Ecrivez facilement des textes qui font agir

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Tout ce qui touche au copywriting comportemental

C’est VOUS en premier

Quand j’anime une conférence sur le copywriting, je commence toujours de la même façon :

Je prends l’assistance en photo avec mon téléphone, et j’affiche la photo sur un grand écran.

Je la laisse comme ça pendant 30 secondes, sans rien dire.

Ensuite j’éteins l’écran et je pose toujours la même question :

« Sur la photo que j’ai affichée, quelle est la personne que vous avez cherchée et vue en premier ? »

La seule et unique réponse que je reçois à chaque fois, c’est : « Je me suis cherché moi…« .

Logique non ?

Ce qui intéresse en tout premier une personne, c’est elle-même.

Quelle que soit la culture, le pays, la situation, l’âge, le sexe ou la profession, la première chose qui préoccupe les gens, c’est eux-mêmes.

Gardez ça en tête, et répondez à cette simple question :

Si 100% des gens qui arrivent sur votre site web sont préoccupés D’ABORD par eux-mêmes, pourquoi est-ce que la première chose que vous leurs montrez est :

  • soit le nom de votre entreprise,
  • soit votre nom,
  • ou soit votre logo ?

Et si vous leur mettiez, AVANT TOUT LE RESTE, une phrase qui les intéresse EUX ?


Copywriting comportemental : Le secret des textes qui fascinent vos lecteurs

Le 26 mai 1999 à 11:38 du matin, j’ai vu quelque chose qui m’a profondément bouleversé.

Un truc que je n’avais jamais vu avant, mais qui a provoqué chez moi une sorte de choc émotionnel, dont je me rappelle chaque détail avec une précision d’horloger 12 ans plus tard.

Il s’agit de ma rencontre avec la Tour de Pise.

tour-de-pise

Oui. C’est bien elle.

Ceux qui ont déjà vu la Tour de Pise en vrai savent de quoi je parle.

Les autres (vous peut-être) vous vous dites que je suis un peu émotif – ou complètement cinglé.

Et pourtant.

Si un jour vous vous rendez à Pise, et que vous découvrez comme moi cette tour devant vos yeux, alors je sais d’avance ce que vous allez faire.

Comment je peux le savoir ?

Facile :

Une expérience fascinante

Quand j’ai vu ça pour la première fois, il m’a bien fallu 10 minutes pour m’en remettre. Et puis ensuite, je me suis posé à la sortie du parking des bus, c’est à dire à l’endroit où les gens découvrent pour la première fois la tour.

Et j’ai regardé les visages des gens. Les 10 premières secondes.

C’est ahurissant. Ils ont TOUS fait pareil :

Yeux écarquillés. Bouche ouverte. Temps d’arrêt.

Et toujours le même mouvement : Une sorte de tassement des épaules. Comme s’ils s’attendaient à ce qu’elle s’écroule devant eux. Comme s’ils allaient la prendre sur la tête.

Parce qu’il faut être devant pour comprendre toute la particularité de ce monument.

Tout ce qu’on vous a appris, tout ce que vous connaissez sur les maisons et les monuments en général volent en éclat quand vous vous retrouvez face à face avec ce truc.

Un immeuble énorme. Qui vous parait monstrueux. Et il est penché.

Mais penché d’une telle manière, que la première chose que vous voulez faire, c’est… vous barrer. En courant. Parce que lorsqu’on est à moins de 10 mètres de la Tour de Pise, alors, on a VRAIMENT l’impression qu’elle va s’écrouler.

D’autant qu’à l’époque où je l’ai vue, aucun échafaudage ne la retenait.

Bref, ça fait peur.

Alors vous baissez les épaules. Et votre regard se fait interrogateur. Craintif, même.

J’ai beaucoup voyagé. Mais ce que j’ai vu ce jour là, je ne l’ai ressenti qu’une seule autre fois. Quand j’ai vu le…

Non. Je vous en parlerai plus tard.

Venons-en plutôt au rapport avec le copywriting comportemental.

Le pouvoir incommensurable des émotions

Quand on écrit une page de vente, ou même un article de blog, l’objectif est de marquer les gens qui vous lisent. D’éveiller leur intérêt.

Je vous ai déjà parlé des histoires à raconter, pour ça.

Mais il y a histoire et histoire.

  • Il y a l’histoire qu’on a lue et qu’on retransmet. Avec nos mots.
  • Il y a aussi l’histoire qu’on invente.
  • Et il y a l’histoire qu’on a VRAIMENT vécue.

C’est de loin cette dernière qui sera retransmise avec le plus de passion. Et le plus d’enthousiasme. Parce que le sceau de l’expérience est plus fort que tout ce que l’on peut seulement imaginer.

Les émotions que l’on a ressenties en vivant vraiment l’histoire qu’on relate, vous donnent un enthousiasme et une crédibilité dans votre façon de vous exprimer par écrit qu’aucune histoire inventée ou même lue ne vous donnera jamais.

Je ne sais pas si vous avez vu ce film fantastique qui s’appelle “Slumdog Millionnaire”, où ce petit indien des bidonvilles gagne 10 millions de roupies à un jeu du genre de “Qui veut gagner des millions”, parce que chaque question le renvoie à une expérience qu’il a vraiment vécue tout au long de sa vie.

Il connait donc chaque réponse avec précision, car les émotions qu’ont créé ces expériences étaient si fortes qu’il s’en souviendra toute sa vie.

C’est exactement la même chose qui se passe quand vous relatez une histoire qui vous est réellement arrivée à vous : Vous parlez avec votre cœur. Et vous êtes ainsi beaucoup plus convainquant.

A vous de jouer !

Si vous écrivez une page de vente, ou un article, et que vous manquez d’inspiration, alors allez piocher dans les histoires vécues.

Les vôtres en priorité.

Pour les raisons qu’on vient de voir.

Et si possible, multipliez vos expériences. Observez les gens. Et voyagez, si vous le pouvez.

Pas parce que c’est une fin en soi (le fameux mythe du blogueur voyageur).

Mais parce que ce que l’on ressent quand on est réellement DEVANT les choses vous permet d’être plus intéressant quand vous racontez vos histoires.

Bon, OK, vous ne pouvez peut-être pas voyager tout de suite à des milliers de kilomètres de chez vous.

Mais de temps en temps, accordez-vous quand même quelques jours pour partir loin de chez vous. Même pendant 2 ou 3 jours. Même pendant le temps d’un week-end.

Ca vous permettra d’avoir plus de choses à raconter. Vous rencontrerez des gens que vous n’avez pas l’habitude de voir. Ils vous parleront d’endroits sympas que vous pourrez aller voir à votre tour. Et votre stock d’histoires vécues s’agrandira.

En résumé, ce n’est pas parce que vous faites un travail sédentaire, assis derrière un ordinateur, que vous ne devez pas vous aérer fréquemment les neurones.

C’est primordial pour rester intéressant dans ce que vous racontez.

Et c’est également primordial pour mettre un peu plus d’émotions dans vos textes.

Les meilleures pages de vente, celles qui font vraiment un carton grâce au copywriting, raconte une véritable histoire vécue, soit par l’auteur lui-même, soit par une personne qui l’a racontée de manière très enthousiaste à l’auteur.

C’est imparable. Les émotions sont plus fortes quand c’est personnel.

Donc racontez VOS histoires, ou faites vous raconter des histoires vécues par des vraies personnes.

Et retranscrivez fidèlement. Vous verrez…


Copywriting : le principe de réciprocité dans la rue

En train de marcher tranquillement dans la rue à Florence (Italie), on se fait soudain « aborder » par un vendeur à la tire…

Enfin…

On ne l’a su qu’à la fin, parce que l’animal nous a fait un tour de passe-passe comme je n’en avais vu depuis longtemps.

Une belle application du principe de réciprocité

On marchait donc dans la rue, et on double un gars avec un sac à dos. Il nous entend parler français, et il se retourne vers nous et nous dit : « Français ? ». On répond oui, forcément.

Il nous dit alors qu’il a déjà séjourné en France, qu’il a plein de famille là bas (dont sa sœur), que la France lui manque, tout ça tout ça, et à un moment, il nous dit :

« Je suis content de voir des frères et sœurs français, alors tenez… « 

Il nous prend à chacun le poignet, et nous passe un bracelet. Puis il nous dit : « Cadeau ! ».

On commence à sentir le piège se refermer sur nos menottes.

Et là, il nous sort son portable et nous montre la photo de sa soi-disant petite nièce qui est née hier. Et il nous dit alors : « Vous auriez un petit quelque chose pour que j’offre un cadeau à ma soeur ? »…

Etc.

Vous avez compris le truc, qui est arrivé gros comme une maison.

On a fini par lui donner 5 euros, et il est parti tout content. On l’a recroisé une heure après, alors qu’il faisait la même sérénade à d’autres touristes. Anglais cette fois.

On peut reconnaître que le gars fait des efforts pour gagner sa vie. Et qu’il le fait de manière insolite, ce qui justifie en ce qui me concerne largement la somme dérisoire qu’on lui a donnée.

Au lieu de vous vendre des bracelets de front, il vous les « donne » en cadeau et vous vend un autre truc plus « émotionnel ».

Il force en quelque sorte le principe de réciprocité.

Le principe de réciprocité sur Internet

Sans être aussi bourrin, on pourrait largement reprendre ce principe quand on a un business sur Internet.

C’est d’ailleurs ce que l’on fait « presque » quand on fait entrer des gens dans un tunnel de vente : on leur donne de la valeur (un bracelet), et on essaye ensuite de vendre quelque chose en rapport avec ce qu’on a donné (collier, bague, boucles d’oreilles).

On propose d’aller « plus loin » que ce qu’on a donné, en quelque sorte.

Ca, c’est ce qu’on fait tous.

Notre vendeur malin n’a pas fait ça du tout.

Déjà il nous a forcé à accepter son bracelet, et il nous a vendu un truc pas du tout en rapport.

Comment pourrait-on prendre exemple sur ça et faire évoluer un tantinet notre stratégie pour vendre plus ?

Hé bien on pourrait « forcer » les gens à adhérer à notre liste email en leur faisant croire que l’idée vient d’eux.

Par exemple en écrivant un article de telle manière que le lecteur reste sur sa faim à la fin. Vous délivrez une information ultra importante, ou une histoire haletante,  et vous arrêtez votre article en plein milieu.

Un formulaire d’inscription étant généralement en permanence exposé sur chacune des pages de votre blog, vous pourriez mettre une phrase du genre : « La fin des histoires racontées sur ce blog sont réservées à nos membres. Inscrivez-vous ici : » juste avant le formulaire.

Il ne serait pas lié directement à l’histoire que vous avez lue, mais à TOUTES CELLES que vous avez commencées mais pas finies.

A la fin de l’article, vous ne dites rien du tout. Vous le coupez en plein milieu, et c’est tout.

Une fois inscrits, vous dirigez les gens vers l’histoire complète pour combler leur frustration.

Et ce sont EUX qui ont décidé de s’inscrire pour assouvir un manque que vous avez créé.

Allons plus loin…

Et il y a une deuxième manière plus « filoute » d’aborder le truc.

Vous ne mettez pas de formulaire.

Vous laissez les gens vous contacter par mail ou par téléphone pour savoir la fin de l’histoire. Vous les renverrez alors vers un formulaire où ils pourront s’inscrire.

C’est une stratégie très payante si :

  1. Vous écrivez des histoires spécifiques qui règlent un problème énorme chez vos prospects
  2. Le tarif de votre prestation est très élevé

De cette manière, seuls les clients potentiels les plus motivés vous contacteront directement par mail ou par téléphone.

Et vous pourrez alors leur vendre un truc cher qui n’aura rien à voir avec le cadeau que vous leur aurez donné.

Et voilà le travail !


Visez le système, pas la personne…

Quand on écrit une page de vente, il y a une partie qui s’appelle « La fausse solution« .

Vous connaissez le principe ?

L’idée derrière cette partie, c’est de faire prendre conscience aux lecteurs qu’il y a des trucs qui existent mais qui ne fonctionnent pas.

Quand c’est bien fait, c’est une partie qui « rassure » le lecteur.

En effet, s’il a essayé l’un des trucs dont vous parlez et que ça n’a pas fonctionné, ou alors que ça a été trop compliqué à mettre en œuvre, alors il comprend grâce à ce que vous dites que c’était une fausse bonne idée.

Je suis abonné à des listes où les gars qui m’écrivent ne peuvent pas s’empêcher un mail sur deux de traiter ce sujet pour tenter de prouver que ce qu’il font est meilleur que tous les autres.

Ils remettent en cause les principes qu’on apprend depuis des lustres et qui fonctionnent, et tentent de prouver que ça ne fonctionne pas.

Je ne sais pas ce que vous vendez, mais ne faites pas ça.

Cracher sur ses collègues, en les insultant, même – oui certains les traitent de tous les noms d’oiseaux qu’ils trouvent – ça n’a jamais donné envie à qui que ce soit d’agir. Ca montre juste que la personne qui insulte n’a pas trop confiance en elle, ou qu’elle ne croit pas à ce qu’elle vend.

Il faut garder les « fausses solutions » pour les pages de vente, et argumenter avec bienveillance sur ce qu’on fait, sans démonter les concurrents.

L’idée est de se concentrer sur la technique. Pas sur celui qui la prône.

Je peux vous expliquer de 10 manières différentes pourquoi il est plus rentable de prendre l’email d’une personne contre un truc gratuit plutôt que de chercher à lui vendre un truc directement.

Mais je connais des collègues qui vous expliqueront qu’il est bien mieux de vendre tout de suite à quelqu’un afin de ne pas s’emmerder avec de simples curieux… Et qui ont un tas de chiffres tout à fait cohérents à l’appui.

Pour vous dire que la vérité absolue n’existe pas.

Il y a des systèmes, des gens qui les utilisent et des adéquations avec la personnalité de chacun.

Si vous avez une bonne culture littéraire et de la facilité à écrire, ce sera un jeu d’enfant pour vous d’écrire un mail par jour.

Si vous êtes extraverti et pas le moins du monde timide, la vidéo journalière sera votre tasse de thé.

Et sûrement que vous pourrez être rentable avec ça.

Mais si vous n’aimez pas écrire ou n’avez pas envie de gesticuler devant une caméra, nul besoin de vous forcer : tentez autre chose.

Vous voyez : chaque système convient à chaque type de personne.

Et si vous argumentez sur une fausse solution, il est facile de décrire comment on se sent – par exemple – quand on est devant une caméra et qu’on doit lire un script tout fait alors qu’on est timide ou réservé.

Argumentez sur le système, pas sur les personnes.


On se connait ?

Imaginez…

Vous vous promenez dans la rue, tranquille, et soudain, me voici qui arrive en face de vous.

Pour je ne sais quelle raison, je décide de vous arrêter, vous dis que je vous trouve génial, et que j’aimerais bien être votre ami.

Bon… On vit une époque moderne, vous êtes un peu dérangé dans ce que vous faisiez, mais soit… Vous acceptez.

Maintenant que nous sommes amis, on peut discuter un peu… Or, vous n’avez pas le temps… Vous avez du boulot ou un rendez-vous ou plein d’autres trucs à faire…

Une des situations « classiques » et logique qui pourrait suivre après ça serait la suivante :

Je poursuis mon chemin et vous aussi. A la rigueur on pourra discuter plus tard… On prendra rendez-vous, on papotera un peu, je vous demanderai ce que vous faites, vous en ferez autant, on pourra aller boire un coup, et petit à petit on va construire une relation…

Une certaine forme de cauchemar…

Maintenant, imaginez…

Au lieu de ça, à peine aviez-vous accepté que nous soyons amis que je vous demande de me donner un rein. Parce que j’en ai besoin, vous voyez.

Puis juste après, j’essaye de vous vendre une formation pour aller mieux, et je vous recommande fortement ensuite de vous inscrire dans un groupe de soutien pour les gens qui n’ont plus qu’un rein… Tout ça dans les 3 minutes qui ont suivi notre rencontre.

Franchement… Vous diriez oui ?

Bon… Vous avez compris le ridicule de la situation, et vous vous dites que jamais ô grand jamais vous ne feriez une telle ineptie !

Et pourtant…

Assez proche de la réalité

Vous seriez surpris du nombre de personnes qui font la même chose sur Facebook. Et même en dehors.

Depuis quelques mois, il ne se passe pas une seule journée sans que je n’ai une demande d’ami qui se solde dans l’heure qui suit par une demande de liker une page pour la flatulente raison : « je pense que ça pourrait fortement vous intéresser« .

Quand ce n’est pas directement pour chercher à me vendre un truc.

Le pire, ce sont les gens qui font dans le trading, le MLM et l’immobilier… A croire que cette stratégie de psychopathe figure dans toutes les formations qu’ils suivent !

Autant accepter tout de suite que ce n’est pas DU TOUT une bonne idée…

Si vous faites ça, arrêtez de le faire tout de suite.

Aujourd’hui, à l’ère des réseaux sociaux, où le mot « ami » a grandement tendance à fusionner avec le mot « simple contact avec une personne que j’ai jamais vu de ma vie, que je ne verrai sûrement jamais en vrai et dont je n’ai rien à foutre », la moindre des choses serait de commencer par discuter un peu si vous souhaitez aller plus avant.

S’intéresser à ce qu’il fait, trouver des valeurs ou des points communs, et tranquillement bâtir une relation d’échange dans le respect des codes de la communication de base (ce que font deux gamins dans la cour d’école, quoi…).

C’est uniquement à ce prix qu’ensuite, les gens vont s’abonner à vos pages, à vos groupes, votre page Instagram, votre blog, et pourquoi pas à vos formations par la suite…

Pour les pages de vente, c’est pareil…

La bonne pratique

Quand on ne vous connait pas, on ne peut pas vendre tout de suite comme un gros bourrin, sans avoir un minimum créé un lien avec la personne qui vous découvre.

Et ce n’est pas parce que la personne en question vous a donné son email que ça change quoi que ce soit : elle ne vous connait pas plus qu’avant !

Dans l’idéal, il faut lui laisser le temps de vous découvrir. Lui envoyer quelques mails pour l’informer de ce que vous faites pour les autres, lui laisser l’opportunité de comprendre ce que vous pouvez faire pour elle, et seulement ensuite lui faire une offre.

C’est à ce prix que les ventes décollent.

Plus besoin de témoignages…

Il y a peu de temps, quelqu’un s’étonnait de ne pas voir de témoignages de clients satisfaits sur la plupart de mes pages de vente.

La raison est que je n’en ai pas besoin. Je suis dans le domaine du copywriting depuis plus de 20 ans. J’ai créé ce blog en février 2011 et depuis le début j’ai écrit des centaines d’articles sur la question. J’ai participé à des centaines de groupes et de forums pour aider les autres en marketing et en copywriting.

Les gens me connaissent et savent ce que je fais pour les aider. J’ai des centaines de retours en privé où on me dit qu’on suit mon blog depuis des années et que pour certain ça a changé leur approche du marketing.

Alors pourquoi ne pas mettre tous ces témoignages en évidence ? Aucun besoin. Parce que lorsque les gens arrivent sur une de mes pages de vente, ils savent très bien à qui ils ont affaire.

Il suffit d’aller marquer mon nom dans Google pour savoir où je suis passé… Il suffit de parcourir ce blog pendant une petite heure pour comprendre que je suis un spécialiste dans le domaine.

En résumé, j’ai su créer un lien avec mes lecteurs, et c’est pour cela qu’aujourd’hui, tout est bien plus facile pour moi.

Le chemin à suivre

Lorsqu’on débute, il faut bien comprendre que rien n’est véritablement acquis.

Bien sûr, il existe des formats de vidéo qui permettent de créer un lien fort en 30 minutes à une heure, sur la base de la sincérité et de l’authenticité, avec des mots et des manières de s’exprimer qui permettent de créer l’empathie assez vite. C’est compliqué, mais ça existe.

Si vous maîtrisez ça, alors peut-être que la création de lien à long terme devient secondaire. Encore que ce n’est jamais inutile de le faire.

Mais pour 99% des gens que je vois essayer de vendre quelque chose sur Internet (une formation, un coaching, un ebook ou quoi que ce soit d’autre), ils arrivent beaucoup trop vite à vouloir que l’autre lui donne un rein…

Je ne sais pas ce que vous faites vous, mais même si certaines formations vous EXHORTE à vendre tout de suite, je vous conseille moi de créer une bonne relation avec les gens qui vous découvrent avant d’essayer de leur vendre un truc.

Ca passe par des articles sur un blog, de l’aide proposée sur les groupes spécialisés, une page Facebook – ou sur n’importe quel autre réseau – où on peut vite voir si vous savez de quoi vous parlez.

La dernière fois que j’expliquais ça sur un post dans un groupe Facebook, une personne m’a dit : « Oui mais par exemple, A. a réussi à vendre 3500 produit à 7 euros via une pub FB à de parfaits inconnus… Donc on peut vendre sans lien« .

Le A. en question est sur Internet depuis 20 ans.

Il a publié plus de 1000 vidéos sur sa chaîne Youtube et plus de 1500 articles sur ses différents blogs. Quand vous le découvrez (via Facebook ou ailleurs), il vous suffit d’aller sur Google ou de parcourir l’une de ses pages Facebook pour comprendre que le gars sait de quoi il parle, et pour savoir qui c’est, juste en regardant l’une de ses 1000 vidéos.

Il n’y a pas de hasard !

Bref, prenez le truc dans le sens que vous voulez.

On vous a peut-être dit qu’on pouvait devenir riche sur Internet aujourd’hui en un seul mois

Je dis OK.

Mais il va falloir que vous vous agitiez tellement fort pour que les gens entendent parler de vous, que vous montriez tellement d’exemples et de témoignages de personnes qui vous connaissent et qui savent de quoi vous êtes capable, et pour faire tout ça il va vous falloir un sacré paquet d’argent pour qu’on vous voit.

La meilleure solution : prenez un peu de temps.

Prenez le temps de créer un lien fort avec votre audience. Offrez leur beaucoup de valeur. Beaucoup de conseils à consommer tout de suite. Des conseils qui permettent de régler leurs problèmes dans la journée. Afin qu’ils voient qu’ils n’ont pas affaire à un charlatan.

Et une fois que vous avez réussi ça, vous allez voir comme c’est facile de vendre vos produits derrière.

Et si les gens vous connaissent déjà…

Et d’ailleurs, à ce propos, si vous avez déjà créé un produit dans le développement personnel, que vous avez déjà une audience qui sait de quoi vous êtes capable, et que vous avez du mal à faire une page de vente qui vend, sachez que j’ai créé un modèle de page de vente qui vous permet de faire comprendre à vos suiveurs qu’ils ont besoin de votre produit. Sans passer pour un marchand de tapis.

Il y a quelques pré-requis bien sûr. Je vous en parle ici en vidéo.

 


Optimiser un live Facebook à l’aide du copywriting

Aujourd’hui, je veux vous montrer qu’encore une fois, le copywriting peut venir à votre secours si vous avez du mal à faire venir du monde sur vos lives Facebook.

En effet, à l’ère des réseaux sociaux le « Live » ou « la vidéo filmée en direct » est un outil marketing à part entière. Car il peut grandement faciliter la vente de vos produits, la participation à vos événements, ou même les prises de rendez-vous.

Et comme tout outil marketing, il peut être optimisé grâce à quelques conseils de copywriting bien appliqués.

On en parle de partout, de ces fameux directs… ça n’a pas pu vous échapper. Et vous avez certainement déjà vu des collègues l’utiliser fréquemment.

Ce qu’on vous dit peu, c’est qu’un live Facebook, si on veut que ce soit efficace, ça se prépare.

Je vous propose donc un petit plan de préparation façon copywriter en 8 étapes pour réussir vos lives Facebook.

Aujourd’hui, nous voyons les 4 premières :

Etape 1 : Définir l’objectif final du live

Ça peut sembler être une évidence, pour autant, le plus gros piège dans lequel vous pourriez tomber serait de ne pas définir UN et UN SEUL objectif.

Je ne peux pas savoir ce que vous vendez, mais il y a fort à parier que vous ayez plusieurs « produits » à proposer. Et quand c’est le cas, on est souvent tenté de diriger les gens vers plusieurs offres.

Alors qu’il n’en faut qu’une seule.

Donc, la toute première étape à la préparation de votre live va être de choisir le produit ou le service que vous voulez proposer. A moins que vous ne souhaitiez inscrire tout simplement les gens sur une page de capture.

Quoi que vous choisissiez, tout votre live devra tendre vers cette action unique.

Ne croyez pas que c’est un truc anodin.

Si vous concentrez toute votre énergie sur un seul but, comme partout, vous aurez bien plus de chances de l’atteindre. C’est pareil et essentiel pour un live FB.

Pour l’exemple, je vais choisir ici le livre-formation que je propose aux blogueurs en mal d’idées : « La Bible du Blogueur Rédacteur« .

Etape 2 :  Définir un nom et un thème pour votre live

Une fois que vous savez quoi proposer, vous allez devoir trouver un thème pour votre live. Thème évidemment en rapport avec votre produit.

Par exemple, pour le produit que je décide de proposer ici, c’est à dire une formation en ligne pour apprendre à écrire autant d’articles que vous en avez besoin sans forcer, vous pourriez proposer un thème de live qui pourrait s’appeler : « Les 5 types d’articles que les gens préfèrent lire« .

Cela vous permettra de prévoir clairement votre contenu, et de communiquer sur un thème plus « pratique » qu’un simple nom de livre ou de formation.

Ça peut aussi vous permettre d’aborder le thème de votre formation ou de votre livre sous un nouvel angle plus opérationnel.

Par exemple, pour ma Bible du Blogueur Rédacteur, j’ai plein de thèmes que je pourrais traiter sur un même sujet, mais avec des enjeux différents.

Exemple :

  • Les 3 meilleurs types d’articles pour vendre quelque chose à vos lecteurs
  • Les 9+1 astuces pour écrire des articles magnétiques
  • Comment écrire un article publicitaire en 4 étapes faciles
  • 18 formules magiques pour finir vos articles afin de faire agir vos lecteurs
  • 5 types d’articles à écrire en moins de 10 minutes

Vous voyez, chacun de ces thèmes apportent de la qualité et de la valeur à vos suiveurs, et donnent envie d’en savoir plus.

C’est la meilleure façon de fédérer les gens pour les encourager à venir vous voir en live pour interagir avec vous.

Etape 3 : Prévoir une date, une heure et une durée stratégiques

Concernant la date

Cette étape-là devrait également être réfléchie. Beaucoup décident sur un coup de tête de faire un live en soirée et ils l’annoncent le matin… « Ce soir, live à 18h30« …

Le problème, c’est que très peu de gens viendront si vous faites comme ça. Et vous n’aurez donc que ceux qui « passaient par là » quand vous avez communiqué.

Donc, partez du principe qu’il est fortement inutile de prévoir un live pour la fin de journée ou même pour le lendemain. Sauf évidemment si vous avez décidé de raconter votre vie, ou de faire un petit coucou de votre lieu de vacances…

Pour les lives qui doivent provoquer une action, il faut prévoir ça idéalement une semaine à l’avance.

Ou à la rigueur 5 jours avant (genre le lundi pour le vendredi). Car vous allez avoir tout un travail de sensibilisation et de présentation à faire.

Vous pouvez aussi réfléchir au fait de le faire le week-end. Là, pour le coup, presque tout le monde est libre à n’importe quelle heure.

Surtout s’il pleut, évidemment.

Concernant l’heure

Ensuite, concernant l’heure à choisir, c’est évidemment fonction des gens qui vous suivent. Si vous avez une majorité de mères ou de pères de famille, n’espérez pas avoir leur attention avant 21h00.

Il y a malgré tout des constantes qui reviennent dans toutes les activités.

On peut par exemple globalement partir du principe qu’à 18h30, la majorité des gens sont chez eux et disponibles au moins jusqu’à 19h30. Vous pouvez donc annoncer cette heure-là sans trop de risque de vous planter.

Quoi qu’il en soit, regardez bien vos statistiques de connexion sur Facebook. Elles sont accessibles en cliquant sur « Statistiques » à partir de l’onglet « Paramètres » de votre page Facebook, puis sur « Publications« , puis sur l’onglet « Quand vos fans sont en ligne » :

Comme vous pouvez le constater ci-dessus, les visiteurs de cette page sont surtout là à partir de 21h00.

Vous pouvez en déduire ce que vous voulez, mais il est évident que vous aurez plus de monde aux heures où votre page est la plus fréquentée. Une lapalissade que peu de gens appliquent… 🙂

Concernant la durée

Là, c’est bien entendu variable. En effet, nous le verrons dans l’étape d’après, le contenu que vous proposez et le nombre de questions que vous aurez détermineront la durée réelle de votre live.

Pour autant, évitez autant que faire se peut de dépasser une heure.

Après une heure, les gens s’en vont, et pour ceux qui restent, votre message se perd.

Etape 4 : Préparer le contenu de votre live

Hé oui, même si c’est « en direct », le contenu se prépare un minimum.

Un live de fédération devrait comporter deux parties :

  • Le contenu à proprement parler (en rapport avec le thème et le nom que vous aurez choisi)
  • Les réponses aux questions.

1. Le contenu

Pour le contenu, prévoyez idéalement entre 15 et 30 minutes. Pas plus. Ce n’est ni un cours ni une formation. C’est un direct.

Idéalement, un direct FB est un truc interactif, fun et intéressant.

Utilisez donc si possible un maximum d’exemples et d’histoires en rapport avec votre thème pour rendre le tout amusant et intéressant, et éviter autant que faire se peut d’être barbant.

Le but est de créer du lien, et de donner envie de vous suivre et d’en savoir plus sur ce que vous faites. Mais aussi de faire poser des questions pour que votre audience interagisse avec vous.

2. Les questions

Oui, l’avantage d’un live Facebook, c’est que vos suiveurs ont un accès direct avec vous, et que vous pouvez donc interagir avec eux en direct.

Il est donc important de suivre les demandes et questions des différents participants au live, mais également celles posées plus tard lors du replay que vous proposerez et suivrez également.

On minimise l’impact et la grande valeur des questions posées sous un live.

Au-delà du fait qu’une personne qui pose une question, est naturellement plus engagée qu’une personne qui ne fait qu’écouter et lire, c’est également le meilleur moyen de faire du contenu facile plus tard. En réutilisant les questions et les réponses apportées.

Il existe des dizaines voire des centaines de livres qui sont un rassemblement de questions réponses sur un thème donné. C’est un format sympa et facilement compréhensible par vos lecteurs.

Et lors d’un live FB, cela démontre votre expertise facilement. On voit tout de suite ce que vous valez – professionnellement parlant – quand vous répondez à des questions. Pas d’esbroufe : soit vous connaissez votre sujet, soit non. Ça se voit tout de suite.

Et c’est la meilleure façon de donner un avant-gout de ce que vos futurs clients vont trouver dans vos cours et dans vos produits.

Donc en un live, c’est 1/3 de contenu préparé, et 2/3 de questions.

A vous de jouer !

Vous avez déjà pas mal de choses à faire déjà. Dans l’article suivant, je vous parlerai des différents posts et mails que vous allez devoir créer pour faire venir un maximum de monde sur votre live.

Mais également la manière de préparer malgré tout les réponses aux questions, et aussi la bonne manière de conduire votre live pour qu’il soit un succès concernant l’action que vous souhaitez faire faire à ceux qui vous suivent.


Que voulez-vous vraiment ?

Quand on veut changer, vendre, proposer, impacter ou simplement réussir ce qu’on entreprend, la première des questions à se poser, c’est celle-ci.

Car c’est ce que vous voulez vraiment qui va définir comment vous allez agir pour atteindre ou obtenir ce que vous désirez.

Pourquoi c’est important ? Parce qu’en fonction de ce que vous souhaitez, votre processus ne sera pas le même.

Si vous voulez prendre 6 mois de vacances par an, il va falloir faire en sorte de trouver un système qui travaille tout seul. Et une équipe solide qui vient pallier les problèmes courants et le travail à fournir.

Si le sujet que vous avez choisi vous passionne et que vous souhaitez et pouvez en parler pendant des heures et des heures en y éprouvant beaucoup de plaisir, alors il va falloir trouver un moyen de gagner de l’argent avec.

Si vous souhaitez travailler de n’importe où dans le monde, il faut que vous trouviez le moyen de créer un système portable sur lequel vous pouvez intervenir de partout. Et qu’il soit assez rentable pour vous le permettre.

Si vous souhaitez être populaire et faire des conférences ou des événements devant des gens, il va falloir apprendre à maîtriser la communication sur les réseaux sociaux, assister à un maximum d’événements et organiser autant de conférences qu’il en sera possible pour vous implanter dans la tête des gens.

Si votre but c’est de devenir extrêmement riche avec votre activité, alors il va vite falloir que vous trouviez de futurs partenaires influents, et pour cela vous allez devoir soigner votre relationnel, créer des produits en rapport avec lesdits partenaires et débuter assez vite les échanges de bons procédés.

Si votre but est de rester caché et faire votre petit business dans votre coin, alors il vaudra mieux privilégier la qualité de votre contenu pour inspirer et informer les gens sans avoir à vous montrer en vidéo.

Comme vous le voyez, en fonction de ce que vous allez choisir, le job ne sera pas le même. Votre implication sociale, votre expertise, vos connaissances, vos aptitudes et votre manière de communiquer seront différentes à chaque fois.

Il est donc primordial de bien définir à l’avance ce que vous souhaitez être, faire ou devenir dans un monde idéal, et choisir ensuite l’activité qui convient le mieux à ce que vous avez choisi. Une activité que vous devriez pouvoir faire pendant au moins 10 ans.

Ça ne se choisit pas à la légère, non ?

 


Les 4 questions

Peut-être que vous suivez une formation pour vendre des trucs sur Internet. Ou pour mettre à disposition votre expertise.

Ou peut-être que vous avez juste envie de le faire par vous-même, sans suivre quelque formation que ce soit.

Quoi que vous ayez choisi pour être, vendre ou prospecter sur Internet, la réussite et le programme de ce que vous avez à faire se résume aux 4 questions que voici :

  1. Que voulez-vous vraiment ?
  2. Que voulez-vous proposer ?
  3. Comment comptez-vous en parler ?
  4. Comment comptez-vous trouver des clients ?

Tout le reste n’est que littérature. Je veux dire que si vous ne répondez pas sincèrement et avec soin à ces 4 questions, tout ce que vous ferez n’aura pas vraiment de sens, et vous finirez par arriver dans le mur 99 fois sur 100.

Je vous détaillerai ces 4 questions et pourquoi c’est important dans les 4 prochains articles.

En attendant, si vous commenciez à y réfléchir et à y répondre ?


Comment être accessible sur Internet en moins de 5 minutes

Vous avez décidé de vous lancer sur Internet.

On a vu jeudi dernier les différentes étapes auxquelles vous devez vous attendre, et on va commencer aujourd’hui par la toute première qui est de vous créer un espace sur Internet.

Réjouissez-vous, de nos jours, cette opération se fait en approximativement 5 minutes.

Il vous suffit en effet d’ouvrir une simple « page Facebook« .

C’est à dire que vous allez créer un espace, sur Facebook, sur lequel vous allez pouvoir publier chaque jour ce que vous voulez en rapport avec votre activité et tout ce qui tourne autour.

Avec ça, vous allez pouvoir vous créer une communauté de personnes qui sont intéressées par ce que vous faites et ce que vous dites.

social networking with smartphone

C’est l’étape 1 de la présence sur Internet. Et en 2016, vous DEVEZ impérativement commencer par là.

En effet, plus de 1.2 milliards de personnes se trouvent sur Facebook, dont plus de 85 millions de francophones. Et tout ce petit monde est accessible, avec de la patience, ou un peu d’argent.

Mais quoi qu’il en soit, si vous comptez commencer à faire des affaires sur Internet, la toute première chose à faire, c’est ça. D’autant qu’il n’y a que des avantages :

  • C’est 100% gratuit (donc zéro problèmes de budget)
  • C’est facile à faire (une dizaine de cases à remplir pour ouvrir votre page et c’est parti)
  • Ca convient à TOUT LE MONDE (les problèmes techniques sont absolument inexistants, donc même si vous n’avez jamais été sur Internet, vous n’aurez jamais de problème pour communiquer sur votre page)

Nous allons voir vite fait quels sont les impératifs à suivre quand vous ouvrez une page Facebook, mais avant cela, je dois vous mettre en garde sur quelque chose.

Il existe des millions de pages Facebook qui n’ont pas plus de 2 membres

Comprenons-nous bien : Ce n’est pas parce que vous avez une page Facebook que vous allez avoir tout de suite des millions de personnes qui vont arriver dessus comme par miracle.

Non ! Si vous voulez que votre communauté grossisse, il va falloir travailler beaucoup, notamment en publiant chaque jour un (ou plusieurs) « mini article » assorti d’une photo (ça s’appelle « une publication » sur Facebook), et vous allez devoir faire en sorte que les gens que vous connaissez puissent voir tout ça.

Si votre publication leur plait, alors ils vont la « liker » (ça veut dire « aimer« ), et à partir de ça, vous allez pouvoir les inviter à suivre votre page.

De cette manière, à chaque nouvelle publication, ils pourront la voir sur leur fil d’actualité. Et plus vous aurez de gens qui vous « suivent », plus vous aurez de « likes » sur vos publications, et plus elles seront partagées.

Sur certaines de mes pages Facebook, je publie un post par jour, qui est aimé entre 300 et 1500 fois, et qui est partagé entre 150 et 1200 fois. Parmi ces partages, de nouvelles personnes découvrent ma page (les amis des gens qui partagent), ce qui me permet d’avoir environ 500 nouvelles personnes chaque semaine qui suivent ma page.

Des personnes qui sont intéressées par la thématique que je développe.

Mais avant que cela vous arrive et que ce soit le rush total de milliers de personnes, vous allez devoir publier de manière très très régulière, et une fois que vous aurez posté une publication, vous allez devoir communiquer auprès des gens que vous connaissez. Par mail, par commentaires sur d’autres publications, en partageant votre publication sur d’autres réseaux sociaux, en en parlant à des amis, qui pourront partager avec les leurs, etc.

Soyez donc conscient que c’est un travail de longue haleine, et s’il faut bien 5 minutes pour créer et ouvrir une page Facebook, il vous faudra un minimum de 2 mois pour qu’elle commence à avoir une communauté d’au moins 500 personnes.

En tout cas si vous ne dépensez pas d’argent en publicité.

Nous reviendrons là dessus quand sera venu le temps de parler de trafic.

Pour l’heure, voyons les quelques règles à respecter quand vous créez votre page Facebook.

Les 5 règles à respecter pour que votre page Facebook soit réellement efficace

Parler aux BONNES personnes

Pour bien que vous compreniez où je veux en venir, laissez-moi prendre un exemple très parlant :

Imaginons que vous soyez coach en nutrition. Votre objectif, c’est de trouver des personnes qui sont intéressées par la santé afin de leur vendre, si possible, une pilule énergétique composée d’ingrédients 100% naturels, qui les booste et qui leur permet d’être en super forme tout le temps.

Imaginons que vous ayez le choix d’aller vendre cette pilule dans l’un de ces 4 endroits :

  • Une bibliothèque
  • Une salle de fitness et de remise en forme.
  • Un bistrot
  • Devant une école

Si vous ne pouviez en choisir qu’un seul, quel est l’endroit qui serait susceptible de rassembler le plus de personnes intéressées par votre pilule ?

Vous avez compris. Dans une bibliothèque, dans un bistrot ou même devant une école, il se peut qu’il y ait des gens qui soient intéressés par la santé. Mais elles seront perdues au milieu d’autres personnes qui elles s’en foutent royalement.

Alors que dans une salle de remise en forme, il y a de fortes chances pour que 100% de gens soient potentiellement intéressés par la santé.

Donc si vous voulez vendre avec plus de facilité, c’est bien évidemment là que vous devrez aller.

Il en sera de même avec votre page Facebook.

Le but n’est pas de rassembler des gens qui aiment la santé, avec d’autres qui aiment lire, et encore d’autres qui aiment boire un coup avec des copains…

Votre but c’est UNIQUEMENT de parler à des gens qui sont intéressés à 100% par VOTRE sujet. VOTRE thématique. Idéalement, pour garder notre exemple, vous voulez vous adresser à toutes les personnes qui fréquentent les salles de remise en forme. Ou à toutes celles qui sont abonnées à un magazine sur la santé. Ou qui suivent assidûment une page qui parle de santé et de remise en forme…

Par conséquent, il faut que vous gardiez absolument ça à l’esprit lorsque vous allez créer votre page Facebook et lorsque vous allez en parler et publier dessus.

Plus celle-ci sera spécifique et ciblée et mieux vous vendrez quand sera venu ce moment.

Cela nous donne les 2 premières règles à respecter :

  • Règle 1 : Vous devez choisir « COMMUNAUTÉ » quand vous créez votre page

Vous avez le choix entre plein de « thèmes » de page. Je vous recommande de choisir « Communauté ».

Cela renforce le sentiment d’appartenance et vous facilite grandement les opérations lorsque vous comptez rassembler les gens

  • Règle 2 : N’invitez que des personnes qui ont expressément aimé une de vos publications à vous suivre

J’en vois déjà qui me disent : Mais pourquoi ? Plus il y a de gens et mieux c’est non ?

Hé non. Pas sur Facebook.

Sur Facebook, quand vous publiez chaque jour, si les personnes qui vous suivent ne sont pas intéressées par votre sujet, ça va vite les gonfler.

Certains vos arrêter de vous suivre (super !) mais d’autres, tellement exaspérés, vont finir par vous mettre une appréciation ou un commentaire négatif. Ce qui fait baisser la qualité de votre page aux yeux de Facebook (qui vous le fera payer plus tard quand vous aurez décidé de faire de la pub).

Certains iront même se plaindre à Facebook en disant que votre contenu est indésirable.

Bref, seules les personnes qui sont intéressées par le thème principal de votre page devraient être membres chez vous. Les autres, les curieux, vous causeront plus de problèmes que d’avantages.

Choisissez les BONS sujets de vos publications

Si le choix des personnes est important, ce que vous mettez sur votre page est essentiel aussi.

Voici donc 2 nouvelles règles à prendre en compte :

  • Règle n°3 : Ne publiez QUE des articles en rapport avec votre thématique

Pour les mêmes raisons que ci-dessus, mais dans l’autre sens : si votre communauté est constituée exclusivement de gens qui sont intéressés par votre thématique et que vous publiez du contenu qui n’a rien à voir, vous risquez de provoquer les mêmes choses qu’évoquées ci-dessus.

  • Règle n°4 : Ne publiez QUE des articles les plus positifs possibles que vos suiveurs aimeront partager 

J’aime prendre l’exemple d’une personne qui a une page Facebook que je suivais (car elle était sur le thème de la santé, qui m’intéresse) et qui a commencé à mettre des vidéos de torture d’animaux ou autre horreurs de la sorte sur sa page.

J’ai masqué la première vidéo. Quand la deuxième est arrivée, j’ai arrêté immédiatement de suivre sa page et je m’y suis même désabonné. Par curiosité, je suis retourné dessus un mois plus tard, elle avait perdu près de 500 abonnés en un mois…

Conclusion : Vous avez le droit d’avoir vos idées et vos engagements dans la vie. Si l’envie de les communiquer à la terre entière à l’aide de vidéos qui vont choquer les gens vous prend, faites-le sur votre page personnelle.

Sur la page Facebook liée à votre profession, restez dans le thème de base de votre activité, et pensez un peu à vos membres avant de penser à vous-même. Et ne postez que des publications que vos suiveurs aimeront et auxquelles ils adhéreront. Le but est qu’ils les partagent un maximum.

Véhiculez une BONNE image de vous et de votre activité

Quand on arrive sur une page Facebook, son aspect global et notamment la photo de couverture et celle de profil comptent beaucoup dans « la première impression ».

Il est donc important de bien les choisir afin de donner à vos visiteurs une bonne impression en moins d’une seconde.

Ce qui donne donc la 5ème et dernière règle (pour le moment) :

  • Règle n°5 : Sélectionnez vos images de profil et de couverture avec soin

Il y a de grandes chances pour qu’elles soient amenées à évoluer avec le temps. Mais globalement, en photo de profil, un logo ou carrément une photo de vous (si vous êtes coach, c’est vous qui êtes « le produit ») et en photo de couverture une image qui représente le mieux votre activité.

Un patchwork est possible. Vous pouvez en créer facilement un avec Pixlr, par exemple.

N’hésitez pas non plus, si votre activité s’y prête, à y inscrire un slogan (voire une citation) qui cristallise vos valeurs et ce que vous souhaitez véhiculer au travers de votre page.

Créer votre page Facebook

Voilà. Maintenant que vous savez quelles sont les règles de base, voici un lien qui vous explique comment créer votre page Facebook en quelques clics.

Bien entendu, vous devez être inscrit sur Facebook.

Si c’est le cas, alors vous avez juste à suivre les instructions pour créer votre page :

  • Choisissez « Cause ou Communauté« .
  • Choisissez un nom pour votre page
  • Cliquez sur « Démarrer« 
  • Indiquez le but de votre page en quelques mots. Soyez concret. Dites le résultat idéal que pourrait vouloir atteindre vos membres tout à la fin
  • Si vous avez déjà un site web, vous pouvez l’indiquer aussi
  • Ensuite mettez une photo de profil (voir ci-dessus)
  • Vous pouvez enregistrer cette nouvelle page dans vos favoris Facebook
  • Et pour finir, vous pouvez d’ores et déjà choisir les gens qui verront votre page. Dans un premier temps, je vous conseille d’ignorer cette étape.

Et voilà… Votre page est créée.

Vous pouvez alors créer votre première publication dans le champ approprié :

publication-fb

Ecrivez votre post. Vous pouvez rajouter une photo en cliquant sur le petit appareil qui se trouve en bas à gauche de ce cadre. Une fois que c’est fait, cliquez sur « Publier ».

Votre page est en vie.

Comme vous le voyez, ça prend réellement moins de 5 minutes.

Et une fois que vous avez fait ça, alors il est temps pour vous de prévoir les futurs posts que vous allez mettre et de peaufiner l’apparence de votre page, notamment en personnalisant les 2 photos dont je vous ai parlé plus haut (profil et couverture).

Dans un prochain article, je vous donnerai des conseils de copywriter pour que votre page soit encore plus efficace.

Pour l’heure, j’aimerais bien savoir si vous avez déjà une page Facebook et si vous avez d’ores et déjà suivi les conseils que je vous donne dans cet article. Rien n’est jamais perdu ni acquis sur Facebook, mais rien ne vous empêche non plus de créer une nouvelle page qui respecte bien ces quelques critères de base.

Parfois, tout raser et repartir sur de nouvelles bases saines, ça peut faire beaucoup de bien…

La semaine prochaine, nous parlerons de blog et de contenu, qui constituera la deuxième étape de votre mise en ligne.


L’art de capter l’attention en quelques secondes

Ils étaient déjà là depuis environ 5 minutes…

Quand elle arriva dans la classe, il y avait un tel brouhaha, qu’il lui était impossible de se faire entendre, quoi qu’elle dise.

Elle s’approcha alors doucement de son bureau, posa son sac, puis se retourna vers le tableau, pris une craie, et écrivit quelque chose au tableau.

Elle attendit 2 secondes, puis elle effaça ce qu’elle avait écrit, et écrivit autre chose à la place.

Et c’est alors que le silence se fit presque instantanément.

Exciting Smartphone

Et pendant les 40 minutes qui suivirent, on aurait pu entendre une mouche voler.

Je vais vous dévoiler dans quelques secondes ce que cette enseignante a écrit sur son tableau pour obtenir un silence quasi total en quelques secondes, mais avant cela, laissez-moi vous raconter pourquoi cette simple expérience peut vous en apprendre beaucoup sur la manière d’intéresser n’importe qui :

1. Une question d’attention instantanée

L’attention, c’est assez facile à capter, quand on sait s’y prendre comme il faut. Il suffit pour cela de parler ou d’écrire quelque chose qui bouleverse totalement l’esprit de celui ou celle qui est là. Soit parce qu’il ne s’y attendait pas, soit parce que ce qu’il voit ou ce qui l’entend l’intrigue au plus haut point.

C’est ce que j’ai essayé de faire avec le début de cet article.

Globalement, lorsqu’on attaque un article ou une publication sur un quelconque réseau avec une bonne histoire qui commence de manière mystérieuse, alors les chances pour que vous soyez lu augmentent de manière substantielles.

Ca marche aussi avec une lettre ou une vidéo de vente.

C’est la fameuse étape de « la découverte », celle qui tente « d’accrocher » le lecteur avec une idée forte.

Elle est bien souvent capitale quand on propose quelque chose sur Internet.

Si vous la loupez, vous pouvez être sûr que les gens vont quitter votre vidéo ou votre page en moins de 10 secondes.

D’ailleurs, quand on regarde les statistiques d’une vidéo de vente en général, on s’aperçoit que plus de 8 personnes sur 10 ne restent pas plus de 10 secondes à regarder ou à entendre.

Ce qui fait que plus de 80% de l’argent que les vendeurs dépensent en pub pour faire venir des gens sur leur page de vente ou sur leur vidéo de vente part en fumée en moins de 10 secondes.

Si c’est votre cas, commencez par raconter une bonne histoire avec un bon suspense comme je l’ai fait ici, et vous verrez que vos vidéos seront regardées bien plus longtemps que 10 secondes.

Surtout si vous décidez de raconter la chute de votre histoire captivante « un peu plus loin« …

2. Comment donner aux gens l’envie de connaître la suite de votre histoire

Il existe quelques astuces pour rajouter du mystère quand vous racontez une histoire. Je vais vous en donner quelques unes ci-dessous. Vous pourrez essayer à votre tour, et vous allez voir que ça reste assez facile à faire. C’est même très amusant.

a) Remplacer et dé-spécifier

La première astuce consiste à remplacer les noms de personnes ou de choses par un pronom, et les verbes par des auxiliaires.

Quand une histoire commence avec un « Ils« , posé comme ça sans aucune autre indication, forcément, on s’interroge : « De qui parle-t-il ? »

Quand on parle d’un endroit en disant «  » au lieu de le nommer expressément, c’est pareil.

Ainsi, par exemple, avec une histoire qui commencerait avec cette simple phrase :

« Joël était dans la piscine pleine d’eau rouge en train de nager à s’en faire exploser les poumons »,

… vous pouvez transformer tout ça en plusieurs phrases courtes bien plus mystérieuses.

Par exemple :

Cela faisait déjà plus de 10 minutes qu’il était là dedans. On aurait dit du sang.

Oui : une sorte d’immense mare de sang qui semblait l’entourer totalement.

etc.

Vous avez compris qu’ici, on a remplacé « nager dans une piscine » par « était là-dedans ». Et « eau rouge » par « on aurait dit du sang »…

b) Raccourcir

La deuxième astuce consiste à raccourcir vos phrases au maximum. En remplaçant par exemple les virgules et les « et » par des points.

Par exemple, au lieu de dire : « Peu de gens comprennent comment les financiers ont fait pour investir à temps dans cette entreprise dynamique, bien gérée et surement pérenne sans avoir plus de garanties. D’autant que c’était loin d’être gagné… », vous pouvez rendre le tout plus mystérieux et plus « haletant » :

Comment ont-ils fait ? Investir dans cette entreprise, il fallait oser.

Peu de gens étaient au courant. Comment ont-ils su ? Et surtout pourquoi ?

OK, c’est une entreprise dynamique. Bien gérée. Pérenne.

Mais quand même… Avec si peu de garanties.

D’autant que ce n’est pas tout.

En raccourcissant vos phrases, en les mettant sur plusieurs lignes, vous créez forcément le mystère. Car inconsciemment, quand on voit un point, la phrase s’arrête, en même temps que la respiration. C’est très court, mis si vous enchaînez les phrases courtes, ça donne une impression d’haleter.

Et ça c’est bon pour l’attention.

c) Prévoir / Prédire

La 3ème astuce consiste à raconter, sans vraiment le dire, la fin de l’histoire. C’est parler du résultat avant qu’il n’arrive. Et si vous voulez rajouter du temps, alors c’est encore mieux.

Ainsi, pour reprendre l’exemple que j’avais pris dans la piscine ci-dessus, ça donnerait ça :

« Il ne savait pas encore que dans moins de 10 minutes allait se produire un événement qui allait changer sa vie à jamais »

Le célèbre auteur Dan BROWN (auteur du Da Vinci Code) fait ça dans presque toutes les premières pages de ses romans.

Par exemple, son ouvrage « Forteresse Digitale » commence comme ça :

« C’est dans la mort, parait-il, que la vérité se fait jour. Ensei Tankado en avait maintenant la confirmation. Au moment où il portait les mains à sa poitrine, et s’écroulait sur le sol en se tordant de douleur, il entrevit soudain les conséquences de son acte. […] En tremblant, il leva son bras gauche et déplia ses doigts : Regardez… Regardez ma main… »

Comme vous le remarquez ici, on a appris plein de choses, mais tout est vague. Imprécis. On sait qu’il se passe quelque chose de grave, mais on ne sait pas vraiment quoi.

Si vous attaquez vos articles, vos lettre ou vidéos de vente, ou même vos publications de la sorte, je vous garantis que vous allez garder vos lecteur bien plus longtemps.

3. La fin de l’histoire

Oui, vous attendez certainement avec impatience que je vous dise ce qu’a écrit l’enseignante sur le tableau pour faire revenir le silence dans sa classe…

Voici ce qu’elle a écrit la première fois : le chiffre 1. En gros.

Puis elle a attendu 2 secondes, elle a effacé le 1 et elle a mis à la place le chiffre 2. Et ensuite, 2 secondes plus tard le chiffre 3… et ainsi de suite jusqu’au silence total.

Et ça a très bien marché. Parce que justement, elle a créé une sorte de « vide » mystérieux autour de ce simple chiffre posé là, comme ça, au milieu du tableau. Certains l’ont vu sans comprendre, et leur attention a tout de suite été sollicitée. Et quand le 2 est apparu, il n’y avait déjà presque plus personne qui parlait. Concentré sur ce qui allait arriver après.

Un peu comme ce que je viens de faire avec vous.

Cette astuce, je l’ai adaptée d’une astuce que j’ai trouvée dans un livre qu’a écrit une de mes amies, enseignante, qui pratique ce genre de trucs sympas pour captiver ses élèves, afin de rendre leur apprentissage plus fun et plus facile à retenir, et rendre ses journées à elle plus zen et plus reposantes (parce que lorsque les élèves sont captivés, alors tout est beaucoup plus simple).

Cette amie, vous la connaissez, puisqu’elle a déjà eu l’occasion d’intervenir plusieurs fois sur ce blog. Il s’agit de Claire, du blog Univoix.fr. Et son livre c’est lui :

livre-claire

Techniques vocales, corporelles et verbales
pour entraîner, captiver et transmettre

Il s’adresse aussi bien aux enseignants qu’aux formateurs, mais aussi aux parents, et même à toute personne qui écrivent ou qui font des vidéos pour captiver ou pour convaincre.

Vous y trouverez pas mal d’outils concrets (storytelling, copywriting, PNL, posturologie, et autres disciplines d’avant-garde dans ce domaine) qui permettent de décupler son pouvoir d’influence et de persuasion, développer son charisme, motiver et passionner un public…

J’ai vraiment bien aimé ce livre. Je vous reparlerai de techniques assez bluffantes que j’ai découvert dedans pour captiver instantanément l’attention de son auditoire, que ce soit en vidéo ou en face à face.

Bref, vous l’aurez compris, je vous recommande de le rajouter à votre collection de livres inspirants. Il est disponible ici.

4. La prochaine fois…

Avec cet article (qui marque la réouverture de ce blog), je voulais introduire une notion un peu avancée de « captation d’attention » qui est très efficace quand on cherche à motiver et à garder un lectorat plus longtemps chez soi.

Il s’agit de « boucle« . Une boucle, dans ce contexte, c’est quelque chose que l’on « ouvre » au début d’une vidéo ou d’une page, et qu’on « referme » vers la fin.

On peut même en ouvrir plusieurs les unes dans les autres. Comme des parenthèses.

C’est un outil excessivement puissant, tiré de la PNL, qui permet beaucoup de choses.

Je vous en parlerai dans l’article de jeudi prochain, et je vous montrerai comment vous allez pouvoir l’adapter à votre thématique, quelle qu’elle soit, afin d’augmenter le temps de présence de vos lecteurs sur votre page Facebook, Linkedin, sur votre blog, votre site, vos vidéos, vos pages de vente…

On accorde trop peu d’importance au temps passé sur ses pages. Et parfois, 5 ou 10 secondes de plus suffisent à faire agir…

Je vous montrerai… 🙂


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