Ecrivez facilement des textes qui font agir

Catégorie : Les pages de vente Page 1 of 20

Les différentes étapes d’une page de vente

Ce pouvoir méconnu…

On sous-estime le pouvoir du pré-lancement d’un produit non terminé.

Vraiment.

Depuis qu’Internet existe et qu’on a décidé de vendre des produits dessus, il y a tout un tas de stratégies qui ont vu le jour pour tenter de vendre plus.

Le pré-lancement d’un produit non terminé en est une. Et ça divise un peu.

L’idée consiste à vendre un produit encore imparfait.

Les premiers chapitres d’un livre.

Ou les premiers cours d’une formation.

Ou encore les premiers modules d’un logiciel, avec encore quelques bugs à l’intérieur.

La plupart des gens cherche à produire un truc parfait, et à le vendre uniquement lorsque il sera terminé.

Quand on a écrit un livre, et qu’on décide de le vendre via un cursus normal (éditeur, librairie, pub, etc.), il est évident qu’un éditeur n’acceptera qu’un livre fini. Et c’est ce qu’on trouve dans toutes les librairies.

Avec Internet tout cela n’est plus obligatoire.

On peut tout à fait proposer la première version d’un livre, d’une formation ou d’un logiciel à un prix plus bas, et faire évoluer le produit avec les premiers retours des premiers clients.

De cette manière, vous cocréez votre produit avec ses premiers utilisateurs, en leur permettant de vous faire des retours sur ce qu’ils veulent vraiment.

Vous imaginez l’impact d’une telle décision ?

En faisant ça, vous vous assurez d’avoir un produit final de bien meilleure qualité, et avec un potentiel de vente 20 fois supérieur à ce que vous obtiendriez si vous le faisiez à 100% tout.e seul.e.

Je viens – encore – de tenter l’expérience avec un logiciel que j’ai commencer à développer le 1er mai dernier.

Le 10 mai, j’ai proposé ce logiciel à mes meilleurs clients, en leur donnant la possibilité :

  1. d’accéder à ce logiciel avant les 25000 membres de mon club afin qu’ils puissent le tester et l’utiliser en priorité
  2. de bénéficier d’un tarif de pré-lancement à 50% du tarif final
  3. de me faire des retours sur les bugs et les améliorations possibles

Le résultat a été fantastique sur tous les tableaux.

J’ai aujourd’hui 167 clients qui ont participé à ce pré-lancement, et mon logiciel a pu s’enrichir de 4 modules supplémentaires, de nouvelles fonctions et de la correction d’une dizaine de bugs que je n’avais pas vus.

Je suis sûr que la version d’aujourd’hui est meilleure que tout ce que j’aurais pu imaginer moi tout seul.

A vous de jouer !

Êtes-vous en train de créer un produit à vendre le mois prochain, dans 3 mois ou dans un an ?

Pourquoi ne pas prendre une poignée de vos clients existants et leur proposer ce produit pour une fraction de son prix final, même s’il n’est pas encore fini ?

Ca fait lever tout un tas de peurs, je le sais bien.

Syndrome de l’imposteur, illégitimité, sentiment de ne pas être à sa place, qu’on vous traite de charlatan…

On les connait bien ces obstacles quand on est dans le marketing Internet.

Mais on s’en cogne !

Faites le test quand même !!!

Imaginez que vous proposez ça à 200 personnes et que 100 vous l’achètent.

Ca vous motiverait pour le terminer, non ?

Et à l’inverse, imaginez que sur les 200 personnes, seulement 2 achètent…

Cela vous ferait gagner un temps incroyable, non ?

Bref, tentez le coup…

Et dites moi dans quelques jours comment ça a fonctionné…


Il ne pourra en rester qu’un…

C’est toujours très inspirant de passer un moment sur une plage à écouter et à regarder agir les autres personnes.

Et surtout de se rendre compte que chaque individu est totalement unique.

Certains mettent leur serviette face au soleil, d’autres en long face à la plage, quoi qu’il arrive.

Certains viennent avec leur parasol, un fauteuil de camping, une glacière, une tente.

Certains vont se baigner dès qu’ils arrivent, d’autres passent une heure à se chauffer avant…

Certains ne se baignent jamais, ils ne sont là que pour lézarder sur le sable.

Chaque personne est unique et a une manière bien à elle de profiter de la plage.

C’est pareil quand vous faites une page de vente.

Quoi que vous écriviez, quoi que vous disiez, quels que soient les arguments que vous étalez, il n’y aura toujours qu’UNE SEULE personne qui vous lira à un instant T.

Je veux dire : personne ne lira votre page de vente « à deux ».

Par conséquent, vous devriez écrire une page de vente comme si vous aviez UNSE SEULE personne en face de vous.

Le défi, c’est d’avoir la BONNE personne en face de vous.

Parce que si ce n’est pas le cas, alors vous n’aurez pas non plus la bonne manière de lui parler.

Et à ce propos…

Vous savez où aller pour rassembler un maximum d’informations sur LA personne qu’il vous faut ?

 


9 millions d’études

Comme je le disais il y a quelques jours, on vit une époque formidable.

Aujourd’hui, si vous voulez chercher quelques études scientifiques pour alimenter vos argumentaires de pages de vente (ou d’articles), il existe un site qui les regroupe – pratiquement – toutes.

Il s’agit du site PubMed Central.

Là-dessus, vous trouverez toutes les études que vous voulez sur tout.

Par exemple, si vous recherchez des études sur l’impact de la méditation, vous n’avez qu’à marquer « meditation » dans le champ de recherche, et vous en trouverez… 30.014 !

Vous cherchez à démontrer que l’Arnica Montana est l’un des meilleurs remède naturel qui existe contre les hématomes ou autre chose ? Il y a 1814 études complètes qui ont été faites à ce sujet.

Utilisez Chrome, et vous avez tous ces résultats en français.

Et la cerise sur le gâteau, c’est que ChatGPT y a accès aussi.

Vous pouvez donc lui demander d’intégrer toutes les études qu’il trouvera sur le thème de l’article que vous êtes en train d’écrire, et il vous donnera tout. Même le lien !!

Je ne sais pas si vous mesurez bien la chance que vous avez de vivre dans une époque pareille, si vous produisez ou vendez du contenu d’information.

Il y a seulement 2 ans, il vous aurait fallu 3 heures pour trouver 3 études qui augmente la confiance des gens dans ce que vous proposez.

Aujourd’hui, ça prend 14 secondes.

J’aime tellement cette époque !


Y aviez-vous pensé ?

Il y a quelques jours, je vous disais dans cet article à propos des témoignages, que le must du must, pour un témoignage, c’était d’avoir une vidéo, avec une vraie tête qui parle.

Quand je vous dis ça, vous vous dites peut-être que c’est pas gagné, et que vos clients ne maitrisent pas assez la technologie pour vous envoyer une vidéo de témoignage ?

Vous avez sans doute raison.

Par contre, après (grâce à ?) tout le bazar du confinement, la majorité des gens savent se servir de Zoom.

Pourquoi ne pas vous servir de ça pour obtenir des témoignages ?

C’est facile ! Vous organisez un petit webinaire rapide, ou simplement un débrief sur une partie de votre accompagnement, de votre formation ou de n’importe quel produit que vous vendez, et vous invitez vos clients.

Une fois que vous avez fini votre présentation, vous expliquez à vos clients que vous souhaitez recueillir des témoignages sur le produit en question, car « beaucoup préfèrent que ce ne soit pas moi qui parle de mon produit« .

Poursuivez en disant « qui mieux que vous pouvez en parler ? »

Et ensuite, demandez aux client.e.s qui sont là de laisser une impression, un témoignage, un retour sur le produit. Assurez-vous avant – bien sûr – que les personnes qui vont répondre acceptent d’être vue en vidéo sur votre page de vente.

Posez des questions pour les aider à vous donner leurs impressions, au cas où…

Vous pourrez alors, avec un logiciel de montage, extraire les différentes vidéos des participant.e.s qui vous auront laissé un témoignage, et vous les collerez sur votre page de vente.

Astuce : Dans Zoom, choisissez en haut à droit la présentation « Intervenant« . Ca vous permettra d’avoir la personne qui parle en plein écran. Plus facile de sélectionner la vidéo au montage.

Et voilà…

Je vous parle de zoom, mais vous pouvez aussi utiliser les duos Facebook

Plus aucune excuse pour ne pas mettre de témoignages partout…


Ca va vite, mais…

Depuis le 24 mai, vous pouvez installer un plugin (parmi des centaines d’autres) sur ChatPGT pour qu’il aille se connecter à Internet.

Vous pouvez alors lui demander d’aller visiter une page web, et à partir de là, il peut vous écrire 50 annonces FB ou LinkedIn basée sur ce qu’il trouve sur cette page, 25 emails de sensibilisation, et un nombre illimités d’articles de blog…

Vous pouvez même lui demander de vous extraire la structure complète d’une page de vente, en y enlevant tous les éléments à caractère spécifique.

Et à partir de cette structure, vous pouvez lui demander de réécrire une page de vente complète avec votre produit.

Si c’est un produit numérique (formation, ebook), vous pouvez lui donner, et lui se chargera d’en extraire les éléments les plus intéressants à inclure dans votre argumentaire.

Plus on avance, et plus l’IA va nous faire gagner du temps.

Alors qu’avant, il fallait une bonne semaine de recherche avant d’écrire la moindre ligne d’une page de vente, ce temps est passé à 15 minutes.

Et alors qu’il fallait une bonne semaine de plus pour écrire et réviser une page de vente complète, aujourd’hui, il faut 15 minutes.

On vit vraiment une époque formidable.

Par contre, à la fin, c’est VOUS qui devez avoir le dernier mot.

Pour aussi avancée que soit l’IA, et malgré tout ce qu’on peut lui faire faire, le dernier petit morceau qui manque à une lettre de vente fait toute la différence.

Comme le dernier degré qui fait passer l’eau de l’état liquide à l’état gazeux (à 99°, l’eau frémit mais ne bout pas), le dernier « grain de sel » que vous allez mettre sur votre page de vente fera que vous vendrez… ou pas.

Révisez toujours un texte produit par « quelqu’un » d’autre que vous. Que ce soit un rédacteur humain, ou numérique.

A la fin, c’est VOUS qui êtes responsable de ce qui se trouve sur vos sites web.

 


Vous auriez assez confiance ?

Il y a 10 jours, j’ai voulu faire imprimer un livre.

Je l’ai déjà fait 100 fois (je suis éditeur à la base), et je pensais qu’en 2023, les choses seraient bien plus rapides et facile qu’en 2002, date à laquelle j’ai commencé à imprimer mes premiers livres.

Bon… J’ai pas eu de bol, je suis tombé sur l’entreprise d’impression la plus branquignole qui soit.

Je l’ai choisie comment ?

Connement, il faut le dire.

J’ai cliqué sur une annonce Google (la première) de la page sur la requête « Impression livre à la demande France« .

Je suis tombé sur une boite qui s’appelle PixartPrinting. Des allemands, qui impriment en Italie, et qui ont un site en .fr.

Ils ne sont pas trop chers, et les avis sur leur site étaient dithyrambiques pour beaucoup.

J’ai donc dit banco. Je commande, je paye, et je reçois leurs contraintes techniques…

Je ne suis pas un newbee en impression, je l’ai déjà fait plein de fois, je vous l’ai dit.

Mais làààà… Il faut bac+28 en design et en connaissances graphiques.

Il faut posséder des logiciels super chers dont on ne se sert jamais, modifier une à une les pages d’un fichier Word pour que ça colle à leur « gabarit », faire une image de couverture en 4 mètres sur 3 – et qu’on ne peut ensuite importer car c’est trop lourd…

Bref, une usine à gaz comme il en existe peu.

Bon… Je me plie quand même à ces exigences dignes d’une marche militaire… Et j’envoie.

Et c’est là que la valse commence.

Pas le bon gabarit de la couv, pas les bons espaces sur les pages, pas la bonne résolution des images, etc.

Un peu dépité, et après une dizaine de mails échangés, j’appelle le service clients, et lààààà, c’est la symphonie de clôture d’une séance du Cirque Gruss.

Je tombe sur un véritable décérébré qui me gueule dessus parce que je ne comprends rien en design, qui ne m’a pas laissé parler plus de 10 secondes, et qui n’a manifestement pas envie d’arranger les choses.

Obligé de raccrocher et d’annuler la commande…

Bon…

Inutile de vous recommander de ne surtout pas faire affaire avec PixartPrinting si vous avez des livres à imprimer.

Ensuite, comme je vous en parlais il y a quelques jours dans cet article sur les témoignages clients, les « avis », il faut les mettre (et les prendre) AILLEURS que sur le site de l’entreprise.

Quand je suis allé voir les avis de PixartPrinting sur TrustPilot, on était à 1,7/5 avec 290 avis… Et des commentaires qui recoupaient en substance ce que j’avais vécu tant au niveau technique qu’au niveau du service clients. Quel que soit le pays, d’ailleurs.

Marquez « pixartprinting trustpilot » sur Google, vous allez voir.

Ca me fait penser…

Vous avez assez confiance en vos clients pour ouvrir un compte TrustPilot et leur demander d’aller laisser un avis sur vos produits ?


La douloureuse incompréhension des témoignages clients

Ca fait quelques jours que je suis sur le fait de recueillir et d’améliorer ma banque de témoignages.

Oui, bien sûr, avec ChatGPT, on peut créer des centaines de faux témoignages sur un produit en quelques minutes.

Mais évidemment, tout le monde reconnait un faux témoignage.

Déjà, c’est instinctif, parce que ce n’est pas facile de feindre l’émotion et le ressenti humains. Et ça, les gens le voient très vite.

Ensuite, la plupart des vendeurs sur Internet n’ont pas compris le principe du témoignage. A quoi il sert vraiment en fait.

Alors vous trouvez des trucs du genre : « je peux te dire que tu es le seul formateur efficace et honnête que j’ai rencontré« .

Ou encore : « J’ai beaucoup apprécié votre formation et je suis ravi de pouvoir la revoir à un autre moment »

Ou encore : « Super ce ebook, j’ai appris plein de choses que je ne savais pas. »

Note : tous ces témoignages sont visibles en ligne sur divers produits en vente. Et je n’en ai mis qu’un centième de ce qui existe.

Tout ça pour dire quoi ?

Primo, ne mettez jamais de faux témoignages sur votre page de vente. Ca peut aller jusqu’à 300.000 euros d’amende.

Ou alors, assurez-vous que ces faux témoignages vous rapportent plus que cette amende (humour).

Secundo, retenez qu’un témoignage, ça sert à RAJOUTER un peu d’envie et de confiance dans le RESULTAT que vous proposez.

Les lecteurs, quand ils voient que vous souhaitez leur vendre un truc, ils se demandent :

  • Si ça va fonctionner pour eux,
  • Si vous êtes quelqu’un de confiance,
  • Quels résultats ça va produire pour eux,
  • Comment vont-ils être APRES avoir utilisé votre solution.

Un témoignage doit venir répondre à ce questionnement.

Et tertio, les témoignages ont besoin d’un truc ABSOLUMENT obligatoire pour être efficace : une preuve qu’ils sont vrais.

Donc, le mieux (LE MIEUX !) c’est une vidéo. Avec une vraie tête qui parle.

Et si le témoignage est écrit, alors il faut un lien vers un endroit AILLEURS que sur votre page :

  • Un commentaire Facebook (même sur une page privée),
  • une photo Instagram,
  • un post Twitter,
  • un site tiers (genre TrustPilot, Avis Google, Amazon, etc.).

Où vous voulez, mais ailleurs que chez vous.

Et si rien de tout ça n’est possible, alors assurez-vous d’avoir l’original du mail ou du commentaire reçu, avec l’heure et la date de réception.

Au pire, faites-en une capture d’écran, et rajoutez-la dans votre page de vente.

Dans un prochain article, je vous donnerai les quelques questions à poser à vos clients pour obtenir des témoignages aux petits oignons.

 


Aujourd’hui, 7 questions :

Aujourd’hui, pas vraiment d’article.

Juste quelques questions, histoire de vous faire réfléchir un peu ce week-end :

  • Si vous vendez votre propre produit, êtes-vous bien sûr qu’il s’agit d’un produit dont vos clients ont VRAIMENT besoin ? Vous êtes sûr ? Vous le leur avez demandé ?
  • N’y a-t-il pas un autre produit qu’ils voudraient encore plus ?
  • Connaissez vous les mots exacts qu’emploient vos clients quand ils parlent du problème que vous voulez résoudre avec votre produit ?
  • Savez-vous quel est LE plus gros problème de vos clients ? Leur avez-vous demandé ?

Répondre honnêtement à ces quelques questions vous permettra de savoir si vous êtes dans le droit chemin avec votre produit ou s’il ne faudrait pas passer un peu de temps à améliorer tout ça.

Quitte à demander aux personnes concernées, pourquoi pas…


Petit calcul…

La plupart de vos visiteurs disposent d’un moyen de paiement incontournable pour le paiement en ligne.

Un numéro de carte de crédit qu’ils ont mémorisé, un compte Paypal sécurisé, lié à leur compte bancaire, qu’ils peuvent utiliser pour payer en quelques secondes.

Et puis il y en a d’autres qui ne veulent pas laisser leur numéro de CB sur le net. Peur de la fraude, de se tromper, de se faire arnaquer…

Ceux-là ne payent que par chèque ou par virement.

Personnellement, quand je n’ai pas la possibilité de payer quoi que ce soit avec Paypal, j’abandonne l’achat 8 fois sur 10.

Je suis loin d’être le seul.

15% des utilisateurs abandonneront leur action d’achat si l’option de paiement qu’ils préfèrent n’est pas disponible.

Ca peut sembler peu, au premier abord, mais faisons un petit calcul.

Prenez votre chiffre d’affaires de l’année dernière. Toutes ventes confondues.

Multipliez ce nombre par 0,15.

Vous trouverez une somme.

C’est ce que vous avez laissé filer chez les concurrents qui eux ont tous les moyens de paiement préférés de vos clients.

Il y a plein de trucs à faire pour endiguer ça…


Y’a pas que ça…

Si vous avez suivi à la lettre ce qu’on vous a dit dans votre formation en copywriting, alors vous savez que l’accroche est la partie la plus importante d’une page de vente.

Que si votre accroche est ratée, alors tout ce que vous avez mis derrière ne sert à rien.

C’est vrai, mais j’espère que vous ne vous êtes par arrêté à ça…

Parce qu’à ce compte, là, il n’y a pas QUE l’accroche qui est importante.

Tiens, faisons un test.

Soyez honnête et répondez à ces quelques questions :

  • Est-ce que votre premier paragraphe est assez captivant ?
  • Est-ce qu’il donne envie d’aller plus loin (en gros est-ce qu’il qualifie bien votre lecteur) ?
  • Est-ce que votre promesse n’est pas trop exagérée ?
  • Est-ce qu’elle s’appuie vraiment sur les vraies attentes de vos prospects ?
  • Est-ce que votre offre est bien adaptée à votre cible ?
  • Est-ce que vous donnez assez de bonus ?
  • Avez-vous testé plusieurs prix ?
  • Est-ce que vous mettez assez de preuves de ce que vous avancez ?
  • Des chiffres, des témoignages, de vraies études vérifiables ?

Si vous n’avez pas passé en revue tous ces éléments pour votre page de vente, même si vous avez passé la moitié de l’année dernière à tester vos accroches jusqu’à trouver celle qui vous a offert le plus fort rendement, vous perdez de l’argent et des ventes.

Chacun des 9 mots mis en gras dans les questions ci-dessus constitue un point majeur dans le succès de votre page de vente.

Ils doivent donc être constamment testés et améliorés.

Passer des heures à peaufiner une accroche et ne rien tenter d’améliorer en-dessous, c’est comme dépenser 5000 € dans une porte blindée et la mettre à l’entrée des toilettes : ça sert pas à grand chose…


Page 1 of 20

Cultivez l'amour du copywriting avec Yvon CAVELIER