9 millions d’études
Comme je le disais il y a quelques jours, on vit une époque formidable.
Aujourd’hui, si vous voulez chercher quelques études scientifiques pour alimenter vos argumentaires de pages de vente (ou d’articles), il existe un site qui les regroupe – pratiquement – toutes.
Il s’agit du site PubMed Central.
Là-dessus, vous trouverez toutes les études que vous voulez sur tout.
Par exemple, si vous recherchez des études sur l’impact de la méditation, vous n’avez qu’à marquer « meditation » dans le champ de recherche, et vous en trouverez… 30.014 !
Vous cherchez à démontrer que l’Arnica Montana est l’un des meilleurs remède naturel qui existe contre les hématomes ou autre chose ? Il y a 1814 études complètes qui ont été faites à ce sujet.
Utilisez Chrome, et vous avez tous ces résultats en français.
Et la cerise sur le gâteau, c’est que ChatGPT y a accès aussi.
Vous pouvez donc lui demander d’intégrer toutes les études qu’il trouvera sur le thème de l’article que vous êtes en train d’écrire, et il vous donnera tout. Même le lien !!
Je ne sais pas si vous mesurez bien la chance que vous avez de vivre dans une époque pareille, si vous produisez ou vendez du contenu d’information.
Il y a seulement 2 ans, il vous aurait fallu 3 heures pour trouver 3 études qui augmente la confiance des gens dans ce que vous proposez.
Aujourd’hui, ça prend 14 secondes.
J’aime tellement cette époque !
31 mai 2023
Y aviez-vous pensé ?
Il y a quelques jours, je vous disais dans cet article à propos des témoignages, que le must du must, pour un témoignage, c’était d’avoir une vidéo, avec une vraie tête qui parle.
Quand je vous dis ça, vous vous dites peut-être que c’est pas gagné, et que vos clients ne maitrisent pas assez la technologie pour vous envoyer une vidéo de témoignage ?
Vous avez sans doute raison.
Par contre, après (grâce à ?) tout le bazar du confinement, la majorité des gens savent se servir de Zoom.
Pourquoi ne pas vous servir de ça pour obtenir des témoignages ?
C’est facile ! Vous organisez un petit webinaire rapide, ou simplement un débrief sur une partie de votre accompagnement, de votre formation ou de n’importe quel produit que vous vendez, et vous invitez vos clients.
Une fois que vous avez fini votre présentation, vous expliquez à vos clients que vous souhaitez recueillir des témoignages sur le produit en question, car « beaucoup préfèrent que ce ne soit pas moi qui parle de mon produit« .
Poursuivez en disant « qui mieux que vous pouvez en parler ? »
Et ensuite, demandez aux client.e.s qui sont là de laisser une impression, un témoignage, un retour sur le produit. Assurez-vous avant – bien sûr – que les personnes qui vont répondre acceptent d’être vue en vidéo sur votre page de vente.
Posez des questions pour les aider à vous donner leurs impressions, au cas où…
Vous pourrez alors, avec un logiciel de montage, extraire les différentes vidéos des participant.e.s qui vous auront laissé un témoignage, et vous les collerez sur votre page de vente.
Astuce : Dans Zoom, choisissez en haut à droit la présentation « Intervenant« . Ca vous permettra d’avoir la personne qui parle en plein écran. Plus facile de sélectionner la vidéo au montage.
Et voilà…
Je vous parle de zoom, mais vous pouvez aussi utiliser les duos Facebook…
Plus aucune excuse pour ne pas mettre de témoignages partout…
30 mai 2023
Il en a fait sa devise universelle…
Je viens d’avoir un livre sur Elon Musk entre les mains, et je l’ai parcouru avec avidité.
S’il y a bien un homme qui fait causer dans les chaumières, c’est lui.
On l’adore, on le déteste… mais quoi qu’il fasse, il ne laisse pas indifférent.
C’est un modèle à plus d’un titre pour les entrepreneurs que nous sommes.
Celui que je retiens aujourd’hui, c’est le fait d’apprendre par l’échec :
« Echoue encore. Echoue mieux« , disait Samuel Becket.
Elon Musk en a fait sa devise universelle.
Ce livre regorge d’exemples où il a appelé ses ingénieurs de Tesla ou de SpaceX au téléphone à 4 ou 5 heurs du matin, pour leur demander de modifier un truc sur une voiture ou sur une fusée, alors même que les ingénieurs s’arrachaient les chevaux en essayant de lui expliquer pourquoi c’était une mauvaise idée et pourquoi ça allait coûter des millions avant de réussir.
Quand ils étaient un peu trop « trouillards » à son goût, il les virait.
Purement et simplement.
Et il engageait des gens qui n’avaient pas peur d’échouer (et de faire ce que le boss demandait, aussi déjanté que ce soit).
C’est un peu extrême, mais on peut reprendre ce principe avec les arguments d’une page de vente.
Quand on passe beaucoup de temps à rédiger une page de vente, on en met des tartines.
Parce qu’on a des idées toute la journée.
Parce qu’on a vu un truc sur une autre page de vente qui ferait bien sur la nôtre.
Parce que quelqu’un nous a parlé d’un truc, et ça a fait tilt…
A la fin, on a une page de vente super longue, et on n’est même pas sûr que ça serve à quelque chose.
Donc, de temps en temps, il faut virer des trucs. Des mots, des phrases, des paragraphes entiers.
Ca fait moins radical que de virer des ingénieurs, mais ça peut faire une différence énorme dans les résultats.
Et en cela, il ne faut pas avoir peur de faire des coupes radicales.
Essayez, Qu’est-ce que vous risquez ?
Tentez. Testez. Et si ça échoue, recommencez en supprimant ou en rajoutant autre chose.
Envoyez 1000 personnes sur cette nouvelle page, et voyez si ça convertit mieux que l’ancien.
Elon vous dirait : Si votre page de vente ne transforme pas 1 lecteur sur 4 en client, c’est que vous n’avez pas assez travaillé dessus…
Un peu radical… Mais il a tellement raison !!
Les membres de Copywriting Pratique ont reçu par mail une action à faire en exemple dès maintenant.
Si vous n’êtes pas encore membre, il est temps de le devenir. Regardez ici.
29 mai 2023
Ca va vite, mais…
Depuis le 24 mai, vous pouvez installer un plugin (parmi des centaines d’autres) sur ChatPGT pour qu’il aille se connecter à Internet.
Vous pouvez alors lui demander d’aller visiter une page web, et à partir de là, il peut vous écrire 50 annonces FB ou LinkedIn basée sur ce qu’il trouve sur cette page, 25 emails de sensibilisation, et un nombre illimités d’articles de blog…
Vous pouvez même lui demander de vous extraire la structure complète d’une page de vente, en y enlevant tous les éléments à caractère spécifique.
Et à partir de cette structure, vous pouvez lui demander de réécrire une page de vente complète avec votre produit.
Si c’est un produit numérique (formation, ebook), vous pouvez lui donner, et lui se chargera d’en extraire les éléments les plus intéressants à inclure dans votre argumentaire.
Plus on avance, et plus l’IA va nous faire gagner du temps.
Alors qu’avant, il fallait une bonne semaine de recherche avant d’écrire la moindre ligne d’une page de vente, ce temps est passé à 15 minutes.
Et alors qu’il fallait une bonne semaine de plus pour écrire et réviser une page de vente complète, aujourd’hui, il faut 15 minutes.
On vit vraiment une époque formidable.
Par contre, à la fin, c’est VOUS qui devez avoir le dernier mot.
Pour aussi avancée que soit l’IA, et malgré tout ce qu’on peut lui faire faire, le dernier petit morceau qui manque à une lettre de vente fait toute la différence.
Comme le dernier degré qui fait passer l’eau de l’état liquide à l’état gazeux (à 99°, l’eau frémit mais ne bout pas), le dernier « grain de sel » que vous allez mettre sur votre page de vente fera que vous vendrez… ou pas.
Révisez toujours un texte produit par « quelqu’un » d’autre que vous. Que ce soit un rédacteur humain, ou numérique.
A la fin, c’est VOUS qui êtes responsable de ce qui se trouve sur vos sites web.
28 mai 2023
Les 7 questions primaires…
Quoi que vous vouliez vendre, il y a toujours 7 questions primaires à se poser avant tout le reste.
Les voici :
- QUI ? A qui vous adressez-vous ?
- QUOI ? Que fait votre produit pour eux ?
- POURQUOI ? Pourquoi votre produit est-il mieux que les autres ?
- COMMENT ? Comment pouvez-vous prouver ce que vous dites ?
- OÙ ? Où devriez-vous faire de la publicité pour atteindre les personnes intéressées ?
- QUAND ? Quel est le meilleur moment pour les atteindre ?
- COMBIEN ? A quel prix devez-vous le vendre pour en vendre le plus possible ?
Ces 7 questions peuvent vous permettre de créer les bases d’un argumentaire en quelques minutes, sur n’importe quoi.
Il vous suffit d’y répondre, comme si on vous interviewait.
Vous pouvez même demander à ChatGPT d’y répondre, si vous voulez.
Il vous suffit de lui coller les 7 questions ci-dessus, et de lui demander en ces termes :
Agis comme un copywriter de grand talent qui a plus de 15000 lettres de vente efficaces à son actif, ainsi que comme [un expert dans votre domaine] qui maîtrise parfaitement [ce sur quoi vous voulez qu’il écrive].
Réponds à ces 7 questions en prenant comme produit [votre produit ou votre prestation] :
Il vous répondra du mieux possible.
Et si vous voulez allez plus loin, vous pouvez lui demander :
A partir de ces 7 questions et de tes réponses, écris-moi une annonce Facebook courte, percutante et engageante qui dirigerait les meilleurs prospects sur la page de vente de ce produit. Indique-moi l’audience Facebook la plus qualifiée pour un maximum de potentiel d’achat :
Si vous lui demandez de vous en écrire 50 à tester les unes contre les autres, il vous les écrira aussi.
Ou une page de vente.
Ou des emails.
Tentez le coup avec votre prochain produit, vous verrez.
Ou avec un de vos produits existants.
Si ça se trouve, il vous donnera des trucs auxquels vous n’avez pas forcément pensé.
27 mai 2023
Bonjour, vous !
Mais comme j’en ai marre des gens qui me disent pas bonjour !
Je suis abonné à des dizaines de liste emails dans tous les domaines, en 3 langues (anglais, français et espagnol).
Il n’y a que les français qui se permettent d’aller direct à ce qu’ils ont à dire, sans passer par le « bonjour » de rigueur.
C’est dingue ça.
Pas un seul des emails que je reçois des US n’ose faire un truc pareil. Chaque mail commence par Hello, suivi du prénom.
Même les canadiens (francophones) disent toujours bonjour.
Je me demande d’où ça vient, ça.
Sûrement qu’un gourou a un jour dit qu’il ne fallait pas perdre de temps à dire bonjour, parce que ça usait des caractères et des millièmes de seconde avant d’arriver au contenu pertinent ?
Je trouve ça profondément affligeant.
L’email est un truc qui est censé garder le contact avec nos abonné.e.s.
L’idéal est d’écrire un email chaque jour pour rester dans l’esprit de celles et ceux qui nous font l’honneur de nous suivre.
La moindre des choses serait AU MOINS de les saluer avant de leur donner notre avis sur le reste.
Parfois, on se demande pourquoi on vend moins que prévu, pourquoi les gens se désabonnent ou vont voir ailleurs…
Parfois c’est juste une affaire de politesse.
26 mai 2023
Vous auriez assez confiance ?
Il y a 10 jours, j’ai voulu faire imprimer un livre.
Je l’ai déjà fait 100 fois (je suis éditeur à la base), et je pensais qu’en 2023, les choses seraient bien plus rapides et facile qu’en 2002, date à laquelle j’ai commencé à imprimer mes premiers livres.
Bon… J’ai pas eu de bol, je suis tombé sur l’entreprise d’impression la plus branquignole qui soit.
Je l’ai choisie comment ?
Connement, il faut le dire.
J’ai cliqué sur une annonce Google (la première) de la page sur la requête « Impression livre à la demande France« .
Je suis tombé sur une boite qui s’appelle PixartPrinting. Des allemands, qui impriment en Italie, et qui ont un site en .fr.
Ils ne sont pas trop chers, et les avis sur leur site étaient dithyrambiques pour beaucoup.
J’ai donc dit banco. Je commande, je paye, et je reçois leurs contraintes techniques…
Je ne suis pas un newbee en impression, je l’ai déjà fait plein de fois, je vous l’ai dit.
Mais làààà… Il faut bac+28 en design et en connaissances graphiques.
Il faut posséder des logiciels super chers dont on ne se sert jamais, modifier une à une les pages d’un fichier Word pour que ça colle à leur « gabarit », faire une image de couverture en 4 mètres sur 3 – et qu’on ne peut ensuite importer car c’est trop lourd…
Bref, une usine à gaz comme il en existe peu.
Bon… Je me plie quand même à ces exigences dignes d’une marche militaire… Et j’envoie.
Et c’est là que la valse commence.
Pas le bon gabarit de la couv, pas les bons espaces sur les pages, pas la bonne résolution des images, etc.
Un peu dépité, et après une dizaine de mails échangés, j’appelle le service clients, et lààààà, c’est la symphonie de clôture d’une séance du Cirque Gruss.
Je tombe sur un véritable décérébré qui me gueule dessus parce que je ne comprends rien en design, qui ne m’a pas laissé parler plus de 10 secondes, et qui n’a manifestement pas envie d’arranger les choses.
Obligé de raccrocher et d’annuler la commande…
Bon…
Inutile de vous recommander de ne surtout pas faire affaire avec PixartPrinting si vous avez des livres à imprimer.
Ensuite, comme je vous en parlais il y a quelques jours dans cet article sur les témoignages clients, les « avis », il faut les mettre (et les prendre) AILLEURS que sur le site de l’entreprise.
Quand je suis allé voir les avis de PixartPrinting sur TrustPilot, on était à 1,7/5 avec 290 avis… Et des commentaires qui recoupaient en substance ce que j’avais vécu tant au niveau technique qu’au niveau du service clients. Quel que soit le pays, d’ailleurs.
Marquez « pixartprinting trustpilot » sur Google, vous allez voir.
Ca me fait penser…
Vous avez assez confiance en vos clients pour ouvrir un compte TrustPilot et leur demander d’aller laisser un avis sur vos produits ?
25 mai 2023
Prévoyez des plans de secours
Mon auto-répondeur me joue des tours depuis quelques jours. Ou alors c’est moi qui suis totalement à côté de mes pompes…
Il m’envoie les messages 2 heures plus tard que prévu, certains sont envoyés à des listes que je n’avais pas sélectionnées…
Quand on est tributaire d’un service extérieur, on est un peu à la merci de ses défis et de ses problèmes. On en a tous.
Il y a quelques jours, il a envoyé un message à toutes mes listes. Toutes.
J’ai pu m’apercevoir du truc assez vite, ce qui fait qu’il n’y a eu que 6000 personnes qui ont reçu un message qui ne leur était pas destiné…
Sur les dizaines de milliers de contacts que j’ai sur cet auto-répondeur, ça fait peu, mais quand même, on s’aperçoit que certain.e.s sont de véritables psychopathes incontrôlables.
Entre les insultes de certain.e.s qui les ont reçus par erreur, les interprétations hâtives des autres, venant même parfois de personnes qui te disent être « ton amie », on peut voir que rien n’est jamais acquis dans ce monde de l’Internet.
Cela m’a fait réaliser 3 choses :
1. Quand vous avez une affaire sur Internet, même si ça fait 20 ans, une simple erreur peut vous mettre tout par terre.
Il faut développer des trésors de diplomatie et d’actions pour remettre tout d’aplomb.
C’est la dure loi de l’entreprenariat. Il faut l’accepter, et prévoir un maximum de plans de secours.
2. Aucune personne que vous rencontrez, en ligne ou dans la vraie vie, et avec qui vous avez affaire sur Internet, est 100% digne de confiance.
Au premier problème rencontré, les peurs ressurgiront en tout premier, et vous verrez le vrai visage des gens.
La plupart comprennent difficilement les erreurs des autres.
Certain.e.s y voient la malveillance en premier.
Autant être prêt, et éviter au maximum d’être dépendant d’un.e seul.e client.e ou d’un.e seul.e partenaire.
Et ne pas mettre trop d’enjeu émotionnel dans une relation de travail. Même si la personne dit être « votre amie ».
Ensemble on va plus loin, certes. Mais tout seul on va plus vite. Et de manière bien plus sécuritaire à mon gout.
3. Vous n’êtes pas infaillible. Personne ne l’est.
Quand on est entrepreneur, on est à la merci de plein de trucs, et c’est le plus souvent des éléments extérieurs.
On s’aperçoit alors qu’il faut développer des compétences pour tout, et qu’il faut pouvoir pallier les défaillances des gens qui vous entourent.
Plusieurs systèmes de paiement, plusieurs niches, plusieurs site web, plusieurs auto-répondeurs (dont un perso en cas de souci), plusieurs hébergeurs, plusieurs serveurs, plusieurs sauvegardes, plusieurs comptes sur les réseaux sociaux…
J’ai un copain qui a perdu 50.000 euros d’abonnement trimestriel (et 1000 clients) en 5 secondes, après que Paypal ait décidé qu’il ne voulait plus travailler avec lui.
Un autre qui s’est fait fermer son compte Stripe avec… 600.000 dollars dessus, qu’il n’a toujours pas pu récupérer à ce jour.
Un autre qui a vu son auto-répondeur fermé et qui a perdu 200.000 contacts en moins d’une minute.
Une autre qui s’est fait fermer son groupe Facebook avec 120.000 membres en quelques minutes, sans explications, perdant ainsi plus de 6 ans de travail patient pour le constituer et l’entretenir.
L’entreprenariat est un monde compliqué et dur.
On peut faire ce qu’on veut pour rendre le tout zen et sympa, pour autant, il faut être prêt à faire face aux tempêtes à tout moment.
Ca peut faire peur. Mais c’est le prix à payer.
Prévoyez des plans de secours. Vraiment !
Vous en êtes où de vos sauvegardes ?
24 mai 2023
La douloureuse incompréhension des témoignages clients
Ca fait quelques jours que je suis sur le fait de recueillir et d’améliorer ma banque de témoignages.
Oui, bien sûr, avec ChatGPT, on peut créer des centaines de faux témoignages sur un produit en quelques minutes.
Mais évidemment, tout le monde reconnait un faux témoignage.
Déjà, c’est instinctif, parce que ce n’est pas facile de feindre l’émotion et le ressenti humains. Et ça, les gens le voient très vite.
Ensuite, la plupart des vendeurs sur Internet n’ont pas compris le principe du témoignage. A quoi il sert vraiment en fait.
Alors vous trouvez des trucs du genre : « je peux te dire que tu es le seul formateur efficace et honnête que j’ai rencontré« .
Ou encore : « J’ai beaucoup apprécié votre formation et je suis ravi de pouvoir la revoir à un autre moment »
Ou encore : « Super ce ebook, j’ai appris plein de choses que je ne savais pas. »
Note : tous ces témoignages sont visibles en ligne sur divers produits en vente. Et je n’en ai mis qu’un centième de ce qui existe.
Tout ça pour dire quoi ?
Primo, ne mettez jamais de faux témoignages sur votre page de vente. Ca peut aller jusqu’à 300.000 euros d’amende.
Ou alors, assurez-vous que ces faux témoignages vous rapportent plus que cette amende (humour).
Secundo, retenez qu’un témoignage, ça sert à RAJOUTER un peu d’envie et de confiance dans le RESULTAT que vous proposez.
Les lecteurs, quand ils voient que vous souhaitez leur vendre un truc, ils se demandent :
- Si ça va fonctionner pour eux,
- Si vous êtes quelqu’un de confiance,
- Quels résultats ça va produire pour eux,
- Comment vont-ils être APRES avoir utilisé votre solution.
Un témoignage doit venir répondre à ce questionnement.
Et tertio, les témoignages ont besoin d’un truc ABSOLUMENT obligatoire pour être efficace : une preuve qu’ils sont vrais.
Donc, le mieux (LE MIEUX !) c’est une vidéo. Avec une vraie tête qui parle.
Et si le témoignage est écrit, alors il faut un lien vers un endroit AILLEURS que sur votre page :
- Un commentaire Facebook (même sur une page privée),
- une photo Instagram,
- un post Twitter,
- un site tiers (genre TrustPilot, Avis Google, Amazon, etc.).
Où vous voulez, mais ailleurs que chez vous.
Et si rien de tout ça n’est possible, alors assurez-vous d’avoir l’original du mail ou du commentaire reçu, avec l’heure et la date de réception.
Au pire, faites-en une capture d’écran, et rajoutez-la dans votre page de vente.
Dans un prochain article, je vous donnerai les quelques questions à poser à vos clients pour obtenir des témoignages aux petits oignons.
23 mai 2023
Méthode : Et si on faisait écrire un article de blog complet à ChatGPT ?
Dans ce dernier article de « La semaine du contenu« , je vous présente le 1er type d’article le plus engageant : « Ecrire un article hypothétique dont le titre commence par ‘Et si…’ dans le but d’inspirer les lecteurs avec de nouvelles possibilités.
Pour cet article, j’ai décidé de le faire écrire en entier par ChatGPT, et de vous montrer comment vous organiser pour faire cela.
Première partie : Contexte et plan de l’article
On va donc commencer par poser le contexte dans lequel l’IA va écrire son article.
On va lui demander d’agir comme un professionnel qui a déjà l’habitude d’écrire, et on va lui préciser ce qu’on veut :
22 mai 2023