Ecrivez facilement des textes qui font agir

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Ailleurs aussi !

Il parait que la pire des choses à faire, c’est de planter un saule pleureur à proximité de sa maison.

En effet, le saule est un arbre qui a des racines qui se déploient à l’infini pour aller trouver de l’eau.

Donc si vous le plantez à proximité de chez vous, il viendra se faufiler sous votre maison à la recherche de vos canalisations, essayera de les briser, et s’il n’y arrive pas, il se déploiera ailleurs, à la recherche d’autres sources plus faciles.

A la fin, vous vous retrouverez avec des millions de racines sous vos fondations et sous votre jardin, et il ne sera plus possible pour vous de vous en débarrasser.

Où que vous creusiez, vous trouverez des racines…

Et si vous preniez exemple sur le saule pleureur pour votre activité sur le web, et que vous déployiez des millions de racines un peu partout ?

Il n’y a pas que chez soi qu’il faut écrire.

Il faut aussi écrire chez les autres. S’ils apprécient ce qu’ils lisent, ils viendront vous voir. C’est certain.

Si vous avez un blog, suivez cette règle simple :

Pour un article écrit chez vous, écrivez à 5 autres endroits que chez vous.

De temps en temps mettez un lien vers un article sur votre blog, mais pas tout le temps.

Laissez plutôt les gens venir vous découvrir, attirés par l’odeur alléchée de votre contenu pertinent.

 


Activité sédentaire : comment cartonner malgré la crise

2020 est déjà une année qu’on pourrait qualifier d’historique. Pendant 80 jours, la quasi totalité des commerces de proximité qui n’étaient pas alimentaires ont été fermés. Dans la majorité des pays du monde.

En quelques jours, tous les entrepreneurs sédentaires (salons de coiffure, d’esthétique, restaurants, agences de voyage, fleuristes, antiquaires, libraires, et des milliers d’autres…) n’ont plus eu aucun client.

On est en 2020, dans un monde où la technologie et la communication sont à un point d’avancement comme jamais ça n’a été le cas avant, et une simple cellule d’à peine quelques microns est venu bouleverser le paysage économique des petits commerçants comme rien ne l’avait fait auparavant.

On a compris, avec cette crise moderne sans précédent, qu’Internet était LA solution pour communiquer de la meilleure manière sur ses activités.

Réagir vite

Certains entrepreneurs ont compris le truc assez vite et ont modifié leurs façons de fonctionner, comme certains restaurateurs, pour proposer par exemple des plats à emporter.

A 250 mètres de chez moi, un resto qui fait des frites, des steaks et des poulets rôtis a créé une banderole de 2 mètres de haut et de 8 mètres de large, et l’a placardée sur la totalité de sa façade.

Il a écrit : « Ici, on livre dans un rayon de 2 kilomètres, de 11h à 23h »

C’est un endroit de grand passage, et d’où qu’on arrive, on voyait la pancarte. Ils ont été ouverts 7 jours sur 7 pendant le confinement, et quand je les ai vu il y a quelques jours, ils m’ont dit qu’ils avaient fait une année complète de chiffre d’affaires en moins de deux mois.

Idem pour une pizzeria du centre ville, qui a dû embaucher 4 personnes de plus pour tenir le coup des commandes en ligne et par téléphone. Ils disent qu’ils n’ont pas fait de si gros CA depuis 1997 qu’ils sont ouverts.

D’autres restaurateurs n’ont pas eu de tels records, mais ils se sont quand même adaptés.

Ils ont proposé de la vente à emporter, et ils n’ont eu qu’à joindre leurs clients un à un, par mail ou par SMS, afin de leur expliquer comment procéder.

D’autres auraient bien aimé le faire aussi. Le problème, c’est qu’ils n’avaient pas l’email de leurs clients. Ni même leur numéro de téléphone. Et comme ils n’étaient pas dans un emplacement de grand passage…

Beaucoup n’avaient pas de compte Instagram, de chaîne Youtube ou de page Facebook.

Parce que lorsqu’on fait la cuisine et qu’on sert les gens, on n’a pas le temps de s’occuper de gérer une page Facebook ou un compte Instagram. Surtout si on est réfractaire à la technologie, comme c’est hélas souvent le cas chez les entrepreneurs sédentaires.

Et pourtant, il y a des actions élémentaires qui peuvent être faites pour pouvoir réagir en cas de baisse de fréquentation.

Sans pour autant avoir une page Facebook à s’occuper, même si ça aide énormément pour se faire connaître.

En voici 3 que vous pouvez décider de faire dès maintenant.

Ça peut paraître un peu simpliste…

Vous allez le voir, elles sont toutes les 3 basiques, ces petites actions. Certains pourraient même dire que c’est trop con, tellement c’est évident.

Pour les besoins d’un livre, j’ai fait une enquête personnelle qui s’est étalée sur 6 mois environ. Sur les 400 restos, commerces en tous genres et instituts que j’ai interrogés, seuls 20 faisaient les 3, 55 en faisaient 2 sur 3, et 81 n’en faisaient qu’une seule.

Calculez, ça laisse 244 commerces (soit 61%) qui ne font pas UNE SEULE de ces simples actions.

Donc, permettez-moi de vous les énumérer. Si vous les faites déjà, bravo. Sinon, ma foi, il n’est jamais trop tard.

C’est parti :

1. Prendre le numéro de téléphone de vos clients

Si vous prenez le téléphone de vos clients, ainsi que leur nom, bien sûr, et que vous prenez le temps de noter quand ils sont venus, ce qu’ils ont fait et pris – si possible, vous vous constituez alors une véritable base d’informations que vous pourrez réutiliser quand vous aurez besoin de faire venir les gens chez vous.

Les forfaits mobiles d’aujourd’hui fournissent la possibilité d’envoyer un nombre illimité de SMS.

Si vous avez besoin de remplir votre salon, votre restaurant, ou simplement de faire venir les gens chez vous – quand ils le peuvent – un simple SMS envoyé à toute votre base de clients peut en faire bouger un sacré paquet.

Il faut bien s’organiser, par contre. Et prévoir environ 15 minutes pour envoyer 200 SMS.

Si vous avez une promo, ou un plat du jour spécial, ce genre d’opération peut largement vous amener une vingtaine de clients (minimum) en plus, qui n’avaient pas forcément prévu de venir vous voir.

Avec un panier moyen de 20 euros, faites le calcul de la rentabilité d’un petit quart d’heure.

Il est donc important de prendre le numéro de téléphone de vos clients.

Tous les commerçants qui ont ce bon réflexe ont pu contacter leurs clients à l’ancienne, et ont malgré tout pu faire des ventes pendant le confinement. Surtout s’ils proposaient ensuite la livraison à domicile.

2. Prendre l’adresse email de vos clients

Hé oui, évidemment ! 🙂

L’adresse email, c’est comme le numéro de téléphone, mais on peut contacter plein de monde avec un seul email. Et l’envoyer d’un coup à tous ses clients.

Le souci, c’est qu’il y a moins de monde qui consulte ses emails – et surtout qui les lisent – qu’un SMS.

Cela dit, toutes les stratégies qu’on enseigne dans le marketing Internet peuvent ainsi s’appliquer.

Si vous avez un auto-répondeur et la possibilité d’écrire de manière régulière à vos clients, ils s’habituent à vous.

Et quand vous faites une opération spéciale, ou que vous avez un plat du jour insolite, ou que vous avez une nouvelle prestation à faire connaître, ou un nouveau produit, des promos, ou quoi que ce soit d’autre qui pourrait intéresser vos clients, alors vous pouvez leur envoyer un mail avec un lien pour qu’ils réservent ou qu’ils vous appellent, ou qui leur rappelle l’adresse pour qu’ils viennent.

Sans compter tout ce qu’on peut faire avec une adresse email, quand on sait utiliser un auto-répondeur.

3. Proposer une carte de fidélité

La majorité des pizzerias où je suis allé proposent une carte de fidélité.

Vous savez, cette carte où vous avez 10 cases et une proposition on ne peut plus simple :

9 pizzas achetées = la 10ème offerte.

Combien de restaurants proposent la même chose quand ils font des plats traditionnels, à votre avis ?

Moins de 5% !

Une carte de fidélité, ce n’est ni plus ni moins qu’une carte de visite, avec en plus une face interactive qui se remplit au fur et à mesure que les gens viennent vous voir.

Pour le recto, vous indiquez le nom de votre établissement, son adresse, votre nom à vous, un téléphone et une adresse email et éventuellement un site Internet.

Et pour le verso, il suffit de faire un tableau à 6, 9, 10 ou 12 cases, de tamponner chaque case à chaque venue du client, et de proposer une réduction après un nombre déterminé de tampons.

Investissement : 27 euros pour 1000 cartes chez VistaPrint + 3,5 € pour le tampon.

A peine 30 euros pour un chiffre d’affaires qui augmentera fort.

Parce que lorsque l’on a un choix à faire parmi plusieurs restos (« On mange où ce soir ? ») celui qui propose une carte de fidélité déjà partiellement remplie sera toujours celui qu’on privilégiera.

Des actions à mettre en place qui paraissent compliquées

Ce sont de petites actions quotidiennes comme cela qui permettent de cartonner malgré la crise. Quelle qu’elle soit.

Il y a évidemment d’autres actions à faire qui peuvent augmenter votre chiffre d’affaires.

Ouvrir une page Facebook, par exemple, et un compte Instagram. J’en ai déjà parlé.

Un resto que je connais publie son menu du jour sur Instagram et Facebook. Chaque jour à 9h00. Il demande à chacun de ses clients de s’abonner et de partager à ses amis proches.

Sa page s’est remplie à la vitesse de l’éclair, et comme il a rajouté un bouton pour que les gens réservent, il arrive à faire venir du monde chez lui sans aucun site web.

Ça peut paraître compliqué à mettre en place quand on « n’y connait rien », et pourtant, quand on sait comment faire, ça prend moins de 15 minutes pour ouvrir une page Facebook. C’est totalement gratuit, et ça prend juste 2 minutes par jour pour l’entretenir.

Vraiment ! Bien organisé, vous pouvez faire ça pendant votre pause.

Idem pour Instagram. Et Youtube.

Idem pour ouvrir et créer un blog, ou un site Internet. On a l’impression qu’il va falloir des semaines, et pourtant, tout compris, vous pouvez ouvrir un blog tout simple et y écrire vos 5 premiers articles en une après-midi.

Idem pour votre site Internet. Qui peut être une simple page de votre blog.

Quand on sait quoi y mettre dessus, ça prend moins de 3 heures à mettre en place.

Pour aller plus loin et plus vite

Il y a comme ça une quinzaine d’actions faciles à mettre en place, quand on a une activité sédentaire, afin de se faire connaître sans dépenser des fortunes en publicité.

Et d’ailleurs, avec l’aide de ma compagne, nous avons écrit ensemble un livre à ce sujet, qui s’intitule :

SE FAIRE CONNAÎTRE QUAND ON A UNE ACTIVITÉ SÉDENTAIRE
Même si on est allergique à la technologie et sans dépenser
le moindre euro en publicité

Ce livre vous donne 15 actions de base à mettre en place + une centaine d’autres expliquées à l’aide d’exemples concrets appliqués dans des commerces réels.

Vous pouvez commencer dans moins de deux minutes

Si vous n’avez pas beaucoup de temps, si vous n’y connaissez rien en nouvelles technologie, si Facebook, Instagram ou Youtube ne sont pas votre tasse de thé, alors ce dont vous avez besoin, ce sont des explications simples et claires pour mettre en place ce qu’il faut pour que vous ayez un flux constant de nouveaux clients, de la manière la plus rapide et la plus écologique pour vous.

La plupart des actions que nous vous proposons ce livre ne prennent pas plus de 2 heures à mettre en place + quelques minutes par jour pour que ça fonctionne.

Pour certaines, tout se fait en 15 minutes. Et c’est à vie.

Tout vous est expliqué de A à Z, avec des captures d’écran que vous n’avez qu’à suivre pas à pas.

Vous me connaissez déjà, et vous savez que je suis copywriter depuis les années 90. Pendant plus de 25 ans, j’ai accompagné des dizaines de clients, avec une activité sédentaire ou autres, pour les aider à soigner leur stratégie et leurs mots pour augmenter le nombre de clients, en dépit de la crise, de la concurrence ou de la technologie.

Ma compagne, qui a eu la première l’idée d’écrire ce livre, a aussi un parcours atypique.

Après avoir obtenu des diplômes en esthétique, elle a eu des fonctions importantes dans ce domaine, et ce dès ses 18 ans,

Pendant quelques mois, elle a débuté en tant qu’esthéticienne, puis est passée rapidement au poste de responsable d’un institut de beauté aux techniques avant-gardistes.

Devant les résultats commerciaux qu’elle obtient grâce à ses techniques de communication et de marketing, à 22 ans, plusieurs établissements de l’académie du Nord-Pas-de calais la réclame en tant que professeure et responsable, pour différentes institutions en esthétiques. Elle a donc cumulé les postes et les opportunités dans ce domaine pendant une dizaine d’année.

A partir de 2000, son intuitif très développé et son sens inné des affaires participent à l’élaboration et la création de deux restaurants à thème.

Situés au centre d’une grande ville, où la concurrence était rude, et au gré des différentes crises, elle a pu tester des dizaines de stratégies innovantes pour faire venir du monde et fidéliser les clients pendant plus de 15 ans.

Nos deux expériences confondues ont donné un livre facile à comprendre, précis, clair et utilisable tout de suite pour fidéliser et augmenter votre clientèle, si vous avez une activité sédentaire.

Que vous soyez restaurateur, fleuriste, esthéticienne, coiffeur, plombier ou guide touristique, ou quoi que ce soit d’autre du moment que vous recevez des clients (en réel ou à distance), ce livre fait l’état de toutes les techniques qui marchent et que chaque commerçant devrait appliquer chez lui pour avoir tout le succès qu’il mérite.

Attaquez tout de suite

D’autant qu’à la fin de ce livre, vous découvrirez également 5 exemples de commerces réels qui ont un grand succès depuis des années, et qui nous ont donné toutes les astuces qu’ils utilisent au quotidien pour fidéliser et accroître sans cesse leur clientèle.

  • Vous découvrirez par exemple ce poseur de fenêtre qui utilise habilement les portails (!) de ses clients pour en trouver des dizaines d’autres,
  • Ou encore les 14 actions utilisées par un restaurant spécialisé dans la cuisine corse, pour avoir toujours son restaurant rempli, n’importe quel jour de la semaine,
  • L’idée brillantissime de ce salon d’esthétique pour trouver des centaines de partenariats faciles avec des professionnels auxquels on ne pense pas au premier abord
  • Ce commerce qui est obligé de mettre des barrières au bord de la route pour canaliser la foule de gens qui fait la queue chaque jour en attendant d’être servi…

…Et des centaines d’autres astuces pour trouver des clients sans quitter sa boutique, en mettant simplement en place des actions précises qui fonctionnent.

Bref… Que vous ayez une activité sédentaire, ou que vous exerciez en ligne, vous allez trouver dans ce livre des dizaines d’astuces à appliquer à votre entreprise afin de multiplier le nombre de contacts et surtout votre nombre de clients.

Il ne faut pas avoir de diplôme en marketing ou en nouvelle technologie, pour utiliser toutes ces techniques.

La plupart de ces actions ne demandent pas de processus compliqué. Il faut juste suivre le guide pas à pas. Une fois que c’est en place, il y a juste à appliquer les consignes régulièrement, et de manière toute naturelle, les clients afflueront de plus en plus, et vous n’aurez plus jamais à craindre quelque crise que ce soit.

Essayez déjà avec les actions 3, 4 et 5, et vous verrez. Ça va vous prendre 10 minutes chacune. Il n’y a qu’à suivre les instructions.

A tout de suite !


Copywriting : soigner son (ses) image(s) sur Google Maps…

Alors que je suis sur Google Maps à la recherche d’une boulangerie ouverte à 6h30 pas loin de là où je suis en ce moment, je tombe sur celle-ci :

Je découvre qu’elle est ouverte. Cool ! Par contre, quand je vois les 2 photos qu’ils ont décidé de faire apparaître sur Google Maps, je m’interroge un peu.

Pour une boulangerie, une devanture fermée avec une voiture et 2 poubelles comme photo de présentation, reconnaissons que c’est un peu étrange. Ou alors il s’agit d’une stratégie que je ne connais pas.

Vous l’aurez compris, la boulangerie en question s’est inscrite sur Google Maps, mais elle n’a pas personnalisé son espace, et c’est donc Google qui a choisi des photos dans sa base de données correspondant à cette adresse.

Ça fait bizarre.

D’où l’idée de cet article pour vous expliquer rapidement comment inscrire et personnaliser votre espace sur Google Maps.

Une visibilité locale

Si vous recevez les gens chez vous ou dans vos bureaux, alors il peut être très judicieux d’enregistrer votre entreprise sur My Google Business, pour ainsi apparaître sur Google Maps.

Evidemment, vous ne serez visible que pour les gens qui sont dans votre coin. Que ce soit des locaux ou des vacanciers de passage.

En fonction de ce que vous faites, c’est toujours un élément de plus qui concourt à votre visibilité.

Donc, si vous avez décidé d’inscrire votre entreprise sur Google Maps, voici la procédure à suivre et quelques conseils copywriting pour optimiser tout ça.

Procédure d’inscription sur Google Maps

Etape 1 : Vous connecter à votre compte Google.

Il vous suffit de cliquer sur « SE CONNECTER » quand vous ouvrez Google. Une fois que c’est fait, vous avez un carré à côté de votre avatar, cliquez dessus et choisissez « My Google Business ».

Ou alors cliquez ici.

Etape 2 : Indiquer le nom de votre entreprise

Indiquez le nom de votre entreprise ou votre nom personnel, en fonction de ce que vous faites.

Rajoutez une activité en deux mots à côté.

Puis cliquez sur « Suivant »

Etape 3 : Indiquez une activité

Sélectionnez parmi tout ce qui est proposé ce qui correspond le mieux à votre activité.

Etape 4 : Ajouter un lieu

Pour indiquer des horaires d’ouverture, et indiquer aux gens qu’ils peuvent passer vous voir dans un créneau défini par vous :

Etape 5 : Indiquez votre adresse

Pour que les gens puissent vous trouver

Etape 6 : Indiquez une zone plus large

Cela permettra aux gens qui affichent une zone plus large, comme Grenoble par exemple, de vous trouver sur la carte aussi s’ils cherchent une activité en relation avec la vôtre.

Renseignez alors des zones (villes) proches de votre adresse :

Etape 7 : Infos de contact

C’est ici que vous indiquez l’adresse de votre site web et votre numéro de téléphone.

Etape 8 : Finalisez votre inscription

Il ne vous reste plus qu’à cliquer sur « Terminer », et votre fiche sera créée.

Etape 9 : Sélectionnez une méthode de validation

Pour être sûr qu’il s’agit bien de vous, Google vous envoie un courrier postal à l’adresse que vous avez indiquée.

Dès que vous le recevrez, vous devrez entrer le code reçu pour que votre établissement apparaisse sur google Maps :

Personnaliser votre espace

Une fois que tout est rempli, vous arrivez sur votre espace. Vous avez un certain nombre d’informations à modifier pour faire de votre fiche quelque chose d’attirant et d’efficace.

Les 2 pôles les plus importants étant « Infos » et « Photos » :

Quand vous cliquez sur « Infos », vous arrivez sur une page où vous allez pouvoir modifier et personnaliser :

  • Votre adresse,
  • Vos horaires d’ouverture,
  • Votre téléphone,
  • Votre adresse de site web,
  • Vos produits,
  • Vos services,
  • Vos points forts,
  • La description de votre établissement,
  • Des photos

Les produits et services

Vous pouvez rajouter tous les produits et services que vous voulez. Ça ne va pas remplacer les différentes pages de vente que vous avez déjà mais une description qui donne envie, par exemple basée sur la structure « Peindre, Promettre, Prouver Pousser« , afin de donner envie aux visiteurs d’en savoir plus.

Par exemple :

Il faut envisager la description comme une simple pub Facebook. Un résumé qui donne envie d’en savoir plus. Ils mettent même un bouton pour que vous puissiez diriger les gens vers votre page de vente.

Ce serait dommage de vous en priver.

La description de votre établissement

Vous pouvez aussi modifier la description de votre établissement. Il y a 750 mots maximum, ce qui suffit largement pour parler de vous de manière à donner aux gens l’envie d’en savoir plus.

Je vous renvoie à cet article très complet sur la bonne manière d’écrire une page à propos.

Les photos

Et bien entendu, vous devez personnaliser vos photos.

Vous avez plusieurs onglets pour plusieurs styles de photos :

  • Vue d’ensemble (logo et couverture)
  • Une vidéo,
  • Intérieur,
  • Extérieur,
  • Au travail,
  • l’Equipe
  • Identité

Vous n’êtes évidemment pas obligé de renseigner toutes les rubriques, mais pensez bien que si vous ne mettez pas de photo, Google ira se servir des photos qu’il a prises quand il est passé dans votre rue avec sa voiture équipée d’une caméra en 360°.

C’est ce qui s’est passé avec le malheureux boulanger dont il est question au début de cet article.

Si vous avez 2 grosses poubelles devant votre immeuble ou devant votre maison : pas de bol.

Donc la première chose à faire, c’est de sortir de chez vous, de prendre de belles photos de votre façade, votre jardin, ou d’un parc à proximité, puis de personnaliser vos photos extérieures.

Puis idem pour les autres rubriques, notamment, l’intérieur de vos locaux.

A vous de jouer

Si vous avez une activité sédentaire, ces opérations sont absolument capitales.

Quand une personne cherche un salon d’esthétique, un restaurant, une boulangerie, ou alors un maçon, une thérapeute ou un docteur, et que c’est précisément ce que vous êtes, vous DEVEZ apparaître sur la carte qu’ils affichent.

Et plus ils auront de renseignements, mieux ce sera.

Sans parler des avis Google, qui peuvent être renseignés par vos clients. N’hésitez pas d’ailleurs à en demander à vos meilleurs clients.

Aviez-vous déjà fait les démarches pour ça ? Si ce n’est pas le cas, attaquez tout de suite.


Comment capitaliser sur l’avenir plutôt que sur de l’éphémère

Ce que je constate le plus dans l’entrepreneuriat, c’est le décalage qu’il y a entre la réalité et les attentes des gens.

Pour beaucoup, qui arrivent dans ce domaine via une formation ou un guide, tout semble rose au début, et puis au bout de 3 ou 4 mois, quand on fait les comptes de ce qui est rentré et de ce qui est sorti, la grosse majorité abandonne, et repart comme avant, la queue entre les pattes.

La faute est certainement due à tous ceux et toutes celles qui vous font miroiter qu’il suffit d’une bonne publicité Facebook pour faire venir du trafic qualifié illimité à l’entrée de son tunnel de vente.

En théorie, c’est plus ou moins vrai : si vous avez une voiture qui marche, vous y mettez de l’essence dedans et elle avance.

Dans la pratique, l’essence n’est pas la même le lundi que celle du mardi avec une pub Facebook. Et si une pub fonctionne pendant une semaine, elle peut tout à fait faire peanuts la semaine suivante.

Et surtout, dès que vous arrêtez de faire de la pub, le trafic s’arrête aussi. C’est logique.

La bonne méthode

Ce qui fait qu’au bout du compte, la seule vraie méthode qui fonctionne, c’est d’écrire le plus souvent possible, sur des sujets que beaucoup de gens cherchent sur les moteurs de recherche.

Si à chaque fois qu’une personne cherche quelque chose de précis sur Internet (« comment faire un café avec une simple bouteille d’eau en guise de cafetière« , par exemple) et que l’un de vos articles se trouve en bonne place dans les résultats de recherche, alors des gens vont venir voir ce que vous avez écrit à ce sujet.

Aujourd’hui, demain, la semaine prochaine, pendant le mois d’août, dans 50 ans… Ce sera pareil.

Il se peut que d’autres personnes écrivent d’autres articles sur le sujet et vous passent devant, et si votre sujet devient très sensible, alors il vous faudra écrire encore, mais une fois que vous avez écrit un article sur votre blog, il est accessible à vie.

Et ça, c’est le seul truc vraiment valable pour faire venir du monde.

Parce que ça se passe CHEZ VOUS. C’est vous qui contrôlez ce qui est écrit sur votre blog, et si vous avez fait en sorte que celui-ci se renouvelle chaque année, alors votre contenu et votre blog sont accessibles ad-vitam aeternam.

Ecrire un post sur Facebook, c’est comme aller écrire votre prose sur les murs du métro. Le jour où la RATP a décidé de nettoyer ses murs, pouf… votre contenu disparaît.

Sans compter que ce que vous écrivez sur Facebook n’est quasiment plus accessible au bout d’un mois par des gens nouveaux. Qui ne voient que vos derniers posts.

Si je devais redémarrer de zéro

Bref… Si j’avais à redémarrer de zéro, je me concentrerais sur l’écriture d’articles en masse sur mon sujet. Quitte à mettre un budget conséquent dans des services comme TextBroker, qui fournissent des rédacteurs web.

Et plutôt que de dépenser 1500 euros en 2 ou 3 mois en pub Facebook, je préférerais les mettre dans une centaine d’articles de bonne qualité que je posterais à raison de 70% sur mon blog, et à 30% ailleurs avec des liens vers mon blog.

Ça mettrait sûrement 5 à 6 mois avant d’avoir 500 personnes par jour sur mon blog, mais une fois ce chiffre atteint, ça ne ferait que croître.

Je suis toujours effaré de voir qu’encore aujourd’hui, beaucoup préfèrent investir dans de l’éphémère plutôt que dans le long terme.

L’idéal serait de faire les deux, mais hélas, ça se passe difficilement comme ça dans la réalité parce que lorsqu’on se met sur de la pub Facebook, ça nous prend 100% de notre énergie. Chaque jour. Et les résultats sont tellement anxiogènes la plupart du  temps, qu’à la fin, quand on se retourne sur le chemin parcouru, on se dit que finalement on a perdu du temps.

Temps qui ne se rattrape pas.

Alors qu’en passant le même temps à écrire des articles, on capitalise sur notre avenir, et sur l’avenir de notre entreprise.

Pour aller plus vite

Quoi qu’il arrive, la base, c’est l’écriture de contenu. Et je parle de contenus TEXTUELS. On peut aussi créer des vidéos à poster sur Youtube, mais il faudra aussi rajouter du texte dans la description, parce qu’il n’existe pour le moment aucun moteur capable de reconnaître un mot dans une vidéo.

Donc tant que ce sera le cas, il faudra du texte.

Et pour faire connaître les articles que vous écrivez, vous pourriez aussi faire de la pub Facebook (ou Google) pour faire venir les gens dessus. Mais cela ne devrait représenter que 25% de ce que vous dépensez pour la création d’articles.

L’idéal serait évidemment de proposer quelque chose en échange de l’adresse email du visiteur afin que vous puissiez lui envoyer par la suite un mail à chaque nouvelle publication, afin de le faire revenir le plus souvent possible.

Vous pourriez aussi envoyer ce mail une seule fois par semaine, en donnant la liste de ce que vous avez écrit, avec une bonne liste de bénéfices assortis (tirés évidemment de ce que vous avez raconté dans vos articles).

En conclusion

Peut-être que vous suivez une formation actuellement. Qui vous apprend comment développer une activité sur Internet.

Quel que soit votre domaine, votre thème ou votre spécialité, vous devriez rajouter l’écriture d’articles à vos tâches de la journée.

Techniquement, créer un blog est facile aujourd’hui, ça se faire en 15 minutes.

Si vous êtes sur Infomaniak, c’est 5 minutes chrono, vous avez juste à cliquer sur un bouton et il vous installe ça en 3 clics. Je crois que sur OVH, c’est pareil.

Une fois votre blog créé, choisissez un thème simple et accessible comme Lovecraft par exemple, qui présente votre texte de manière ergonomique et intelligente, et commencez à écrire vos premiers articles.

Un par jour d’au moins 300 mots pendant 6 mois, c’est le secret du succès. Avec si possible 10 articles de plus de 1800 mots pour vos thèmes principaux.

Faites venir du monde sur ces gros articles via Facebook ou Google, en attendant qu’ils apparaissent en bonne place sur les moteurs, et rajoutez évidemment un formulaire de capture d’email au bas de chacun d’eux.

Une fois que cette routine est en place, poursuivez tranquillement votre formation, mais au moins, votre machine à créer du contenu est en place.

Et cette routine-là, c’est le meilleur capital qui existe aujourd’hui sur Internet.


Et si vous deveniez la marquise de la publicité Facebook

Aujourd’hui, on va s’intéresser aux Pub Facebook.

Un monde tellement hermétique et tellement complexe qu’il faudrait des années pour en faire le tour.

Les 4 articles que nous vous proposons aujourd’hui rassemblent les meilleures astuces qu’on a pu trouver. J’espère que vous y trouverez de quoi avancer au mieux dans ce domaine.

Article #1 : La publicité sur Facebook : guide complet pour 2020

De Christina du blog Hootsuite

Les publicités sur Facebook vous permettent d’interagir avec votre public sur le plus grand réseau social du monde.

Il peut être difficile d’établir des liens avec vos fans de façon naturelle en raison de l’évolution constante de l’algorithme de Facebook. Heureusement, les fonctionnalités de micro-ciblage proposées par la plateforme vous permettent d’atteindre précisément votre public cible. Facebook s’assure ainsi que vos publicités atteignent les utilisateurs les plus susceptibles d’acheter vos produits ou services.

Il s’agit d’un atout remarquable en termes de budget, de taux de conversion et de retour sur investissement, car vous payez uniquement pour atteindre les prospects qui ont le plus de potentiel.

Pour obtenir de bons résultats, vous devez impérativement comprendre les différents types de publicités Facebook et les options de ciblage proposées avant de commencer à les utiliser. Nous vous expliquerons tout ce que vous devez savoir dans ce guide, de la planification de votre première publicité à l’élaboration de campagnes publicitaires avancées.

Découvrez la suite ici

Article #2 : Facebook Ads : 5 habitudes à adopter pour des publicités efficaces

De Julia du blog Idontthink

Généralement, il y a deux écoles en ce qui concerne la publicité Facebook : ceux qui s’en sortent et qui dépensent de l’argent pour en gagner, et ceux qui perdent de l’argent inutilement. La principale différence entre ces deux écoles, c’est que certains ont des bonnes habitudes, d’autres moins. Aujourd’hui, je veux te lister toutes les bonnes habitudes qu’il faut prendre pour réaliser des publicités Facebook efficaces pour arrêter de dépenser de l’argent inutilement au quotidien. Ces conseils sont tous issus de mon expérience en social media management.

Arrêter de « booster » les publications

Beaucoup croient que réaliser de la publicité sur Facebook ou sur Instagram consiste à cliquer sur le petit bouton bleu en dessous des publications « booster la publication »… STOOOOP ! Au delà du fait que ce n’est pas la bonne manière de faire de la publicité, c’est celle qui vous fait perdre le plus d’argent. Cette façon de créer une publicité a été conçue pour les personnes qui n’ont pas envie de mettre le nez dans le Business Manager, ou qui n’ont simplement pas envie de se prendre la tête pour un “simple” boost. Et pourtant, choisir cette option, c’est cracher volontairement sur de puissantes fonctionnalités. Je m’explique :

La suite ici

Article #3 : 9 astuces pour augmenter les conversions de vos publicités Facebook

De Danilo du blog Semrush

Faites-vous de la publicité Facebook ?

Si oui, vous devez savoir comme moi à quel point c’est accessible au plus grand monde.

En fait, Facebook vous guide même pour faire votre première publicité. Tout ce que vous avez à faire, c’est définir votre objectif. Ensuite, trouver une audience et enfin concevoir votre publicité.

Mais est-ce que pour autant il est facile d’obtenir de bons résultats ?

Vous l’avez deviné … Non !

Pourquoi ?

Parce qu’il y a tellement d’éléments à prendre en compte quand vous faites une publicité Facebook comme :

  • La campagne : Facebook propose plus de 10 objectifs, lequel devez-vous choisir ?
  • L’audience : Avec toutes les possibilités de ciblage de Facebook, quel est le bon ciblage pour vous ? Audience personnalisée ? Audience similaire ? Ciblage par intérêts ?
  • Les placements : Où allez-vous laisser tourner vos publicités ? Dans le fil d’actualités (mais c’est très compétitif), la colonne de droite ou Instagram ?
  • La publicité : Quels mots employer ? Comment écrire un bon titre ? Quel image va le mieux fonctionner ?

Avec le temps, j’ai remarqué que le plus gros problème d’une publicité Facebook est un faible taux de clic (CTR).

Un faible taux de clic indique que votre publicité n’est pas appréciée par votre audience. Soit, vous vous êtes trompé dans votre ciblage soit c’est votre publicité qui n’est pas bien faite.

Heureusement, vous pouvez améliorer votre taux de clic avec quelques astuces (pas forcément courantes) que je vais vous partager dans cet article !

Les 9 astuces ici

Article #4 : 4 erreurs qui peuvent mettre K.O vos publicités Facebook

De Jérémy du blog Webmarketing & Co’m

Lorsque l’on déploie des campagnes publicitaires sur Facebook, on se focalise souvent sur son produit et sur son contenu créatif, et on en oublie les bases. Pour ne pas vous faire sortir du ring, voici les 4 facteurs à prendre en considération pour obtenir de meilleurs résultats sur vos publicités…

La taille de l’audience

Navré de vous le dire, mais… la taille, ça compte !

Si vous avez un budget marketing conséquent et que votre marque peut le justifier, une audience massive peut être définie. Mais s’il est plus petit (peut-être parce que vous commencez à peine à expérimenter les publicités sur Facebook), n’essayez pas de cibler, par exemple, toutes les femmes qui utilisent Facebook en France. Bien que cela puisse paraître attrayant, cette cible est beaucoup trop large.

D’un autre côté, une audience très restreinte limitera naturellement le nombre de personnes qui verront votre publicité. Il est raisonnable d’estimer que si 1000 personnes la voient, 30 à 50 personnes pourraient cliquer dessus et visiter votre site. De ces derniers, un ou deux pourront acheter quelque chose.

L’exception à cette règle est la création d’une campagne basée sur certaines interactions, comme l’abandon du panier sur votre boutique en ligne, qui se met à jour automatiquement et donne généralement de très bons résultats avec une audience réduite.

Les 3 autres erreurs à éviter ici

En espérant que ça vous aura donné un déclic pour vous lancer si vous n’en avez jamais fait, et pour vous améliorer si c’est déjà quelque chose d’inclus dans votre stratégie.


La puissance des lives Facebook…

La meilleure manière de se faire connaître aujourd’hui, je veux dire la plus rapide, c’est de faire un live sur Facebook.

Évidemment il y aura plein d’autres choses à faire après, mais si cette période de confinement nous a bien appris quelque chose, c’est que beaucoup de valeur peut être partagée dans un direct.

Beaucoup de musiciens ont décidé de faire des lives gratuits pour faire une sorte de mini concert à domicile. Ça a généré une telle empathie, que le tout s’est partagé des dizaines de milliers de fois.

Et beaucoup ont augmenté leur nombre de fans sur Facebook grâce à ça.

Trafic facile

Quand on fait un direct, on peut livrer de la valeur de manière authentique, ce qui permet aux gens de voir très vite qui vous êtes et ce que vous avez à offrir.

L’idéal ensuite c’est de mettre des liens de telle sorte que les gens puissent donner leur adresse e-mail en échange d’un document ou d’une vidéo supplémentaire.

Et encore… plusieurs expériences montrent qu’on n’est même pas obligé de demander l’e-mail aux gens tout de suite.

Vous pouvez en effet les laisser s’inscrire plus tard quand ils ont le document entre les mains.

Vous pourriez en effet donner par exemple des méthodes dans un PDF, et proposer aux gens un accès à un outil en ligne contre leur adresse email.

L’avantage, c’est que si on ne fait que donner, que ce soit à l’intérieur du live ou que ce soit à l’intérieur du document que vous offrez avec, il y a de fortes chances que votre publication (donc votre direct) soit partagé en masse.

Parce que c’est de la bienveillance pure et du cadeau absolu. Et plus vous aurez de partages, plus vous aurez de chances de voir de nouvelles personnes vous suivre.

De futurs produits

Et en plus vous pouvez tout à fait récupérer la vidéo du live, la poster sur YouTube, ou même la mettre dans un pack que vous vendrez plus tard.

Oui, décidément, les lives de Facebook c’est vraiment la manière la plus moderne est la plus intelligente du moment pour faire grossir sa liste, et par extension faire grossir son chiffre d’affaires.

Ça demande évidemment un peu de courage et d’assiduité pour le faire le plus fréquemment possible afin de toucher un maximum de personnes, mais après tout, ça fait partie du job, non ?

Ça vous tente, vous, de faire ça ? Vous avez déjà essayé ?


Quand une simple erreur multiplie vos résultats par 1000

Allez, aujourd’hui, on va regarder une petite succession de spots sympa, dont un (anti-Trump) qui a connu un succès colossal, à cause d’une simple connerie du mec concerné (Trump, donc).

Je vous laisse découvrir tout ça dans cette vidéo (entre autres bijoux), et je vous retrouve après, pour la leçon à tirer de tout ça.

Le pouvoir de l’erreur…

Vous l’avez vu, il a suffit d’un simple [Remplacez avec ce que vous avez vu dans la vidéo] pour que la vidéo passe de 11000 à 10 millions de vues en quelques heures…

Trump doit s’en mordre les doigts maintenant…

Ça rejoint l’astuce dont parle Jérémy dans le livre sur la manière d’avoir un blog sans rédiger dont je vous parlais hier, avec les stars qui débarquent sur votre blog à cause d’une simple erreur.

Et quand elle est volontaire, c’est encore plus jouissif.

Un jour, je travaillais dans une agence immobilière, et vers midi moins 5, on a reçu un fax qui disait un truc du genre : « Salut Sophie, n’oublie pas d’acheter du MachinTruc avant de rentrer, car ils seront en rupture à partir de lundi. J’en parle aussi à Michel. »

Il n’y avait aucune Sophie ni aucun Michel dans cette agence, et j’ai pris le parti d’appeler le numéro qui se trouvait sur le fax. Je suis tombé dans une agence de marketing qui notait combien de gens appelaient suite à cette soit-disant erreur.

Ils en profitaient pour proposer leurs services de publicitaires.

Génial non ?

Voyez plus loin

Bref… Ici encore, n’hésitez pas à sortir des sentiers battus pour attirer du monde chez vous.

Les erreurs ou les « fausses » polémiques orchestrées font se déplacer les foules.

C’est un moyen comme un autre de sortir du cadre, de mettre du fun dans son job, et de faire en sorte que l’on se souvienne de vous pendant longtemps.

Ça me fait penser à ces deux jeunes qui avaient fait une fausse vidéos d’un accident de bus, pour se faire remarquer en tant que publicitaires.

Ils avaient été engagés direct par une grosse agence.

Si je retrouve la vidéo, je vous la mettrai un de ces dimanches.

Pour aujourd’hui, voici la photo du jour : 😀

Un excellent dimanche à vous.

 


« On n’a pas besoin de produire de contenu pour réussir »

Je viens encore de tomber sur une pub Facebook d’un gars qui dit un truc du genre :

« Avoir un blog, publier un article par semaine dessus, pire, le faire tous les jours, est la chose la plus absurde que l’on puisse voir en 2020. Et tous ceux qui t’affirment le contraire sont des gros loosers qui n’ont rien compris au business Internet. Viens me voir plutôt, et je vais t’apprendre comment devenir un coach qui attire les clients à la pelle sans que tu aies besoin d’avoir le moindre contenu sur Internet, et même si tu débutes… »

Bon… Au vu des réactions des gens et de la somme de conneries que contient cette pub, j’imagine que c’est un test pour voir si l’argumentation négative fonctionne. Et j’imagine aussi que cette pub disparaîtra des écrans avant ce soir.

Mais bon… Ça soulève tout de même 2 problèmes de fond assez importants.

L’argumentation négative se fait avec bon sens

Le premier, c’est que l’argumentation négative, c’est quelque chose qui se pratique avec conscience et intelligence. Le but n’est pas de dire n’importe quoi histoire de faire réagir les gens.

Pour information, sur Facebook, si vous vous prenez des centaines d’appréciations négatives + des signalements de pub (trompeuses, pour le coup) + des commentaires négatifs, ce n’est pas juste votre pub qui en pâtit : c’est votre business tout entier.

Déjà parce que lors des prochaines pubs que vous mettrez, Facebook vous mettra un flag de surveillance pour voir si vous ne déconnez pas trop, et ensuite parce qu’avec cette surveillance, ils vous feront payer les clics bien plus chers.

Mais quand en plus vous vous payez le luxe de faire passer vos concurrents pour des ignorants, forcément, ça n’encouragera plus les éventuels partenariats.

Donc, déjà, quand on s’essaye à l’argumentation négative, autant être sûr de le faire bien, et de le faire viser par quelqu’un qui saura prévoir les éventuelles retombées négatives de tels ou tels mots (ou actions).

Cette notion d’argumentaire négatif s’appelait autrement dans la vraie vie de commercial d’avant : c’était ce qu’on appelait la technique de la « terre brûlée« .

Un gars arrivait, il racontait n’importe quoi pour vendre à tout prix, il vendait, et quand le client s’apercevait ensuite qu’on l’avait un peu enfumé, il décidait alors d’aller voir une autre entreprise pour les commandes suivantes.

Avec les formations sur Internet, c’est pire, car la majorité des gens investissent des fortunes pour quelque chose sensé leur rapporter de l’argent « de manière illimitée en bossant 2 heures par jour« ,mais au but du compte, ils ne trouvent pas de clients.

Donc c’est un fiasco.

Et c’est là que les petites lignes des conditions générales de vente indiquent que les résultats ne sont pas garantis, qu’il fallait mieux lire, et bla bla bla…

Mais au-delà de l’argumentaire, il y a aussi l’idée derrière celui-ci :

« On n’a pas besoin de produire de contenu pour réussir »

Si vous lisez mes articles régulièrement, vous savez bien ce que je pense de ce genre d’affirmation.

Avec le nombre croissant de blogs, de formations en ligne, de coachs et aussi de gens qui cherchent à gagner de l’argent via Internet, quand vous publiez un article, aujourd’hui, vous êtes au milieu de centaines de milliers d’autres articles.

Qui sont là depuis des mois et des années, voire des décennies.

Donc la seule manière d’être visible, c’est d’écrire plus souvent que les autres, et d’écrire de manière plus rayonnante. j’en ai déjà parlé.

Si vous voulez accompagner des gens en tant que coach (par exemple), il n’y a pas 36 solutions pour que les gens vous trouvent. Soit vous écrivez quelque chose à un endroit où les gens vous voient, soit vous payez cher pour écrire une pub qui va se placer devant leurs yeux à chaque fois qu’ils seront sur un site ou sur Facebook – ou sur Google.

Si vous avez 1000 à 2000 euros d’avance, vous pouvez choisir la deuxième solution. Sans problème. Et espérer que vous avez des arguments assez solide pour trouver le client qui vous paiera votre prochaine pub avant d’avoir dépensé tout votre budget.

Et si vous choisissez cette deuxième solution, vous devrez payer encore et toujours, tout le temps si vous comptez trouver des nouveaux clients.

Mais en plus, en faisant comme ça, vous aurez néanmoins besoin d’avoir un site assez solidement argumenté, à défaut d’un blog où l’on puisse voir ce que vous écrivez, et donc ce que vous valez, parce que quoi qu’en dise l’idiot dont je parlais en début d’article, je vois difficilement quelqu’un vous lâcher 4000 euros comme ça d’un coup sans en savoir un minimum sur vous qui vous proposez de l’accompagner.

Je l’ai toujours dit : c’est très facile de voir ce que vous valez dans un domaine avec 80 articles sur la question. On peut tromper beaucoup de personnes avec une pub et de belles paroles, mais pas une seule ne sera dupe au vu de 80 articles : soit vous écrivez sur quelque chose que vous maîtrisez, soit vous survolez le concept et les gens s’aperçoivent vite que vous ne maîtrisez rien.

Donc, évidemment, si vous publiez des articles tous les jours sur votre blog, des posts sur les réseaux, et des vidéos en direct où vous voulez, sans payer le moindre cent, vous attirerez des gens qui viendront voir ce que vous faites.

Mais vous construirez aussi votre crédibilité et votre notoriété.

Et vous contribuerez aussi à apprendre des choses aux gens, qui vous feront suivre de manière de plus en plus régulière car vos écrits seront partagés.

Et pour finir…

Garder ses prospects ne se fait pas sans mots

Le pire de l’histoire, selon moi, c’est qu’imaginer qu’on va garder les prospects qu’on a attiré grâce à la pub sans leur écrire régulièrement est une hérésie totale.

Quand vous aurez dépensé 2000 euros pour faire venir 400 personnes vers vous (si votre pub est bien écrite, sinon, ça tournera autour des 200), et que 399 de ces personnes ne vous auront pas lâché le moindre cent, si vous souhaitez les « relancer » de temps en temps, il va falloir vous mettre à écrire.

Et à écrire beaucoup beaucoup. Et souvent.

Par mail, sur un blog, sur des réseaux. Pour que ces fameux prospects finissent au mieux par faire un coaching avec vous, ou qu’au moins vous puissiez leur vendre quelque chose de plus accessible.

Aujourd’hui, il ne viendrait pas à l’idée de qui que ce soit de sensé d’avoir une liste de prospects qui grandit grâce à de la pub très chère, et de ne pas leur écrire fréquemment pour que petit à petit ils se transforment en clients…

Bref, vous l’aurez compris : ceux qui réussissent publient du contenu tous les jours. Pas forcément avec des articles, mais avec des publications sur Facebook, des vidéos ou des emails.

Et toutes les pubs qui vous promettront qu’on peut réussir sans contenu devraient être signalées comme trompeuses.

Ça n’existe pas 😉

Présentez-moi une seule personne dans l’accompagnement, le coaching ou la vente de produits numériques sur Internet, qui a réussi sans produire un contenu de masse.

Cherchez combien de mails elle a envoyé à ses prospects. Le nombre de posts de sa page Facebook. Le nombre de vidéos de sa chaîne Youtube. Le nombre d’articles sur son blog. Le nombre d’interviews sur des chaines de TV… Cherchez bien… Il y en a des milliers.

Le contenu est et sera toujours le roi. Et plus on avance vers l’avenir, plus il faudra en fournir. C’est la seule et unique denrée qui permet de réussir.

 


Comment créer du buzz sur les réseaux sociaux

Samedi dernier, nous avions parlé du « buzz-marketing » autour du lancement d’un produit.

Cette semaine, nous allons poursuivre le concept en nous intéressant à une autre forme de buzz, à savoir celui que l’on peut faire sur les médias sociaux

Je ne vais pas vous expliquer ce qu’est un buzz de réseau social, j’en avais déjà parlé dans mon précédent article à propos de trouver des excuses aux abrutis, vous vous rappelez ?

Je vais laisser le soin à Maria Bodin de vous expliquer ce que c’est avec un exemple tout ce qu’il y a de plus parlant :

Maintenant que vous savez ça, voici 3 articles qui vous montrent comment faire pour déclencher un buzz sur les réseaux sociaux :

Article #1 : Comment créer le buzz sur Facebook ?

Du blog Webmarketing Conseil

Comment créer le buzz sur Facebook ? Comment faire tourner de mur en mur vos photos et vidéos sur Facebook ? Comment utiliser au mieux le potentiel de bouche-à-oreille du plus grand des réseaux sociaux pour rendre visible votre marque. Comment augmenter la viralité de vos contenus ? Malgré la baisse de la portée des publications observée sur Facebook suite à la mise en place de l’edgerank, Facebook reste un puissant outil pour (essayer de) faire le buzz. Pour ma part, je déteste l’expression “créer le buzz”.

Faire le buzz sur Facebook

Le principe du marketing viral est de susciter naturellement le partage et le bouche-à-oreille.

Facebook n’est qu’une plateforme et obéit aux mêmes règles de viralité que celles valables dans la vie.

  • Pourquoi partagez-vous telle vidéo ou telle photo plutôt qu’une autre sur vos réseaux sociaux préférés ?
  • Pourquoi abordez-vous un sujet en particulier dans un soirée ? (ex : tu as entendu parler de… ? tu as vu la vidéo sur… ?)
  • Pourquoi colportez-vous certaines rumeurs et infos croustillantes ?
  • Quels sites Internet avez-vous naturellement envie de montrer, conseiller, partager pour surprendre, choquer, émerveiller vos proches, vos amis, vos collègues.

Si votre page Facebook suscite des réactions positives ou négatives fortes lorsque vous la présentez à vos connaissances, alors vous êtes sur la voie qui mène à plus d’engagement, donc plus d’audience sur Facebook.

Sur Facebook, la viralité se joue à 4 niveaux :

La suite de cet article ici…

Article #2 : Buzz, Rock’n Roll et vidéos

Du blog Webmaster Referencement

Comment faire le buzz sur Youtube quand on a une vidéo à faire connaître ? Vous venez de mettre en ligne votre dernier morceau/sketch sur Youtube, et vous voulez le faire découvrir au reste du monde ? Voici les stratégies à mettre en place…

Pour percer et se faire découvrir, il faut avoir des vidéos qui cartonnent

C’est en effet souvent sur ce dernier critère que les maisons de production jugent le talent d’un artiste.

Elles regardent avec plus d’intérêt ceux qui font 50 000 vues sur Youtube… Or pour atteindre un tel nombre de consultations, il faut souvent créer le buzz !

Comment augmenter le nombre de vues de vos vidéos ?

Ces conseils s’adressent aux chanteurs/chanteuses, membres d’un groupe, quel que soit le genre musical (rock, pop, rap, etc.) mais aussi aux comédiens, acteurs, bref, à tous ceux qui veulent faire le buzz !

Découvrez la suite ici

Article #3 : Le secret pour avoir un compte Instagram qui cartonne

Du blog Musictips

Pourquoi Instagram est LE bon réseau social ?

  • Parce que votre cible est partout pas uniquement en FRANCE (les hashtags sont internationaux / souvent en anglais)
  • Parce que votre produit/projet peut se photographier et se partager ?
  • Parce que vous souhaitez voir grossir votre audience et que vous avez quelques choses à vendre ?
  • Parce que beaucoup de gens ne sont pas sur Facebook
  • Parce que vous avez mis plusieurs centaines d’euros dans un smartphone alors pourquoi ne pas faire de belles photos ?
  1. Trouver vos amis

Suivre tous vos amis Facebook est la première étape pour augmenter votre nombre de Followers. Prenez ça comme un « coucou » de votre part.

Dès qu’un ami vous suit, jugez si il est pertinent que vous le suiviez en retour et ainsi vous allez avoir de moins en moins de personnes à suivre et de plus en plus de Followers.

Les 11 autres astuces sont juste ici

En espérant que toutes ces astuces vous rapprocheront de la célébrité.


41 techniques pour créer un « buzz marketing »

Vous connaissez forcément ce concept, pas vrai ? Si vous avez un blog, ou un produit à vendre, ou même une prestation à proposer et que vous utilisez Internet, alors vous avez déjà entendu parler de « buzz marketing« .

Wikipedia définit le « buzz » (Terme anglais signifiant « bourdonnement » d’insecte) comme étant une technique marketing consistant à susciter du bouche à oreille autour d’un événement, d’un produit ou d’une offre commerciale et, ce faisant, des retombées dans les médias.

Selon Seth Godin, le but du buzz marketing est d’attirer l’attention, de susciter de vives réactions, de créer des polémiques, de provoquer, de raconter au consommateur « une histoire ».

Les campagnes de buzz marketing sont très faciles à lancer et se diffusent rapidement, de plus elles ont un rendement exponentiel car elles ne cessent de s’amplifier. C’est ce que certains définissent comme le « marketing viral ».

Les 6 leviers d’un buzz marketing

Selon l’entrepreneur américain Mark Hughes, il y a six leviers (des « boutons », qu’on peut « pousser », selon ses termes) à employer pour susciter un buzz :

  • le tabou : faire parler de quelque chose dont personne n’ose parler ouvertement (par exemple la sexualité),
  • l’insolite : par exemple créer un site de rencontres en ligne pour les obèses,
  • le scandale : avancer une idée choquante tout en restant dans la limite du « moral » étant entendu que le point de vue moral est extensible et dépend de la culture du public ciblé
  • l’hilarité : par exemple faire appel à l’humour de répétition,
  • l’admiration : la susciter en faisant quelque chose de remarquable
  • le secret : dire qu’on a envie de partager un secret au plus vite (le secret est valorisant pour le consommateur car celui-ci a le sentiment d’être mis dans la confidence).

Toujours selon Mark Hughes, ce n’est pas la taille du budget marketing qui va déterminer l’ampleur du buzz mais la capacité à utiliser intelligemment ces six leviers.

Aujourd’hui et samedi prochain, je vous ai trouvé 3 gros articles qui vous donnent 41 techniques pour utiliser ces différents leviers du buzz marketing pour votre business.

Article #1 : Comment créer le buzz ? 10 astuces

Du blog WikiCréa

Qu’est-ce que le buzz marketing ? Pourquoi mettre en place une campagne de marketing viral ? Quels sont les moyens à disposition des entreprises pour créer le buzz ? WikiCréa vous donne ses conseils et astuces.

Dans le cadre du marketing viral, tout le monde peut participer à la diffusion du contenu : le prospect, le client, l’utilisateur, l’employé de l’entreprise, etc. Toutes ces personnes interviennent dans le processus de recommandation, via le partage d’un contenu qui devient viral.

Pour l’entreprise, la clé consiste à créer un contenu publicitaire sans en avoir l’air…

Le succès d’une campagne de marketing viral s’apparente à la quête du Graal : le taux d’échec est très élevé, et tout se joue sur d’infimes détails. Pourtant, il existe des astuces et bonnes pratiques pour multiplier ses chances de réussite.

Voici tout ce qu’il faut savoir pour créer le buzz ou lancer une campagne de marketing viral.

Même s’il peut arriver de déclencher un buzz involontaire (ce qui est généralement le cas des “bad buzz”), les campagnes de marketing viral sont par définition « marketées » et ciblées.

Les campagnes de marketing viral sont nombreuses et les annonceurs peinent à surprendre un public saturé d’images et de vidéos. En moyenne, seulement une campagne sur dix atteindrait la viralité.

Face à ce très faible taux de réussite, les annonceurs doivent miser sur des campagnes de qualité, parfaitement intégrées dans le paysage des tendances.

Voici quelques critères qui vous permettront de vous démarquer :

Retrouvez les 10 astuces juste ici…

Article #2 : Comment faire du buzz autour du lancement d’un produit ?

Du blog Conseils Marketing

Lorsque l’on sort un nouveau produit, un nouveau site… un élément majeur à bien travailler c’est son plan de communication et de promotion.

C’est pourquoi nous allons vous présenter dans cet article deux retours d’expériences de lancement d’eBooks :

  • Dans la première partie nous verrons les 8 leçons qu’à retenu Darren Rowse (traduction d’un de ses article), le blogger professionnel N°1 dans le monde, sur le lancement de son premier eBook sur la Photographie “Les Portraits“. En effet il a vendu 4800 livres en 1 semaine, soit 72 000 $ de CA avec un prix unitaire de 20 $.
  • Dans la seconde partie nous vous présenteront les 10 principaux outils “low cost” que nous utilisons pour promouvoir les eBooks gratuits de ConseilsMarketing.fr.

A partir de ces deux exemples nous vous donnerons de bonnes pistes pour apprendre à faire connaître votre site Web ou vos produits sur Internet !

Découvrez les 7 leçons ici

Article #3 : 23 façons de construire un buzz colossal pour le pré-lancement d’un produit

Du blog Codeur Mag

Votre produit est prêt. Enfin ! Vous avez investi du temps, de l’argent et des ressources. Le produit doit être un succès, sinon, tout cela n’aura servi à rien.

Vous allez le publier, c’est bon tout est paré, let’s go ! Vous avez finalement lancé le produit et … rien … Personne ne se soucie ni n’achète votre nouveau produit. Qu’est-il arrivé ?

Vous avez foiré, voilà tout. Vous n’avez pas construit le buzz pour le pré-lancement.

Je ne veux pas que ce genre de choses arrive à d’autres. Grâce à mon expérience et à mes nombreuses collaborations avec des entreprises, voici quelques façons de construire un véritable buzz avant la publication de votre produit pour éviter l’échec.

Découvrez les 23 astuces ici…

A vous de jouer !

Vous ne pourrez pas forcément tout appliquer pour vous. Mais il y a des astuces qui sont utilisables tout de suite.

Et comme je vous le disais il y a quelques temps, un buzz, c’est un truc qui arrive comme ça d’un coup, sans forcément s’y attendre.

Donc plus vous mettrez des techniques et des astuces en place en ce sens, plus vous vous rapprocherez de ce fameux buzz.

C’est une manière comme une autre de générer du trafic, n’est-ce pas ? A ce titre, c’est une activité qu’on devrait inclure chaque jour dans sa routine journalière.

En avant !


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