemple, si vous savez que votre public est anxieux à propos d’un certain sujet, vous pouvez utiliser des mots rassurant dans votre page de vente.
Comme ceux-là par exemple :
Naturel, Sûr, Éprouvé, Efficace, Apaisant, Relaxant, Anti-stress, Calmant, Doux, Non-addictif, Non-sédatif, Rassurant, Bien-être, Sérénité, Équilibre, Tranquillité, Paix intérieure, Confort, Harmonie
Ces mots sont conçus pour rassurer les clients anxieux en utilisant des termes qui évoquent la sécurité, la nature et la tranquillité.
En mettant l’accent sur l’efficacité du produit, tout en soulignant qu’il est sûr et naturel, vous pouvez aider à établir une relation de confiance avec votre public et leur donner la tranquillité d’esprit qu’ils cherchent.
Si vous vendez un accompagnement au deuil, votre public est triste et pétri de douleurs émotionnelles.
Vous allez devoir employer des mots rassurants et réconfortants pour les toucher et vous adresser à eux avec empathie.
Ces mots par exemple :
Réconfortant, Bienveillance, Apaisant, Écoute, Compréhension, Soutien, Empathie, Encouragement, Bien-être, Résilience, Espoir, Reconstruction, Confiance, Sérénité, Paix intérieure, Guérison, Renouveau, Joie de vivre, Renforcement, Transformation
Ces mots sont conçus pour redonner le moral aux personnes tristes en leur offrant des mots qui évoquent l’empathie, la compréhension, le soutien et l’espoir.
En mettant l’accent sur la guérison, la résilience, la reconstruction et la transformation, vous pouvez aider à donner à vos clients l’espoir et la force dont ils ont besoin pour se remettre d’une période difficile.
En utilisant des termes tels que « réconfortant », « apaisant » et « sérénité », vous pouvez leur offrir un environnement sûr et sécurisant pour leur permettre de comprendre que votre accompagnement peut les aider à guérir.
Tout est une affaire d’adaptation !
En adaptant votre copywriting en fonction des émotions de votre public, vous pouvez créer des messages qui sont pertinents, puissants et émotionnels.
Vous pouvez créer des connexions émotionnelles avec votre public, en leur montrant que vous comprenez leurs émotions et que vous êtes là pour les aider.
3. Utiliser des histoires pour évoquer des émotions
Les histoires sont un outil puissant pour susciter des émotions chez votre public.
Lorsqu’elles sont bien utilisées, elles peuvent aider à créer des connexions émotionnelles avec votre public et à susciter des sentiments tels que l’empathie, la compassion et l’inspiration.
L’importance des histoires dans le copywriting émotionnel
Les histoires sont un moyen efficace de communiquer des émotions à votre public.
Elles permettent à votre public de s’identifier aux personnages, de comprendre leurs défis et leurs réussites, et de se connecter émotionnellement avec eux.
Elles peuvent également aider à humaniser votre marque ou votre entreprise, en montrant l’impact de votre entreprise sur la vie de vos clients.
Comment raconter une histoire qui évoque les émotions de son public
Pour ça, vous devez vous concentrer sur les personnages et leur parcours.
Vous devez créer des personnages qui représentent votre public cible, en utilisant des caractéristiques, des défis et des réussites qui leur sont propres.
En créant des personnages qui sont familiers à votre public, vous pouvez susciter des émotions plus facilement.
Vous devez également utiliser des éléments de l’histoire qui sont pertinents pour eux.
Cela peut inclure des thèmes tels que :
- les défis auxquels ils sont confrontés,
- les solutions que votre entreprise offre,
- et les résultats qu’ils peuvent attendre.
Exemples de marques qui ont utilisé des histoires émotionnelles avec succès
De nombreuses marques ont utilisé des histoires émotionnelles avec succès dans leur copywriting.
Prenons l’exemple de Airbnb, qui utilise régulièrement des histoires de voyageurs pour inspirer leur clients et leur donner des idées de voyage.
En racontant des histoires de voyageurs qui ont vécu des expériences incroyables grâce à Airbnb, la marque suscite l’émotion chez son public, en leur montrant toutes les possibilités qu’ils offrent.
Un autre exemple est celui de Google, qui a créé une campagne intitulée « Rechercher« , qui raconte l’histoire d’une jeune fille qui cherche à se connecter avec son père disparu.
Cette campagne utilise des émotions fortes pour créer une connexion émotionnelle avec les gens, en montrant comment la recherche sur Google peut aider à résoudre des problèmes émotionnels.
Bon cet exemple fait un peu rire parce qu’il y a mieux que Google pour ça, mais vous comprenez le principe.
Orange avait fait ça aussi pour un Noël, en mettant en scène un papy qui voulait voir ses enfants « une dernière fois » tous ensemble avant de « partir ».
C’est un peu pathos, mais forcément, ça marche ! 🙂
L’idée d’une connexion émotionnelle fonctionne en créant des personnages et des histoires qui sont pertinentes pour votre public cible.
Le but est de susciter des sentiments tels que l’empathie, la compassion et l’inspiration… ce qui a un objectif de faire « rentrer » les gens qui vous lisent dans votre histoire.
Bientôt la suite…
Demain, je publierai la suite de cet article…
Je vous montrerai les différents mots émotionnels que vous pouvez utiliser – et rajouter – dans votre page de vente pour la rendre plus efficace et plus vendeuse…
Je vous parlerai d’urgence, aussi… Parce que sans urgence, la vie et moins fun.
Et je vous ai réservé une petite surprise à la fin de mon article de demain, dont vous me direz des nouvelles.
Accrochez-vous… On va se prendre pour Harlan Coben, demain !
D’ici là, vérifiez que votre page de vente est assez armée pour provoquer des émotions et de l’engagement auprès de ceux qui la lisent…
Ca peut servir, vous allez voir 🙂
A demain !
24 février 2023
Le pouvoir du storytelling en 16 points
Aujourd’hui, on va parler de storytelling, une méthode qui permet de capter l’attention de vos lecteurs et potentiels clients grâce à une histoire.
Réelle ou inventée, cette histoire construite autour d’un produit ou d’une marque permet de piquer la curiosité de vos lecteurs et de retenir leur attention.
Je vous ai donc rassemblé 4 articles vous donnant conseils et méthodes pour bien l’utiliser.
Article #1 : Content Marketing : les avantages du storytelling en 5 points !
Du blog DigitalMint
Il était une fois le storytelling. Une méthode de communication unique, apparue au pays de l’Oncle Sam il y a bientôt 30 ans. Dans les articles de blog, sur les réseaux sociaux, dans les newsletters, le storytelling a bien des avantages. Il suscite l’attention des lecteurs, bien plus que de banales présentations de produits ou services.
Encore aujourd’hui, le storytelling continue de faire ses preuves et devrait être intégré à toute stratégie de Content Marketing. La création de votre entreprise peut constituer un bon point de départ : comment l’idée a germé, comment les fondateurs se sont rencontrés, quelles ont été les difficultés et les belles opportunités, comment les choses ont évolué … Les histoires gravitent naturellement autour de votre entreprise et de vos produits, alors inspirez-vous en ! Qu’elles soient réelles ou imaginaires, ces belles histoires auront un impact certain sur votre lectorat.
- Capter l’attention des lecteurs
Attirer l’attention, c’est le premier pas incontournable vers l’acte d’achat. Un article de blog avec un titre percutant, ça favorise le clic. Mais après, il faut continuer à susciter l’intérêt du lecteur. Et cela passe par les récits. Les histoires ont en effet l’avantage de créer une connexion émotionnelle entre la marque et le lecteur. Elles font bien plus écho qu’une publicité classique, car elles lui parlent de choses auxquelles il peut s’identifier, d’exemples concrets et vivants qu’il peut comprendre.
Article #2 : 6 conseils pour créer un bon storytelling de blog
Du blog Rédacteur
Les blogs sont partout et sur tout !
Les lecteurs sont fidèles à certains grands acteurs et influenceurs, mais restent des internautes versatiles, avides d’informations.
Chaque jour 3,3 milliards de requêtes sont cherchées sur Google. Il y a donc de la place pour de nombreux blogs, à condition de se démarquer. Une technique qui a fait ses preuves en la matière : le storytelling.
Cet art de raconter une histoire à ses lecteurs, permet de créer de la récurrence dans leurs usages de vos contenus (articles, posts sur les réseaux sociaux, newsletter, etc.) et surtout un attachement à votre marque.
Très utilisé sur Instagram par exemple, le storytelling a toute sa place sur votre blog.
Voyons comment exploiter cette technique infaillible de content marketing pour embarquer vos lecteurs !
Article #3 : 5 raisons pour lesquelles vous devriez utiliser le storytelling dans votre e-commerce
Du blog E-commerce Nation
Chaque semaine, de nouveau sites marchands appartenant à des entreprises établies ainsi qu’à des start-up rivalisent pour des parts de marché. A la lumière d’une compétition qui s’intensifie de semaines en semaines, vous devez trouver un moyen d’attirer et retenir les consommateurs, tout en ajoutant de la valeur à votre marque. Le storytelling est la solution parfaite que vous pouvez ajouter à votre stratégie de contenus. Cette méthode peut vous aider à attirer de nouveaux consommateurs, d’impliquer votre public, tout en augmentant vos revenus et la fidélisation client.
Améliorez la valeur de votre contenu avec le storytelling
A l’ère où les marques ont reconnu le pouvoir du marketing de contenu, fournir du bon contenu n’est pas suffisant. Pour attirer et garder l’attention de votre public, vous devez raconter des histoires.
Plutôt que de présenter des faits anodins sur votre blog ou sur vos réseaux sociaux, créez du contenu dynamique créant l’intérêt et de l’excitation chez le lecteur. Bien entendu, il faudra effectuer des recherches quant à votre audience ainsi qu’à l’industrie à laquelle vous appartenez, mais vos efforts seront récompensés.
Article #4 : Le guide indispensable pour maîtriser le storytelling
Par Marie Hillion du blog Hubspot
Communiquer, cela consiste à échanger avec d’autres individus afin de transmettre un message et diverses informations, mais aussi parfois raconter une histoire à une audience.
Dans le cas du marketing, cette narration a pour objectif d’impliquer ce public au cours d’une campagne marketing afin de la rendre mémorable, associant alors l’offre commerciale à un souvenir, agréable ou non.
Comment réussir la narration d’une histoire ?
Afin de raconter correctement une histoire, il est important de faire usage d’une narration intelligente, qui garantira un impact sur la cible. La campagne de communication n’en sera alors que plus efficace. Il existe quelques étapes essentielles pour développer une bonne méthodologie de storytelling.
- Déterminer un objectif et une trame narrative
A vous de jouer
J’espère que cet article vous a aidé à comprendre l’importance du storytelling pour capter l’attention de vos lecteurs et clients et que ces conseils vous ont donné des idées pour votre marque.
Connaissiez-vous cette méthode ? Est-ce que vous l’utilisiez déjà ?
Si non, il est peut être temps de commencer !
5 octobre 2020
« J’ai utilisé ma bible pour touiller ma vinaigrette ! »
Quoi ? Encore un titre à la mord-moi-l’nœil ? Je vous explique pourquoi dans une minute, mais avant…
L’enregistrement audio que j’ai mis sur mon article d’hier en a fait rire plus d’un. C’était le but.
Le plus drôle, c’est que lorsque ma chérie a entendu ça, elle m’a dit : « Mais c’est quoi ce bruit horrible ? On dirait un gamin sur une voiture électrique…« .
Quand je lui ai dit que c’était un enregistrement de l’épilateur qu’elle venait d’utiliser y’a pas 5 minutes, son visage valait tout l’or du monde.
Cet insolite tellement sous-utilisé
L’insolite… C’est vraiment ce qui fonctionne le mieux en terme de contenu, aujourd’hui.
Il y a tellement d’articles, de vidéos et de posts ici ou là, que si on ne met pas quelque chose qui sorte les gens de leur torpeur à travers un titre, une image ou même un son, ils ne vous lisent plus.
Et on comprend pourquoi.
Je lisais dans un des multiples mails que je reçois, que le but d’un mail ou d’un article journalier était de poser un sourire sur le visage des gens.
J’ai trouvé la formule intéressante et particulièrement juste.
Car si vous écrivez aux gens chaque jour, autant qu’ils aient passé un bon moment en vous lisant, et qu’ils aient quelque chose à raconter à la fin de votre prose.
Soit oralement, soit en faisant suivre le mail à leurs meilleur-e-s ami-e-s.
Histoire, idée farfelue, conseil qu’ils n’ont jamais entendu, image drôle, concept inédit…
En ce qui me concerne, je suis un tel consommateur de contenu que je ne lis plus que ce qui vient me réveiller un peu.
D’autant que je lis ces mails le matin au réveil.
Je me suis désabonné de toutes les listes où les marketeurs ne me racontent plus leur vie ou des histoires sympas. Même si certains conseils sont très pertinents, la manière dont ils sont racontés m’ennuie trop vite.
J’ai donc coupé, supprimé, élagué. Je ne suis plus que 4 ou 5 personnes qui écrivent chaque jour et qui me font passer 15 minutes enchanteresse chaque matin.
Et il est très très difficile de trouver des mails d’aussi bonne qualité dans d’autres domaines que le marketing, hélas.
Ce qui tend à démontrer qu’il y a encore beaucoup à faire dans ce domaine.
Dans le développement personnel, il n’y a qu’une seule liste que j’ai conservée car le gars m’écrit une fois par semaine avec des histoires que je n’ai jamais lues.
Et dans la santé, je n’ai gardé qu’un seul mail journalier, car la fille est ultra drôle, pertinente et rebelle.
Pour les autres, j’ai dû stopper. Trop ennuyeux. Trop routinier. Et je n’ai plus assez de temps pour la routine.
C’est pas bien compliqué, en fait…
Si vous êtes dans le développement personnel, dans la santé ou dans quelque autre domaine hors marketing, vous avez vraiment un bon créneau à prendre si vous avez de bonnes histoires à raconter.
Peut-être que vous avez l’impression de saouler les gens si vous leur racontez des trucs tous les jours, mais pourtant, je vous assure que si vous envoyez un mail ou un article journalier à vos suiveurs, dans lequel vous mettez une histoire ou un fait insolite au début, vous pourrez leur parler de ce que vous voulez ensuite, ils auront votre attention.
Il y a peu, j’ai reçu un mail qui avait pour sujet : « J’ai utilisé ma bible pour touiller ma vinaigrette« .
La fille qui m’a envoyé ça raconte comment elle a fait tomber le livre qu’elle était en train de lire (« Ma bible des huiles essentielles ») dans un saladier plein de vinaigrette.
Elle a enchaîné sur les bienfaits de ne faire qu’une seule chose à la fois et de le faire à fond…
On a déjà entendu et lu des centaines de fois qu’on est bien plus efficace quand on ne fait qu’une seule chose à la fois mais qu’on la fait à fond.
L’expérience malheureuse qu’a vécu cette fille pose le problème de façon ultra concrète. Même si c’est un truc qui a pris un quart de seconde à arriver.
Forcément, les gens s’en souviendront. Et nul doute que la prochaine fois que vous ferez 2 choses en même temps vous y repenserez.
Ça ne donne au final rien de réellement innovant à transmettre (le focus sur une seule chose à la fois n’est pas nouveau), mais l’entrée en matière, ma foi, vous aura donné envie de lire la suite.
Il vous restera à savoir écrire quand même.
Pour autant, si vous avez toute une panoplie de portes d’entrée à mettre avant n’importe quel contenu (titre + premier paragraphe), vous vous assurez des taux d’ouverture de mails et d’articles stratosphériques.
Charge à vous ensuite d’écrire des conseils dont les gens se souviendront.
26 mai 2020
C’est l’histoire…
… d’un nain qui a eu 7 enfants… Elle est courte mais bonne. 🙂
Le pouvoir des histoires drôles est incommensurable… On pourrait penser que les meilleures blagues sont connues par tout le monde, et pourtant…
Il s’avère que seuls 10% des gens que vous côtoyez connaissent la blague que vous vous apprêtez à raconter.
Cela devrait vous encourager à en raconter plus. Et à en utiliser plus sur vos pages de ventes ou même dans vos articles.
Une manne illimitée
Grâce à Facebook, en vous abonnant aux bonnes pages, vous en avez des centaines par jour dont vous n’avez jamais entendu parler.
Vous pouvez commencer par mon profil perso sur Facebook… Mais je pense que vous le connaissez déjà. Je n’y partage pratiquement que des trucs drôles. Et comme je les partage, vous pouvez voir les pages dont mes posts sont issus. Abonnez-y vous. Il y a des blagues et des histoires en illimité pour des centaines d’années.
Gardez celles qui vous font le plus rire.
Et mettez-en une de temps en temps dans vos emails ou dans vos articles ou posts :
Pourquoi ? Pour 3 bonnes raisons :
1. Ca attire l’attention
Dès qu’on voit écrit ou qu’on entend « c’est l’histoire de… », nos antennes se dressent et on lit (ou on écoute).
Dans un monde où il faut 2 secondes pour attirer l’attention, l’histoire drôle est une bonne idée.
2. Ca fait rire
Quand on rit, on est toujours dans de meilleures dispositions après.
Donc si vous vendez des trucs, autant mettre votre lecteur dans une position confortable d’entrée.
Ce sera plus simple pour vous de le convertir en acheteur ensuite.?
3. Ça donne une bonne base de départ
Vous cherchiez une idée à aborder sous un angle insolite ?
L’histoire drôle en est une excellente.
Vous pouvez l’utiliser au début comme dans cet article.
Ou au milieu ou à la fin de l’argumentaire en l’introduisant avec une phrase du genre « C’est comme… » ou « Ca me fait penser à …« .
Cela donnera à vos lecteurs une nouvelle connexion et une meilleure occasion de comprendre ce que vous venez de lui expliquer.
Bref… Faites-les rire ! 😀
25 mars 2020
Quelle histoire !
C’était la première histoire.
Dans l’article d’hier, en fait, la première histoire, c’est de moi qu’il s’agit. J’avais changé le prénom, sinon, ça aurait été trop facile. Mais c’est à moi qu’il est arrivé tout ça.
Donc, étant aux premières loges de cette histoire apocalyptique, j’ai évidemment plein de souvenirs d’émotions, de mots et de sensations liées à toute l’aventure.
Reconnaissez qu’on s’y croirait.
Cela dit, la deuxième histoire est vraie aussi. Mais je ne l’ai vécue qu’en spectateur. Le protagoniste de l’histoire aurait raconté ça autrement. Forcément.
Vous comprenez donc, avec cette petite expérience, que la manière que vous avez de raconter votre histoire aura autant d’importance que l’histoire elle-même.
Et pour cela, je vous recommande de suivre les 9 aspects d’une bonne histoire, selon Seth Godin.
En effet, pour ce dernier, une bonne histoire (racontée sur un blog ou une page de vente) est :
1. Vraie
Car on s’identifie plus facilement aux personnages (il leur arrive des trucs plausibles, même si c’est incroyable)
2. Une promesse, une transformation
Les gens aiment bien quand la fin de l’histoire (la chute) propose une transformation. un élément de compréhension qui permet d’aller plus loin.
La bonne promesse d’une histoire, quand elle est bien faite, peut marquer celui ou celle qui la lit à jamais.
3. Fiable et crédible
On repère assez vite les exagérations, les mensonges et les affabulations. Au même titre que votre histoire doit être vraie, elle doit également « FAIRE » vrai.
Virez tout ce qui peut vous faire passer pour un-e mytho. Ou alors fournissez des explications plausibles.
4. Subtile
Une bonne histoire ne met pas forcément les pieds dans le plat tout de suite. Et même à la fin.
Vous pouvez faire passer une idée en la suggérant, plutôt qu’en la nommant expressément.
Quand on met les gens à contribution, ils se souviennent mieux.
Sentir, comprendre, apprendre. C’est dans cet ordre que les choses se retiennent.
5. Rapide
Quand vous racontez une histoire, on veut que ça aille vite. Trop de détails, si cela ne sert pas à éclaircir un propos, ne servent à rien d’autre qu’à faire perdre du temps aux lecteurs.
Une histoire, posée dans un discours ou sur une page de vente, doit aller rapidement au but. Si c’est trop long, les gens s’en vont, car il n’évalueront pas bien combien de temps ça leur prendra.
6. Simple
Ici encore, une bonne histoire qui interpelle est narrée avec un langage compréhensible par un enfant de 8 ans.
A ce titre, au lieu de « narrée » dans la phrase précédente, j’aurais pu dire « racontée« . C’est compréhensible par plus de monde.
7. Émotionnelle
Comme l’histoire que je vous ai racontée hier, qui comportait beaucoup de mots « émotionnels » et de mots « images« , votre histoire à vous doit provoquer une émotion dans la tête de vos lecteurs.
Peur / Surprise / Joie / Tristesse, etc.
Si vos mots provoquent ça, alors les gens auront hâte de découvrir ce que vous avez à dire.
Donc employez un langage émotionnel imagé.
8. Ciblée
Dans un objectif d’écrire une histoire pour « convaincre », alors celle-ci doit s’adresser à des personnes bien ciblées. Surtout si vous voulez que les gens agissent derrière.
Et c’est même l’histoire qui permet de cibler correctement vos lecteurs. Car elle fait office d’exemple. D’expérience.
Et plus vous racontez une histoire qui s’adresse à un public précis et ciblé, plus vos lecteurs s’identifieront à ce que vous racontez, et par mimétisme – ou empathie – les gens vous suivront : « Mais il pense comme moi ce gars là ! »
9. En accord avec vos valeurs
Ici encore, ça coule de source. Plus ce que vous raconterez sera en rapport et en adéquation avec ce qui vous anime vraiment, et plus votre histoire fera mouche.
Vérifiez donc bien que l’histoire que vous allez proposer à vos lecteurs soit en parfaite harmonie avec vos valeurs. Si quelque chose vous dérange à la relecture, enlevez-le, tout simplement.
Conclusion
Si votre histoire respecte ces 9 points, alors la fin de sa lecture, le lecteur dira : « Quelle histoire ! ». Et il aura passé un bon moment. Qu’il agisse ou pas derrière.
Et s’il passe un bon moment une fois, il reviendra vous voir. Au moins une fois.
C’est certain.
18 mars 2020
Ce sera plus profond…
Si vous avez suivi la saga des Harry Potter, de J.K. Rowling, alors vous n’avez pas pu louper le facteur attachant de ce personnage.
Mais surtout, vous aurez remarqué que cette histoire a eu un succès planétaire, que ce soit avec les livres ou avec les films.
Vous êtes-vous demandé pourquoi ?
Je vous propose aujourd’hui un élément de réponse qui vous servira à plus d’un titre tant dans vos pages de vente que dans vos articles de blog.
Le moment clé…
J.K. Rowling a débuté l’écriture d’Harry Potter au milieu de l’année 1990. Elle pioche des idées dans la vie de tous les jours, lorsqu’elle fait des voyages ou lorsqu’elle rencontre des gens.
Le roman a déjà bien avancé, et le 30 décembre de cette même année, sa mère décède.
C’est à partir de ce moment-là que tout bascule, parce qu’elle va surmonter sa douleur en détaillant un maximum les sentiments de son héros orphelin, et ce sera plus facile parce que ça fait écho à sa propre expérience.
Et beaucoup reconnaissent qu’Harry Potter a eu le succès qu’on lui connait grâce à ça.
Son éditrice dit même d’elle :
J’ai tout de suite été frappée par la maîtrise totale qu’avait cette jeune femme inconnue, précise Baker – son éditrice de l’époque. Tous les éléments qui m’attiraient dans un texte : la véracité psychologique, la vivacité des dialogues, l’authenticité des sentiments, l’humour bien-sûr, l’inventivité… tout cela était présent. Un cocktail parfaitement bien mesuré. C’est très très rare pour un premier manuscrit !
Vous pourriez prendre ce succès comme exemple pour vos propres articles.
Un poil d’expérience personnelle
J’en ai déjà parlé à plein de reprises : si vous VIVEZ ce que vous racontez, alors ce sera toujours mieux que de seulement raconter.
Votre imagination peut en effet vous amener très loin, mais ce qu’aiment les gens, VRAIMENT, ce sont les vraies histoires. Celle qui ont un fond de véracité.
Elles sont faciles à identifier : ce sont celles qui permettent le plus à celles et ceux qui les lisent de se « retrouver » dedans.
Par une petite manière qu’a le personnage de réagir dans certaines situations, ou encore avec ses réactions narrées en fonction de ce qui lui arrive.
Si vous racontez une histoire que vous avez vécue, ou pour le moins proche de ce que vous avez vécu, alors vous aurez beaucoup plus de mots et de sensations pour en parler. Et surtout vous emploierez plus de mots « images ».
Je vais vous donner un exemple que vous allez comprendre tout de suite. Voici deux histoires. Dites-moi laquelle fait le plus « vrai » :
Le point de départ d’une nouvelle vie
Le 26 mai 1997, Nicolas est mort. Une belle mort : il s’est éteint à 15h56 après 3 jours d’une douleur incommensurable.
Comment il en est arrivé là ? Il a réussi à appeler le 15, et quand le SAMU a sonné à la porte, il lui a fallu 4 minutes pour se déplacer du lit à l’interphone. Et presque autant pour se redresser pour appuyer sur le bouton. Chaque mètre lui envoyait une décharge dans le dos à la limite du supportable. Il grelottait, avait les lèvres et les ongles violets, et une douleur généralisée, où qu’on appuie sur lui.
Bref… 8 heures après, ça s’est enfin arrêté. Et il est mort.
Et les médecins ont branché tout ce qu’ils ont pu trouver de fils pour le maintenir « artificiellement » jusqu’à ce que ses parents arrivent.
Imaginez qu’on vous annonce que votre fils de 28 ans a été infecté par un streptocoque de classe C. Que toutes ses fonctions vitales se sont éteintes les unes après les autres, et qu’il n’est maintenant plus qu’une carcasse vide de son âme…
Les parents, ça leur en fout un coup. Surtout qu’une fois qu’ils sont arrivés, que le médecin leur a appris la nouvelle, comme par magie… Nicolas s’est réveillé !
Oui ! Il avait perdu 22 kilos en 7 jours, a fait 15 jours de réanimation, et il lui a fallu 15 jours de plus pour pouvoir se remettre debout : il a perdu une vertèbre. Ou plutôt, non ! Deux de ses vertèbres (L4 et L5) se sont soudées. Au final, il est passé de 1m78 à 1m75. Et de 84 kilos à 62. En 1 semaine.
Pendant sa convalescence, son dos le faisant souffrir, l’hôpital a eu la grande idée de lui adjoindre une kiné perso. Pas de bol, la kiné en question n’était pas vraiment douce. A la première manipulation, il a eu une douleur tellement forte, tellement puissante, tellement insupportable, qu’il a hurlé sur la kiné. Celle-ci a cru qu’il devenait fou. Ou dépressif. Donc ils l’ont mis sous Lysanxia 100 mg. Une dose à assommer un bœuf.
Résultat ? Une perte de mémoire à court terme instantanée. Il se levait la journée, et il constatait qu’il avait des vêtements dans son placard qui n’étaient pas à lui.
En fait, c’était ses parents qui lui achetaient des nouveaux vêtements chaque week-end, mais d’un jour à l’autre il ne s’en rappelait plus. Sa mère, après l’avoir engueulé (vexée) a eu la puce à l’oreille. Elle a demandé aux infirmières tout ce qu’ils lui donnaient comme médicaments chaque jour…
22 cachets par repas. Dont la dose d’anti-dépresseur pour assommer un bœuf.
Elle a rué dans les brancards et a fait arrêter tout ça. Au « réveil » de cette expérience, Nicolas ne se rappelait de rien. Pire : un mois entier de sa vie avait disparu : il ne se rappelait plus pourquoi il était là…
C’est suite à tout ça qu’il a décidé de changer totalement de voie et de prendre chaque jour comme un cadeau… Qu’en a t’il fait ? Voyons cela…
2. La montagne fatale
Joseph roule trop vite. Il est 23h50, il a (trop) bu, il s’énerve parce que la voiture de devant n’avance pas assez vite. Donc à la première occasion, il la double… Pas de bol, on est sur une route de Haute Savoie, et là-bas, les routes sont étroites et escarpées.
Il arrive en 205 GTI à 95 km/h dans un virage à angle droit. Trop vite. Il n’a pas le temps de freiner : il s’encastre dans la montagne comme un moustique sur un pare brise. Le cerveau a fait un aller-retour dans la boîte crânienne.
C’est arrivé le 6 juillet 2008.
Il se réveillera le 25. Il ne peut plus parler, n’a plus la sensation de tout son côté gauche. Et il lui faudra plus de 3 mois pour recommencer à marcher normalement.
Juste après son réveil, il lui a fallu quelques semaines pour pouvoir recommencer à parler. Les gens qui le visitaient arrivaient parfois à le faire réagir en lui racontant des trucs drôles… Mais la plupart du temps, c’était silencieux…
Et quand il a retrouvé l’usage partiel de ses membres, il s’est juré de ne plus jamais boire la moindre goutte d’alcool. Trop content qu’on lui ait donné une deuxième chance.
Aujourd’hui, Joseph vit « presque normalement », avec une déficience de marche. Mais il n’a jamais oublié ce moment de juillet 2008. Et d’ailleurs…
Alors…. verdict ?
Laquelle de ces deux histoires fait le plus « vrai » ? L’histoire de Nicolas ou celle de Joseph ?
Je vous laisse relire, je vous donnerai la réponse dans l’article de demain. Mais n’hésitez pas à laisser votre avis en commentaires, histoire de voir si vous avez bien compris l’idée que je voulais véhiculer dans cet article.
17 mars 2020